Jules César est nommé dictateur de Rome à vie et consul pour 10 ans. Il reçoit la collation du pouvoir censorial avec le titre de préfet des mœurs pour trois ans et sans collègue, le droit de nomination directe pour tous les magistrats, le droit de donner le signal des jeux du cirque à la place des consuls, le droit de faire porter sa statue sur un char de cérémonie avec l’inscription « au demi-dieu »[5].
20 avril : la nouvelle de la victoire de Munda arrive à Rome[4].
Étendue du territoire de la République romaine sous la domination de César.
21 avril : célébration des Parilia. Le Sénat décide de célébrer cette date comme la fin des guerres civiles et César comme « second fondateur » de Rome, « Imperator » et « Liberator »[4].
Automne (?) : le gouverneur de Syrie Sextus César est assassiné par les hommes du Pompéien Caecilius Bassus qui s’empare du pouvoir. Le questeur Caius Antistius Vetus, établi comme gouverneur de Syrie par César, le combat[4].
Création à Rome des édiles céréaliers chargés exclusivement du ravitaillement en blé de la ville[11].
↑François Clément et Viton de Saint-Allais, L'Art de vérifier les dates des faits historiques, des inscriptions, des chroniques et autres anciens monumens, avant l'ère chrétienne..., Moreau, (présentation en ligne)
↑Jacques Fontaine, Isidoro de Sevilla : Génesis y originalidad de la cultura hispánica en tiempo de los visigodos, Encuentro, , 464 p. (ISBN978-84-7490-653-0, présentation en ligne)