En 1995, il est engagé à M6 comme journaliste pour l’émission Capital présentée par Emmanuel Chain. À partir de 1997, il est rédacteur en chef du magazine télévisuel Zone interdite qui sera couronné par le 7 d’or du meilleur magazine d’information en 2000. Il est nommé directeur adjoint des magazines de l’information de M6 en 2001.
En 2017, Aymar du Chatenet devient administrateur de l’Institut René Goscinny. Il organise notamment l’installation de la statue de René Goscinny[3] à Paris inaugurée par la Mairie de Paris. L’Institut offre à la ville d'Angoulême, capitale mondiale de la BD, un obélisque en pierre de 5 mètres de haut, monument en hommage à Goscinny. Il est commissaire d’exposition de "Goscinny et le cinéma, Astérix, Lucky Luke et Cie" à la Cinémathèque française et conseiller scientifique de "Goscinny, au-delà du rire" au Musée d'Art et d'Histoire du judaïsme. L'institut, grâce au Prix René-Goscinny, apporte son soutien et encourage les scénaristes de bande dessinée.
Dans un tout autre domaine, en , Aymar du Chatenet a publié une imposante monographie de plus de 600 pages : Nadia Léger, l’histoire extraordinaire d’une femme de l’ombre dont il est l’auteur. Salué par la critique et le milieu de l’art[4], l’ouvrage se présente comme une réhabilitation de celle qui fut la femme de Fernand Léger mais dont l’œuvre est restée jusqu’à ce jour méconnue[5]. Il a notamment collaboré au documentaire « Nadia et Fernand Léger, la face cachée d'un Maître » réalisé par Catherine Aventurier et diffusé sur France 5 (2018) Il est commissaire de l’exposition, aux côtés de Séverine Berger, « Les couleurs de Nadia » qui a eu lieu au musée de l’Annonciade à Saint-Tropez du au .