Crise financière à Rome, due à des mesures maladroites, à la baisse du prix des terres, au renchérissement du crédit. Elle conduit à un manque de numéraire aggravé par une crise de confiance et la spéculation. Elle touche des sénateurs, des chevaliers et de riches affranchis. De riches familles aristocratiques sont ruinées. L'empereur Tibère est contraint de créer un fonds d'intervention de 100 millions de sesterces permettant d'emprunter pendant trois ans sans intérêts[4].