Le nom de Sfar est porté par plusieurs familles tunisiennes.

L'une d'elles appartient à la notabilité tunisoise et descend de Mustapha Sfar, né dans une famille d'origine turque installée à Mahdia et qui s'installe ensuite à Tunis. Elle s'illustre sous le règne d'Ahmed Ier Bey et gravit les échelons dans l'administration beylicale dans la deuxième moitié du XIXe siècle[1]. Aux XIXe et XXe siècles, la famille compte des dignitaires de l'administration dont le célèbre réformateur Béchir Sfar, fondateur de l'association de la Khaldounia et du journal El Hadhira.

Personnalités

Une autre famille de la ville de Mahdia, d'origine turque, est composée de notaires au XIXe siècle et donne des personnalités connues au XXe siècle[1] :

Références

  1. a et b Mohamed El Aziz Ben Achour, Catégories de la société tunisoise dans la deuxième moitié du XIXe siècle, éd. Institut national d'archéologie et d'art, Tunis, 1989, p. 54