Les chasseurs annamites sont organisés à l'image des tirailleurs tonkinois mais les cadres français ne sont pas issus des troupes de marine (alors dépendantes de la Marine) mais de l'Armée de terre[7].
Le quatrième bataillon est chargé de la garde de l'empereur à Hué[1].
↑Alain Mounier-Kuhn, Les services de santé militaires français pendant la conquête du Tonkin et de l'Annam (1882-1896), Services historique de la Marine, (ISBN978-2-9523013-0-5, lire en ligne), p. 64-65
(en) Henri Eckert, « Double-edged swords of conquest in Indochina: Tirailleurs Tonkinois, Chasseurs annamites and militias, 1883–1895 », dans Karl Hack et Tobias Rettig, Colonial armies in Southeast Asia, Routledge, coll. « Routledge studies in the modern history of Asia », (ISBN978-0-415-33413-6, lire en ligne), p. 119-145.
État-major des troupes d'Indochine, Histoire militaire de l'Indochine française des débuts à nos jours (juillet 1930), t. 1, Imprimerie d'Extrême-Orient, (lire en ligne)