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Jean-Jacques (Joseph) Rein (, Mulhouse, Haut-Rhin - , Sobibor, Pologne) est un membre de la Résistance juive en France, arrêté lors de la rafle de la rue Sainte-Catherine à Lyon, le , par la Gestapo, sous les ordres de Klaus Barbie. Il est déporté dans le convoi n° 53 du 25 mars 1943, partant du camp de Drancy vers le camp d'extermination de Sobibor, où il est assassiné le à l'âge de 23 ans.
Jean-Jacques Rein naît à Mulhouse, Haut-Rhin, le [1].
Il est chef des éclaireuses et éclaireurs israélites de France (EIF)[2].
Jean-Jacques Rein est membre de la Sixième à Limoges, où il en est responsable régional, puis à Nîmes, où il s'occupe des EIF, puis des jeunes non organisés, et finalement, se consacre à la Sixième[3].
Il fabrique des faux-papiers et cherche des planques pour les réfugiés.
Jean-Jacques Rein est arrêté le lors de la rafle de la rue Sainte-Catherine à Lyon par la Gestapo sous les ordres de Klaus Barbie. Il était venu apporter de fausses cartes d'identité.
Jean-Jacques Rein est transféré directement au camp de Drancy puis déporté dans le convoi n° 53 du 25 mars 1943 vers le camp d'extermination de Sobibor[4],[5], où il est assassiné le .