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Itzhak Goldberg né le , est un universitaire, professeur émérite de l’université Jean Monnet, et un historien de l'art, spécialiste de l’art moderne et contemporain. Il est également commissaire d’exposition.
Itzhak Goldberg est l'auteur de « Jawlensky ou le visage promis », thèse soutenue en 1991[1]. Maître de conférences à l’université d’Aix-en-Provence (1994-1998), puis à l'Université Paris-Nanterre de 1999 à 2012, il obtient un poste de professeur à l'université Jean Monnet de Saint-Etienne en 2013. A partir de cette date, il est chercheur au Centre interdisciplinaire d'études et de recherches sur l'expression contemporaine (CIEREC) jusqu'en 2018[2].
En tant qu’historien de l’art, ses recherches ont pour sujets principaux les représentations et défigurations du paysage[3] et du visage dans l’art moderne et contemporain, l’expressionnisme[4] — en particulier chez Alexej von Jawlensky —[5], les installations[6], l’œuvre de Marc Chagall et l’art en Israël et en Palestine.
Critique d’art pendant vingt-cinq ans à Beaux Arts magazine[7], il est depuis 2003 membre de l’Association internationale des critiques d'art (AICA). En 2013, il commence à écrire des chroniques dans Le Journal des arts, où ses articles[8]abordent tant les mouvements picturaux que les peintres et les œuvres d'art visuel des XXe et XXIe siècles.
Itzhak Goldberg est par ailleurs commissaire d’exposition[9].