Traversée au nord par la route départementale (RD) 6089 (l'ancienne nationale 89), limitée à l'est par la RD 6021 (l'ancienne route nationale 21) et au sud par l'autoroute A89 qui se croisent à l'échangeur de Périgueux-Centre, Coulounieix-Chamiers est l'un des plus importants nœuds routiers de la Dordogne. Les RD 4 et 113 desservent également le territoire communal.
La commune dispose de 1 800hectares d'espaces naturels, de 86 km de voirie et de 25 km de sentiers de randonnée, dont le sentier de grande randonnée 654 sur plus de cinq kilomètres entre Périgueux et Sanilhac.
Communes limitrophes
Coulounieix-Chamiers est limitrophe de cinq autres communes, dont Razac-sur-l'Isle à l'ouest, par un simple quadripoint. Au nord, son territoire est distant de moins de 200 mètres de celui de Chancelade.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Coulounieix-Chamiers est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3(2), date du Coniacien indifférencié, composée de calcaires gréseux, sables et marnes à la base puis calcaires bioclastiques et calcaires crayeux et glauconieux ou calcaires à huîtres au sommet. La formation la plus récente, notée Xr, est constituée de dépôts anthropiques (Gallo-romain à actuel). Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 758 - Périgueux (ouest) » et « no 759 - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].
Moyennes terrasses - Terrasses de Malleret sup. indifférenciées (types 3 à 5) : argiles à graviers, galets à la base et sables fins à moyens au sommet (Elstérien - '-Mindel'-)
Campanien 2 : calcaires crayo-marneux blanchâtres à grosses silicifications grises en alternance dures et tendres puis calcaire crayeux à glauconie (formations de Marsaguet, de Segonzac et sommet de Trémolat)
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 78 m[6] au nord, là où l'Isle quitte la commune pour entrer sur celle de Marsac-sur-l'Isle, et 222 m[6] au niveau du château d'eau implanté au sud du bourg de Coulounieix[7].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 21,70 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 21,49 km2[3].
L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face à Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[16],[17]. Elle borde la commune au nord sur six kilomètres face à Périgueux.
Le Cerf, d'une longueur totale de 15,37 km, prend sa source dans la commune de Boulazac Isle Manoire (territoire de l'ancienne commune d'Atur) et se jette dans l'Isle en rive gauche à Razac-sur-l'Isle[18]. Il sert de limite sud à la commune sur quatre kilomètres, face à Sanilhac et Coursac.
L'Isle sert de limite entre Coulounieix-Chamiers (à gauche) et Périgueux.
L'Isle au barrage de Campniac entre Coulounieix-Chamiers (au fond) et Périgueux.
Réseaux hydrographique et routier de Coulounieix-Chamiers.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[21]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[22].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 908 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[21]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 912,2 mm[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].
Statistiques 1991-2020 et records COULOUNIEIX (24) - alt : 217m, lat : 45°09'34"N, lon : 0°40'36"E Records établis sur la période du 01-10-2004 au 02-11-2023
Source : « Fiche 24138004 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base
Urbanisme
Typologie
Coulounieix-Chamiers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[25],[26],[27].
Elle appartient à l'unité urbaine de Périgueux, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[28] et 65 208 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[29],[30].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[31],[32].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (41,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (45,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (31 %), zones urbanisées (23,1 %), terres arables (18,3 %), zones agricoles hétérogènes (17 %), prairies (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,8 %)[33]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Logement social
En 2012, la commune dispose de 24,35 % de logements sociaux, taux supérieur à l'obligation minimale de 20 % pour les communes de plus de 3 500 habitants dans l'agglomération périgourdine[34].
Fin 2021 débute le chantier qui, à terme, doit rénover la cité HLM Jacqueline-Auriol de Chamiers bâtie dans les années 1950 ; cela doit se traduire par la réhabilitation de 312 logements sociaux, la démolition de 201 autres, la reconstruction de 49 autres et l'édification de 160 logements privés, d'une maison de quartier, d'un centre social, d'un pole artisanal et du centre médico-social de la Dordogne[35].
Site de l'ancien camp américain
Sur le site de l'ancien américain de l'OTAN en bordure de l'Isle va être édifié le « Sîlot », un pôle des cultures urbaines et de l'économie sociale et solidaire, dont la mise en service est prévue pour 2025[36]. À l'été 2022, le site va être l'objet de festivités (concerts, sports et activités pour les jeunes)[36].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Périgueux, regroupant 12 communes concernées par un risque de débordement de l'Isle, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[39]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1783 (15,21 m à l'échelle de crue, la crue la plus importante connue), de 1843 (14,83 m) et de 1944 (14,5 m, 630 m3/s, la crue centennale de référence). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[40]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1992, 1993 et 1999[41],[37]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de l'« agglomération de Périgueux » prescrit le et approuvé le , pour les crues de l'Isle. La crue de 1944, plus haute crue historique bien connue sur l'Isle, avec un débit estimé de 630 m3/s à Périgueux, présente une période de retour centennale et sert de crue de référence au PPRI[42].
Coulounieix-Chamiers est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[43]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[44],[45].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[46]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[47]. 93,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[48].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 2005, 2009, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999, 2005, 2014, 2018 et 2020[37].
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom Colonhés e Champs Niers[49].
Histoire
Vers 200 av. J.-C., les Pétrocores« habitaient la région située entre la Dordogne et la Vézère », selon Venceslas Kruta[50]. Ils s'installent pendant cette période sur les hauteurs en rive gauche de l'Isle et créent, sur l'actuel territoire de Coulounieix-Chamiers, un oppidum[51], situé sur le plateau de la Boissière, également connu sous le nom de « camp de César à la Curade »[52]. Cet oppidum, peut-être capitale laténienne des Pétrocores, est abandonné quelques décennies après la Conquête césarienne, et la Vesunna gallo-romaine, capitale de cité romaine et future Périgueux, s'établit sur la rive opposée entre 25 et 16 av. J.-C.[53].
La pierre Panlaire est une borne qui se dresse en bordure de route au croisement des routes conduisant de Coulounieix à Razac et de Coursac à Marsac, près des lieux-dits les Farges et Perlijoux[54]. À l'origine, au XVe siècle, elle marquait la limite des quatre paroisses devenues des communes à la Révolution, à la fin du XVIIIe siècle[54]. Déplacée d'une dizaine de mètres[54], elle se situe désormais sur le territoire de la commune de Coulounieix-Chamiers][55].
En 1824, les communes de La Cité et Coulounieix fusionnent[6]. En 1958, Coulounieix prend le nom de Coulounieix-Chamiers[56]
Dans les années 1950-1960, l'OTAN installe une base avec 800 soldats au nord de la commune, dans la boucle de l'Isle, à l'emplacement d'une ancienne villa gallo-romaine[57].
La commune prend son nom actuel en 1958. Le canton de Périgueux est scindé en trois en 1973 et Coulounieix-Chamiers fait partie du nouveau canton de Périgueux-Ouest[6].
La population de la commune étant comprise entre 5 000 et 9 999 habitants au recensement de 2017, vingt-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[59],[60].
Démographie de Coulounieix, puis de Coulounieix-Chamiers
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[69].
En 2021, la commune comptait 7 245 habitants[Note 6], en diminution de 10,64 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En mai, salon-exposition-vente de minéraux, fossiles et pierres fines (11e édition en 2023[71]).
Au mois de novembre, salon « La Folie chocolat » (13e édition en 2023[72]).
En 2008, la félibrée s'est tenue sur plusieurs communes de l'agglomération périgourdine, dont Coulounieix-Chamiers.
Économie
Emploi
L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Coulounieix-Chamiers ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.
L'emploi des habitants
En 2018[73], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 2 975 personnes, soit 35,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (507) a fortement diminué par rapport à 2013 (584) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,0 %.
L'emploi sur la commune
Fin 2018, la commune offre 2 630 emplois pour une population de 8 356 habitants[74]. Le secteur tertiaire prédomine avec 43,7 % des emplois mais le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) est également très présent avec 36,7 %.
Fin 2018, la commune compte 233 établissements actifs employeurs[75], dont 152 au niveau des commerces, transports ou services, 35 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 30 dans la construction, 14 dans l'industrie, et 2 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[76].
Entreprises
Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, trois sociétés implantées à Coulounieix-Chamiers se classent parmi les cinquante premières de leur secteur d'activité quant au chiffre d'affaireshors taxes en 2015-2016 :
dans le commerce, SA Coopérative artisanale (commerce de gros interentreprises de parfumerie et de produits de beauté) se classe 35e avec 18 936 k€[77] ;
dans l'industrie, Dordogne enrobés (fabrication de produits minéraux non métalliques) se classe 35e avec 7 295 k€[78] ;
dans le BTP, Avry le Corvaisier (travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment) se classe 12e avec 5 950 k€[79] ;
dans les services, Hoche & associés (activités comptables) se classe 30e avec 3 989 k€[80] ;
dans l'agroalimentaire, CUMA agro Aquitaine (activités de soutien aux cultures) se classe 43e avec 1 469 k€[81].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Grotte sépulcrale de Campniac, présence des hommes du Néolithique.
La Maladrerie (ou Maison des Anglais) : malgré son nom synonyme de léproserie, cet ancien hôpital construit aux XIIe et XIVe siècles n'a jamais accueilli de lépreux. Il servit de halte et de refuge aux pèlerins et aux voyageurs[85],[86],[87]. Propriété privée, classée au titre des monuments historiques depuis 1907[88].
La grotte de Campniac.
Le château de la Rolphie.
Le château des Izards.
Les cheminées de la Maladrerie.
Le monument aux morts.
Patrimoine religieux
Église Saint-Michel de Coulounieix, XIVe siècle, très retouchée.
Église Notre-Dame de l'Immaculée-Conception de Chamiers, XXe siècle, de style moderne.
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
↑Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Les Celtes, histoire et dictionnaire, Robert Laffont, Paris, 2000. p. 776.
↑A. Colin, « État des recherches récentes sur l’oppidum du camp de César (ou de La Curade), Coulounieix-Chamiers (Dordogne), Les âges du Fer dans le Sud-Ouest de la France », AFEAF, Aquitania, suppl. 14-1, p. 227-236.
↑Panneau d'information du Conseil général de la Dordogne, situé en bordure de l'Isle
↑Baron de Castelnau, Visite de la léproserie, dans Congrès archéologique de France. 25e session. Périgueux et Cambrai. 1858, Société française d'archéologie, Paris, 1859, p. 49-52(lire en ligne)
↑François Deshoulières, « L'hôpital Charroux ou la prétendue léproserie de Périgueux », dans Bulletin monumental, 1943, tome 102, no 2, p. 257-261(lire en ligne)