Commandos de chasse
Image illustrative de l’article Commandos de chasse
Écusson des commandos de chasse.

Création 1959-1962
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Type Infanterie
Rôle Operations spéciales
Contre-terrorisme
Guerres Guerre d'Algérie
Plan Challe
Commandant Général Maurice Challe

Les commandos de chasse sont des unités militaires créées en 1959[1], pendant la guerre d'Algérie, pour mener des opérations de contre-guérilla et démanteler les katibas hostiles à la présence française en Algérie. Il s'agit, dans le cadre du Plan Challe, de mettre sur pied des unités mobiles, héliportées, capables d'exploiter sur le champ des renseignements pour harceler, traquer et mettre hors d'état de nuire les groupes rebelles déjà affaiblis par la bataille des Frontières. Les commandos de chasse seront dissous en avril et mai 1962.

L'expérience de l'Indochine (1951-1954)

Le général Challe qui succéda le 12 décembre 1958 au général Salan, comme commandant en chef de l'armée française en Algérie, avait été favorablement impressionné par les résultats obtenus en Indochine par le Groupement de Commandos Mixtes Aéroportés (GCMA). Ces unités, créées en avril 1951 et qui relevaient des services spéciaux (SDECE), avaient opéré sur les arrières de l’ennemi, notamment en zone montagneuse. Les commandos mixtes aéroportés, qui comptaient plus de 3 500 hommes, encadrés par quelques gradés européens, étaient tous composés d'autochtones (Hmong, Thaï, Nung, Méo et Laotiens pour la plupart). La condition même de leur succès avait été d’évoluer au milieu de la population « comme des poissons dans l’eau » et de retourner les méthodes de leurs adversaires à l’avantage de l’armée française[2].

Le général Challe avait également été impressionné par les résultats des commandos Nord Vietnam, créés en juillet 1951 et opérant dans le Nord Vietnam (ex-Tonkin) et au Laos. Le rôle de ces unités, qui avaient compté plus de 5 000 hommes, était le renseignement et la tactique de contre-guérilla en riposte à la guerre non conventionnelle menée par le Viet-Minh. Le format retenu pour ces commandos, au nombre de 45, était d'environ 120 hommes de troupes, tous recrutés localement, certains étant parfois d'anciens soldats du Viet-Minh « retournés » par les Français.

Ces expériences, selon le général Challe, pouvaient se renouveler en Algérie, sur une échelle beaucoup plus grande.

Contexte de création (1959)

En 1958, ce sont plus de 400 000 soldats français qui sont en permanence sur le terrain en Algérie. Ils se répartissent en deux grands types d'unités. D'une part, les “troupes de secteur” qui reçoivent la responsabilité d’un territoire au sein duquel elles doivent assurer la protection des populations, tout en luttant contre les éléments rebelles dans la mesure de leurs moyens. D'autre part, pour les opérations plus importantes, elles reçoivent le renfort d’unités de “réserve générale” constituées de parachutistes et de légionnaires (10e DP, 25e DP, etc.). Mais les différentes opérations d’envergure menées avec des moyens importants au sol appuyés par l’aviation ne donnent pas toujours les résultats escomptés, car les bandes rebelles sont très bien renseignées et aménagent de nombreuses caches et abris dans le djebel.

C’est alors que le général Challe met en place une série de mesures appelées par la suite “plan Challe” et destinées à redynamiser la lutte contre la rébellion. Outre le renforcement de la ligne Morice par l’aménagement d’un large glacis en arrière du barrage, sa principale décision porte sur la création d’unités légères de contre-guérilla à base de supplétifs musulmans, privilégiant la rapidité et le secret, et appuyées dès que nécessaire par les "troupes de secteur", par l’aviation et par des détachements héliportés des unités "de réserve générale". Ces unités légères de contre-guérilla d’un genre totalement nouveau sont destinées à traquer sans relâche, de jour comme de nuit, les bandes rebelles sur leur terrain. Elles porteront le nom de “commandos de chasse”[3].

Missions des commandos de chasse

La directive du 22 décembre 1958 définit précisément leurs missions : « Ce sont des unités légères spéciales, à base de harkis » constituées pour « donner la chasse aux bandes rebelles en collant aux katibas » et bénéficiant autant que de besoin des appuis des unités de secteur, des détachements héliportés et de l’aviation. La mission principale des commandos de chasse est donc de “marquer” une katiba, c’est-à-dire la rechercher, la repérer, la poursuivre et la harceler en permanence dans ses zones refuges en vue de la détruire avec l’aide de renforts des "troupes de secteur" ou des unités héliportées de "réserve générale"[4].

Les missions secondaires qui en découlent sont le renseignement (observation à partir de postes dissimulés, reconnaissance dans la profondeur) ; le harcèlement (embuscades préparées de nuit sur les axes fréquentés) ; le choc et enfin l’action psychologique sur les villageois lors des patrouilles dans les douars (division administrative rurale) les plus isolés souvent soumis à la terreur des bandes rebelles. Les commandos de chasse doivent bénéficier d’une grande liberté d’action de la part des commandants de secteurs pour agir selon les trois principes de la guérilla : secret, surprise et rapidité[4].

Recrutement et moyens

L'instruction provisoire du 19 janvier 1959 fixe à 157 l'effectif d'un commando, à partir du modèle d'une compagnie d'infanterie type 107. Mais ce nombre reste largement théorique. Entre le tiers et la moitié de l'effectifs des commandos de chasse est constitué de harkis et de Français de souche nord-africaine (FSNA). Certains des membres des commandos sont d'anciens "prisonniers internés-militaires" (PIM) ralliés à l'armée française, comme c'est le cas par exemple au commando Georges. L'autre partie des effectifs des commandos de chasse est constituée d'appelés du contingent, issus des "troupes de secteur", tous obligatoirement volontaires[5].

Ecusson d'épaule des commandos de chasse

Le général Challe décide en outre de doter les commandos de chasse issus des "troupes de secteurs" de moyens ordinairement dédiés en priorité aux unités de "réserve générale". Ainsi, par rapport à une compagnie d'infanterie classique "de secteur", les commandos de chasse reçoivent de l'armement plus moderne et en plus grande quantité : pistolets mitrailleurs MAT-49 et fusils semi-automatique FSA 49/56 supplémentaires, ainsi que les nouveaux pistolets MAC-50. Des postes radios de dernière génération PRC 10 sont également fournis en dotation. Les commandos de chasse sont également renforcés en jeeps, véhicules 4x4 et camions.

Les hommes des commandos de chasse se distinguent également de leurs camarades des "troupes de secteur" par leur tenue. Ils portent des vestes camouflées, des rangers, des casquettes Bigeard comme celles portées dans les unités paras, de nouveaux anoraks et aussi des kachabias.

Les commandos de chasse portent par ailleurs le béret noir, ainsi qu'un écusson d'épaule en tissu représentant un trident.

Les instructions du général Challe provoquèrent l’enthousiasme de certains commandants de "troupes de secteurs" et l’incompréhension d’autres. Elles dérangeaient des habitudes prises depuis déjà plusieurs années. En effet les commandos de chasse constituaient un « écrémage » des meilleurs éléments, notamment sur le plan des cadres. Tous ceux des commandos de chasse devaient être volontaires et les chefs "d’unités de secteur", notamment les commandants de compagnie, n’aimaient guère voir partir leurs meilleurs soldats pour le commando de chasse du régiment.

Malgré les risques indéniables que comportait ce mode d’action, l’attrait d’une vie rude et l’intérêt de la mission provoquèrent de nombreuses vocations. De nombreux appelés trouvèrent dans « les bérets noirs » une ambiance de liberté et de camaraderie qu’ils n’avaient jusqu’alors jamais rencontrée en Algérie. Ces jeunes Européens trouvèrent dans les commandos de chasse des frères d’armes musulmans, qu’ils soient harkis ou ralliés, particulièrement aguerris et combatifs. Beaucoup avaient déjà lutté auparavant dans les rangs de l’Armée de libération nationale et connaissaient parfaitement le terrain qu’ils avaient à parcourir et les méthodes de combats et ruses de l’adversaire. Dès leur création, les commandos de chasse furent souvent jalousés[2].

Au total, plus de 175 commandos de chasse furent créés et environ 30 000 hommes (FSE et FSNA) ont servi dans leurs rangs entre 1959 et 1962.

Centres d'entraînement des commandos de chasse

Insigne du CEPCC no 1

En décembre 1958 s’ouvre près du Grand Barrage de l'Oued Fodda (Orléansville) un centre d’instruction, devenu en février 1959 le Centre d’Instruction des Commandos de Chasse de la Zone Ouest Algérois (ZOA). Il prend ensuite les appellations successives de Centre d’instruction des commandos de chasse du Corps d’armée d’Alger en décembre 1959, puis de Centre d’entraînement à la contre guérilla (CECG) du Corps d'armée d‘Alger en janvier 1960, et enfin de Centre d'entraînement et de perfectionnement des commandos de chasse (CEPCC no 1) en juin 1960, où viennent se perfectionner périodiquement les commandos de ce corps d’armée.

Le Corps d'armée de Constantine ouvre le sien (CEPCC no 2) en août 1960 à la Grande Plage, à 17 km de Philippeville, suivi par le Corps d'armée d’Oran (CEPCC no 3) à Sassel près d’Er-Rahel en novembre 1961.

Bilan

Selon l'historien David Rey, « les commandos de chasse vont, en quelques mois, mettre à mal la rébellion et considérablement réduire l’envergure des actions de l’ALN dont les unités ne peuvent plus se déplacer de nuit en sécurité et ne trouvent plus de zones refuges pour se reconstituer. Le bilan de ces commandos de chasse, surnommés les “têtes chercheuses” du général Challe en raison de leur capacité à localiser les bandes rebelles, est éloquent. Leur action a été essentielle dans la neutralisation des bandes rebelles de l’ALN qui trouvaient encore refuge dans les zones montagneuses très difficiles à contrôler par les unités conventionnelles, généralement employées dans des opérations de grande envergure peu efficaces. Les commandos de chasse ont su découvrir les caches d’armes et de vivres, traquer sans relâche les groupes armés difficiles à localiser pour les détruire ou obtenir leur reddition. Leur redoutable efficacité était directement liée à leur mode d’action, semblable à celui des unités rebelles, et à la parfaite connaissance du terrain par les harkis, recrutés directement dans les villages proches des zones d’engagement ou anciens hors-la-loi (HLL) retournés »[6].

Le commando de chasse le plus célèbre est le commando Georges qui a mis hors de combat, entre 1959 et 1962, près de 1 000 maquisards du FLN.

Les commandos de chasse de la gendarmerie

L'Armée de Terre, qui dispose de ses propres commandos de chasse depuis le début de l'année 1959 (comme le commando Georges), sollicite dans les mois suivants la gendarmerie pour constituer des forces supplémentaires[7].

Insigne de béret des commandos de chasse de la gendarmerie

C'est en quelques mois (d'octobre à décembre 1959) que six commandos de chasse, dénommés "Partisans", sont alors organisés sous le commandement du capitaine de gendarmerie Pierre Schaefer. Bien que ces commandos soient placés sous la responsabilité de l'Armée de Terre, il s'agit de forces de gendarmerie, supervisées par un officier de gendarmerie. Pour marquer la différence avec les commandos de chasse de l'Armée, le groupement des commandos de chasse gendarmerie adopte le principe suivant : « allier la valeur militaire du para avec la valeur morale du gendarme ». La mission de contre-insurrection compterait de fait parmi les missions de la gendarmerie : « Prendre avec soi des volontaires recrutés dans “la partie saine de la population” ayant des lieux une connaissance complète, aller avec eux, en vivant leur vie, dans les plaines et dans les montagnes, mettre hors d’état de nuire des hors-la-loi qui ne respectent ni les personnes ni les biens, n’est-ce pas là une des missions fondamentales et traditionnelles de la Gendarmerie nationale ? Les commandos de chasse “gendarmerie” ne font pas autre chose avec leurs harkis originaires des montagnes de l’Ouarsenis, du Dahra et de la plaine du « Chelif »[3].

Chacun des six commandos (Partisan 20, 21, 22, 26, 43, 44) est composé d'une centaine de harkis encadrés par une vingtaine de sous-officiers et officiers de gendarmerie. Un détachement héliporté d’exploitation du renseignement (DHER), baptisé "Partisan noir", complète le dispositif en mai 1960. Il s'agit à la fois d'emporter rapidement et de déposer au sol les groupes de combat dans les zones rebelles, et de fournir un appui éventuel (bombardements préventifs au canon). Sur le plan tactique, l'effet de surprise est recherché à travers l'organisation de contre-embuscades sur les arrières des groupes rebelles en embuscade, ou des opérations de désinformation et d'intoxication de l'ennemi pour diminuer sa vigilance avant un coup de main.

Le commando de chasse des fusiliers-marins

Parmi les commandos de chasse mis en œuvre par l'Armée de Terre, on compte également un commando de chasse composé de fusiliers-marins de la Demi-Brigade des Fusiliers-Marins (DBFM). Il s'agit du commando 120, plus connu sous le nom de commando « Tempête », créé en juin 1959. Ce commando de chasse était lui-même issu du commando « Yatagan », dissous le 1er juin 1959 et dont la plupart du personnel rejoignit ensuite le nouveau commando « Tempête ».

Le commando « Tempête » opérait dans la "Zone Ouest Oranais" (ZOO), dans le secteur de la 12e DI. Le commando « Tempête » reçut son fanion le 14 juillet 1959 et l'enseigne de vaisseau Ruyneau de Saint-Georges en fut le premier commandant. En juillet 1960, l'EV Poher prendra la suite, lui-même suivi de l'EV Paget. Après de nombreux combats, le commando « Tempête » sera dissous le 6 mars 1962.

Commandos de chasse du Corps d'armée d'Alger

Abréviations : ZEA = Zone Est Algérois (27e DIA) ; ZNA = Zone Nord Algérois ; ZOA = Zone Ouest Algérois (9e DI) ; ZSA = Zone Sud Algérois (20e DI).

Les commandos sont classés ci-dessous par ordre de numéro. Sont indiquées leurs unités support.

Identification : K (Kimono) et P (Partisan).

Secteur de la 27e division d'infanterie alpine (Zone Est Algérois) :

Secteur de la 20e division d'infanterie (Zone Sud Algérois) :

Secteur de la 9e division d'infanterie (Zone Ouest Algérois) :

Zone Nord Algérois :

Secteur de la 27e division d'infanterie alpine (Zone Est Algérois) :

Secteur de la 9e division d'infanterie (Zone Ouest Algérois) :

Secteur de la 20e division d'infanterie (Zone Sud Algérois) :

Secteur de la 27e division d'infanterie alpine (Zone Est Algérois) :

Secteur de la 20e division d'infanterie (Zone Sud Algérois) :

Secteur de la 9e division d'infanterie (Zone Ouest Algérois) :

Commandos de chasse du Corps d’armée d’Oran

Identification : Z et M.

Les commandos sont classés par ordre de numéro. Sont indiquées leurs unités support.

Secteur de la 4e division d'infanterie motorisée (Zone Est Oranais) :

Secteur de la 5e division blindée (Zone Nord Oranais) :

Secteur de la 12e division d'infanterie (Zone Ouest Oranais) :

Secteur de la 13e division d'infanterie (Zone Sud Oranais) :

La 13e DI s’étant déplacée vers le sud, en mai 1959, la désignation de ses commandos sera modifiée. De plus, la ZSO sera réorganisée en avril 1960.

Secteur de la 29e division d'infanterie (Zone Centre Oranais) :

Commandos de chasse du Corps d’armée de Constantine

Abréviations : ZEC = Zone Est Constantinois (2e DIM) ; ZNEC = Zone Nord-Est Constantinois (la ZEC de la 2e DIM se dédouble en deux zones : ZEC et ZNEC, de juin 1960 à août 1961) ; ZNC = Zone Nord Constantinois (14e DI) ; ZOC = Zone Ouest Constantinois (19e DI) ; ZSC = Zone Sud Constantinois (21e DI).

Indicatifs : V (Volontaire) ou L (Legere).

Les commandos sont classés par ordre de numéro. Sont indiquées leurs unités support.

Secteur de la 19e division d'infanterie (Zone Ouest Constantinois) :

Secteur de la 14e division d'infanterie (Zone Nord Constantinois) :

Secteur de la 21e division d'infanterie (Zone Sud Constantinois) :

Secteur de la 2e division d'infanterie marocaine (Zone Est Constantinois) :

Secteur de la 19e division d'infanterie (Zone Ouest Constantinois) : les commandos de la série 60 ne sont créés qu’en janvier 1960 :

Secteur de la 2e division d'infanterie marocaine (Zone Est Constantinois) : commandos légers satellites de V 41 (série 80) :

Secteur de la 19e division d'infanterie (Zone Ouest Constantinois) :

Secteur de la 14e division d'infanterie (Zone Nord Constantinois) :

Secteur de la 21e division d'infanterie (Zone Sud Constantinois) :

Secteur de la 2e division d'infanterie marocaine (Zone Est Constantinois) :

Secteur de la 14e division d'infanterie (Zone Nord Constantinois) :

Commandos de chasse des Territoires du Sud

Les commandos de chasse y sont créés à partir d’octobre 1959.

Identification : X.

Secteur de Colomb-Béchar (Zone Ouest Sahara) :

Secteur de Laghouat (Zone Est Sahara) :

Secteur de Touggourt (Zone Est Sahara) :

Bibliographie

- ALLÈS Jean-François, Commandos de chasse Gendarmerie. Algérie 1959-1962, récit et témoignages, Editions Atlante, 2001, 174 pages.

- BEAL Raymond, Les commandos de chasse "gendarmerie" en Algérie 1959-1962, Editions des Écrivains associés, 1997, 82 pages.

- BENESIS de ROTROU Armand, Commando « Georges » et l'Algérie d'après, Editions Dualpha, 2009, 458 pages.

- BURY Marcel, Les guérilleros du commando de chasse V 44. Le journal d'un appelé en Algérie, 1959 et 1960, édité par l'auteur, 2005, 648 pages.

- CERUTTI Pierre et DAMAISIN d'ARES Jean-Christophe, Commandos de chasse. Les têtes chercheuses du général Challe, Regi Arm, Histoire et Mémoires Combattantes, 2011, 191 pages.

- CERUTTI Pierre et DAMAISIN d'ARES Jean-Christophe, Commandos de chasse. Embuscades en Algérie, Editions JP Otelli, 2017, 175 pages.

- GAGET Robert, Commando Georges. Des harkis de feu, Editions Grancher, 1991, 300 pages.

- GAGET Robert, Commando Georges. Renseignements et combats, Editions Grancher, 2000, 243 pages.

- GAGET Robert, Commando Cobra. Les ceinturons noirs en Algérie, Editions Grancher, 2000, 369 pages.

- MABIRE jean, Commando de chasse, Editions Dualpha, 2018, 388 pages.

- PETITJEAN Marcel, Noir 3 ne répond plus. Récits et témoignages du commando 44, où s'illustrèrent pendant la guerre d'Algérie les appelés du Contingent et les Harkis, Editions Godefroy de Bouillon, 2003, 258 pages.

- ROY Denis, Commando de chasse Algérie une jeunesse à l'épreuve;, Imprimerie Bobillier; 2016, 220 pages.

Notes et références

  1. Pierre André Cerutti et Jean-Christophe Damaisin d'Arès, Commandos de chasse : les têtes chercheuses du général Challe, Sceaux, Esprit du livre, coll. « Histoire & mémoires combattantes », , 191 p. (ISBN 978-2-363-18183-1)
  2. a et b Bertrand Rouvillois, « Les commandos de chasse en Algérie (1959-1962) », Croix de guerre et Valeur militaire,‎ n° 310 - décembre 2012 - 4ème trimestre, p. 17
  3. a et b Pierre Schaefer (capitaine), « Les commandos de chasse “Gendarmerie” en Algérie », Gendarmerie nationale. Revue d’études et d’informations n° 46, 4e trimestre 1960, pp. 3-8
  4. a et b David REY, « Commandos de chasse de la Gendarmerie en Algérie », Stratégique,‎ vol. 100-101, no. 2-3, 2012, pp. 113-136.
  5. Jean-Charles Jauffret, « Une armée à deux vitesses en Algérie (1954-1962) : réserves générales et troupes de secteur », Militaires et guérilla dans la guerre d'Algérie,‎ , actes du colloque de Montpellier des 5 et 6 mai 2000, éditions Complexes, p. 33 et suiv.
  6. David Rey, « Commandos de chasse de la Gendarmerie en Algérie », Stratégique,‎ vol. 100-101, no. 2-3, 2012, pp. 113-136.
  7. « Le gendarme et les autres militaires face à la guerre d'Algérie », sur Société nationale de l'histoire et du patrimoine de la gendarmerie,