Cet article est une ébauche concernant l’Irlande du Nord.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Loyalist Volunteer Force
Histoire
Fondation
Dissolution
Cadre
Type
Siège
Pays
Organisation
Idéologie

Le Loyalist Volunteer Force (LVF, français : Force volontaire loyaliste) est un groupe paramilitaire loyaliste d'Irlande du Nord (anti-indépendantiste).

Il s'est formé d'une scission de la brigade de l'Ulster de l'UVF menée par Billy Wright (en) en 1996, en réaction à l'appel à déposer les armes[1]. Il est désigné comme un groupe terroriste par l'Irlande[réf. nécessaire]. L'organisation est placée sur la liste officielle des États-Unis[2], du Canada[3] et du Royaume-Uni[4] (à partir de [1]) et l'était jusqu'en 2009 sur celle de l'Union européenne[5] mais n'apparait plus en 2010[6].

Le groupe fut responsable de 18 meurtres[7]. Le , le leader, Billy Wright (en), alors emprisonné à Maze, fut abattu par trois membres de l'Irish National Liberation Army[1] (Christopher "Crip" McWilliams, John Glennon et John Kennaway). En réponse à cet assassinat, 10 Irlandais catholiques furent tués par la LVF et l'UFF. En , l'organisation déclara un cessez-le-feu et fut la première a rendre des armes, néanmoins, leurs actions reprirent[1].

Notes et références

  1. a b c et d Dr Martin Melaugh, « CAIN : Abstracts of Organisations - 'L' », sur cain.ulst.ac.uk (consulté le ).
  2. (en) « Terrorist Exclusion list », département d'État des États-Unis,
  3. « DORS/2001-360 / Règlement d'application des résolutions des Nations Unies sur la lutte contre le terrorisme / CanLII », sur canlii.org, CanLII (consulté le ).
  4. (en) « Proscribed terrorist groups - Home Office », sur security.homeoffice.gov.uk via Internet Archive (consulté le ).
  5. [PDF]http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:023:0025:0029:FR:PDF
  6. « eur-lex.europa.eu/LexUriServ/L… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  7. Malcolm Sutton, « CAIN : Sutton Index of Deaths », sur cain.ulst.ac.uk (consulté le ).