Le théologien contemporain Jean Le Clerc critique le manque d'organisation et le style pauvre de ses écrits en latin[1]. Il le décrit également comme un ennemi de la superstition.
↑(en) Henk Nellen, Scriptural Authority and Biblical Criticism in the Dutch Golden Age : God's Word Questioned, Oxford University Press, Dirk van Miert, Henk Nellen, Piet Steenbakkers, Jetze Touber, , 432 p. (ISBN978-0-19-880683-7, lire en ligne), p. 291.
« Le Clerc commented critically both on the lack of organization in his published works and on the poverty of his Latin style »