Mirakl | |
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Création | 2012 |
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Fondateurs | Philippe Corrot, Adrien Nussenbaum |
Forme juridique | SAS |
Siège social | Paris![]() |
Direction | Philippe Corrot, Adrien Nussenbaum |
Activité | Conseil en systèmes et logiciels informatiques
Ape : 6202A |
Produits | Internet, commerce électronique
Mirakl Marketplace Platform |
Société mère | Actarus (présidée par Philippe Corrot) |
Effectif | 350[1] (septembre 2020) |
SIREN | 530897990[2] |
Site web | http://www.mirakl.fr/ |
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Mirakl est un éditeur de logiciel français créé en 2012.
Mirakl est une entreprise française, en activité depuis 2012. Entreprise spécialisée dans l'édition logicielle, elle organise sa croissance autour du développement d'une solution de commerce en ligne destinée aux distributeurs et aux acteurs du B2B[3],[4]. Elle est implantée à Paris, Londres, Boston, Singapour et en Australie[1].
Son principal produit est Mirakl Marketplace Platform, plateforme délivrée en mode SaaS et qui permet à tout acteur de créer sa propre place de marché.
En 2005, Philippe Corrot et Adrien Nussenbaum cofondent Splitgames, un site de vente en ligne en Marketplace, où les membres peuvent vendre et s'échanger des jeux vidéo[5]. Il sera racheté en novembre 2008 par la Fnac. Philippe Corrot et Adrien Nussenbaum travaillent alors à développer l'activité Marketplace de l'enseigne et la dirigent pendant trois ans. Ils quittent la Fnac et créent Mirakl en 2012[6].
En , la société publie son premier baromètre sur les Marketplaces avec Sorgem et IBM[7]. 55 clients sont revendiqués dans 11 pays différents[8]. La même année, la société est reconnue comme l'un des leaders mondiaux des places de marché du commerce électronique, une position amplifiée par la suite[9],[10],[3],[11].
En 2019, Mirakl lance Mirakl Connect, une plateforme pour mettre en relation l'écosystème des marketplaces[12].
Son activité se répartit entre l'Europe (40%), l'Amérique du Nord (40%) et le reste du monde (20%)[1]. Elle facture à ses clients un pourcentage du chiffre d'affaires de leurs places de marché[1].
Les dirigeants estiment que les ventes BtoC sont très normées et ne nécessitent pas de développement important. En revanche, les ventes BtoB utilisent des méthodes différentes selon les entreprises concernées et doivent faire l'objet d'importants développements après 2020[1].