Peille | |||||
Vue du village près du col de Saint-Pancrace. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Nice | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du pays des Paillons | ||||
Maire Mandat |
Cyril Piazza 2020-2026 |
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Code postal | 06440 | ||||
Code commune | 06091 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Peillois ou Peillasques | ||||
Population municipale |
2 287 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 53 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 48′ 14″ nord, 7° 24′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 190 m Max. 1 268 m |
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Superficie | 43,16 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Nice (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Contes | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | peille.fr | ||||
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Peille (Pelha en occitan vivaro-alpin ou peillasque) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Jusqu'en 1860, le nom officiel en italien était Peglia.
Le village de Peille est situé à 10 km de La Turbie, 19 km de Monaco et de Nice et 15 km de L'Escarène. Peille domine le bassin versant monégasque par la haute silhouette du mont Agel qui, du haut de ses 1 148 mètres, surveille et protège, depuis l'Antiquité, l'amphithéâtre escarpé qui s'étend jusqu'au port Hercule.
Le village domine le ravin du Faquin. Dans le sud de la commune, le Gorbio prend source dans les préalpes de Nice à 1 080 mètres d'altitude.
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 978 mm, avec 5,6 jours de précipitations en janvier et 2,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 935,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 35 °C, atteinte le ; la température minimale est de −10,3 °C, atteinte le [Note 1],[3],[4].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,9 | 0,7 | 3,1 | 5,3 | 9,2 | 13,1 | 15,7 | 15,9 | 11,9 | 8,4 | 4,5 | 1,9 | 7,6 |
Température moyenne (°C) | 3,8 | 3,7 | 6,3 | 8,7 | 12,8 | 16,8 | 19,5 | 19,6 | 15,3 | 11,5 | 7,2 | 4,6 | 10,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,6 | 6,8 | 9,6 | 12,1 | 16,3 | 20,5 | 23,2 | 23,3 | 18,7 | 14,5 | 10 | 7,3 | 14,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−7,9 31.01.1999 |
−10,3 27.02.18 |
−9,6 01.03.05 |
−4,9 08.04.03 |
−0,1 05.05.19 |
4,7 01.06.06 |
7,8 12.07.00 |
8,6 31.08.12 |
3,1 18.09.1994 |
−1,5 28.10.12 |
−7,4 23.11.1988 |
−9 29.12.1996 |
−10,3 2018 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,8 19.01.07 |
19,8 03.02.20 |
23,4 25.03.1989 |
23,6 10.04.11 |
27,1 24.05.09 |
35 28.06.19 |
30,8 25.07.19 |
32,9 24.08.23 |
27,5 06.09.1988 |
24 01.10.23 |
21,9 10.11.15 |
18,8 13.12.1994 |
35 2019 |
Précipitations (mm) | 87,9 | 61,6 | 63,2 | 85,5 | 58 | 36,9 | 19,4 | 25,5 | 90,5 | 137,2 | 158,6 | 110,7 | 935 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
6,6 0,9 87,9 | 6,8 0,7 61,6 | 9,6 3,1 63,2 | 12,1 5,3 85,5 | 16,3 9,2 58 | 20,5 13,1 36,9 | 23,2 15,7 19,4 | 23,3 15,9 25,5 | 18,7 11,9 90,5 | 14,5 8,4 137,2 | 10 4,5 158,6 | 7,3 1,9 110,7 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[5]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Cours d'eau sur la commune ou à son aval[7] :
La commune dispose de deux stations d'épuration :
Rejoindre Peille par l'autoroute A8 ou A-8, dite la Provençale, Péage de la Turbie (système ouvert) + 57 La Turbie ; puis route départementale 53[11].
Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou ! . Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![12].
Liaisons régulières par bus[13].
Le tramway de Nice et du Littoral arrivait en gare de Peille qui est située dans le quartier de la Grave de Peille à 6,5 km du village.
D'après Albert Dauzat et Charles Rostaing, ce toponyme provient du pré-latin *pel-ia : hauteur[14]. La même racine, avec un suffixe diminutif, a donné le nom du village de Peillon.
Le village a pris plusieurs noms au cours de l'histoire. Un Gaucelinus de Pilia apparaît en tant que témoin d'un acte en 1029 selon le cartulaire de Saint-Pons. Son nom deviendra ensuite Peila au XIIe siècle d'après le cartulaire de la cathédrale de Nice. Toujours selon celui-ci, son nom évoluera en Pella (1135) puis en Sancte Marie de Pilea (1136) puis encore castrum de Pillia en 1200. En 1325, le village s'appellera Pilia et quelques décennies plus tard, en 1388, il deviendra la villa de Pella[15].
Les vestiges d'une muraille d'enceinte datant du Néolithique sont présents[15].
En 972-973, les nobles venus de la partie ouest de la Provence avec l'armée du comte de Provence Guillaume le Libérateur pour chasser les Sarrasins vont se partager la Provence orientale. Le vicomte de Nice du lignage de Mévouillan-Orange, Laugier de Nice et ses successeurs, vont chercher à agrandir leur territoire en prenant le contrôle des communautés rebelles à son pouvoir comme Peille et La Turbie. Pour les contrôler, les vicomtes construisent au XIe siècle des châteaux comme celui de Drap.
L’existence du village médiéval de Peille est attestée sous l'appellation Pilia, Pehla ou Peila par un document écrit datant de 1029, possède alors un territoire immense qui descend du col de Braus jusqu’à la mer.
En 1112, Douce de Provence, héritière du comté de Provence se marie avec Raimond-Béranger III, comte de Barcelone. Ce dernier va essayer de reprendre le contrôle de la Provence orientale. Depuis 1004, aucun comte de Provence n'est venu à Nice. En 1117, il est à Nice où il arbitre un conflit entre l'évêque de Nice et les vicomtes. Le comte Raimond-Bérenger II de Provence meurt en 1166 en venant faire le siège de Nice. Le comte de Provence Raimond-Bérenger III arrive à soumettre le consulat de Nice le , en présence de ses frères Sanche et Alphonse II, roi d'Aragon et comte de Provence jusqu'en 1173 (mais qui a continué à intervenir) et signe un accord[16]. Le seul allié du comte de Provence dans sa lutte contre le consulat et le vicomte de Nice est la communauté de Peille qui a réussi à résister à la féodalisation par les vicomtes de Nice.
À cette époque, Peille administre un territoire plus grand. Le , Alphonse Ier ou II, roi d'Aragon, comte de Barcelone, comte de Provence, institue un consulat à Peille avec une juridiction s'étendant sur Peille, Peillon, La Turbie et Monaco[17]. Les évêques de Nice et les abbés de Saint-Pons y ont des droits spirituels et temporels. Les chanoines de Saint-Ruf d'Avignon ont possédé l'église Sainte-Marie du XIIe siècle[18] jusqu'en 1654.
Au XIIe siècle, Peille est doté d'un consulat et est administrée par trois consuls élus[19]. En 1176, cette autonomie est confirmée par le comte de Provence car celle-ci lui a prêté main-forte contre les Niçois. C'est à cette période qu'elle forme, avec Lucéram et Utelle, une confédération républicaine[15].
En 1179, le comte de Provence contraint la communauté de Peille, dirigée alors par un consulat, à céder ses droits sur le rocher de Monaco à la République de Gênes, qui veut s’emparer du rivage de la Provence orientale. Un siècle plus tard, les Grimaldi s’installent à leur tour définitivement sur ce rocher.
En 1215, une partie de l'aristocratie de la partie orientale de la Provence refuse de reconnaître la suzeraineté du comte de Provence et des consuls de Nice discutent avec la république de Gênes. Le comte de Provence Raimond Bérenger V décide de reprendre le contrôle de la partie orientale du comté avec l'aide de Romée de Villeneuve. Nice fait sa soumission le en renouvelant l'accord passé en 1176. En prenant le contrôle du Pays de Nice, le comte de Provence a conservé un château dans les villes de Levens, Coaraze, Lucéram et Peille[20].
Au XIIIe siècle, l'action autoritaire des comtes de Provence comme Charles Ier va faire perdre une partie de ses libertés. Peille devient une simple communauté rurale qui gère ses affaires sous le contrôle du pouvoir comtal. Peille est le chef-lieu d'un petit bailliage avant qu'une réorganisation administrative faite en 1307 par Charles II rattache Peille à la «vicaria comitatus Vintimilli et vallis Lantusce» avec Sospel, Saorge, Breil, Pigna, La Roquette, Lucéram, Belvédère, La Bollène, Lantosque, Utelle, Roquebillière, Saint-Martin, La Tour et Valdeblore[21].
Peille se sépare de plusieurs de ses bourgs. En 1197, Peille cède ses droits sur Monaco à Gênes, puis Peillon en 1235, Contes, Sainte-Agnès, aux XIIe et XIIIe siècles[15], L'Escarène en 1520. Blausasc a été détaché de Peille en 1926.
Devenue l'un des trois chefs-lieux du bailliage de la viguerie de Nice au XIVe siècle, elle est rattachée, en 1347, à la viguerie de Vintimille dont le chef-lieu était Sospel[15].
En 1388, après la dédition de Nice, elle passe sous suzeraineté savoyarde[15], qui devient en 1720 le royaume de Sardaigne.
En 1326[22] et 1564, deux quartiers de Peille furent détruits par des tremblements de terre[23].
Peille qui était indépendante sous les comtes de Savoie a dû céder ses droits pour régler ses dettes qui sont alors importantes. Elle devient une seigneurie en 1621 qui est érigée en comté en 1651 en faveur de Jean-Paul Lascaris fils de Jean-Baptiste Lascaris, gouverneur de la ville de Nice (1647), de la famille Lascaris de Vintimille. Les Lascaris sont restés comtes de Peille jusqu'à la Révolution. Le palais Lascaris a été construit au XVIIe siècle, au bord de la falaise, par les successeurs de Jean-Baptiste Lascaris, co-seigneur de Castellar seigneur de Peille et neveu de Jean-Paul Lascaris (1560-1657), grand maître de l'ordre de Malte[24]. Le septième et dernier comte de Peille est Jean Paul Augustin Lascaris, mort à Vintimille le [25].
Peille devient française en 1792. Le comté de Nice est réuni à la France le et prend le nom de département des Alpes-Maritimes. Il retourne au royaume de Piémont-Sardaigne de 1814 à 1860 et revient à la France après le plébiscite de 1860.
Les relations économiques entre Peille et Monaco n’ont jamais vraiment cessé car la Principauté, jusqu’au début du XXe siècle, a besoin de denrées agricoles provenant des campagnes environnantes. Par ailleurs, la proximité culturelle a laissé des témoignages vivaces : l’église Sainte-Marie de l’Assomption du XIe siècle a reçu au XVIIIe siècle, une somptueuse décoration baroque, dont le retable du maître-autel a été peint par Antoine de Lima, un peintre monégasque. En 1989, le Prince Rainier III a fait don de l’orgue provenant de la chapelle du Palais princier. La paroisse de Peille, quant à elle, bien qu’appartenant au diocèse de Nice, est administrée par l’archidiocèse de Monaco. Plus récemment, une stèle honorant le souvenir de la Princesse Grace, qui aimait beaucoup venir se reposer dans les propriétés princières de Roc Agel et de Fontbonne, situées sur le territoire de Peille, est placée dans le jardin entourant la chapelle Saint-Martin.
De nos jours, la commune de Peille constitue pour la Principauté, outre un rappel de ses origines, un poumon vert indispensable, un lieu d’exercice sportif et de détente qui permet aux Monégasques de s’échapper d’une architecture verticale et futuriste, pour retrouver l’authenticité des vieilles pierres médiévales et d’une nature sauvage.
Le , le prince Albert II et la princesse Charlène, avant d’être faits citoyens d’honneur de Peille, ont dévoilé une plaque signalétique d’appartenance au réseau des Sites historiques Grimaldi de Monaco[26].
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[29] :
Avec les taux de fiscalité suivants :
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 740 €[30].
Peille est une commune rurale[Note 2],[31]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[32],[33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[34],[35].
Le règlement national d'urbanisme s'applique sur la commune, depuis le , à défaut de plan local d'urbanisme[36].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (41,4 %), zones urbanisées (3,6 %), cultures permanentes (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %), prairies (0,6 %), mines, décharges et chantiers (0,3 %)[37].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
La commune de Peille est soumise au Règlement national d'urbanisme[38],[39].
Peille quitte la communauté d'agglomération de la Riviera française le [40], avant de rejoindre la communauté de communes du pays des Paillons le [41].
Ses habitants sont appelés les Peillois ou les Peillasques.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[43].
En 2021, la commune comptait 2 287 habitants[Note 4], en diminution de 2,8 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Établissements d'enseignements[46] :
Professionnels et établissements de santé[49] :
Pour permettre l'organisation des manifestations la commune dispose de 3 lieux[51] :
Saint-Martin est le quartier résidentiel de Peille en cours d’expansion à 6 km du village et 700 mètres d'altitude, le long de la route conduisant à La Turbie située à 3,7 km[52] et à 10 kilomètres de Monaco.
Depuis 1922, la Grave de Peille est un lieu industriel avec l'une des plus grandes usines de ciments de France exploitée par l'entreprise Vicat[57].
Patrimoine religieux :
Architecture militaire :
Autres éléments :
Blason | D'argent à la croix pattée et alésée de gueules[92].
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Détails | Sur les panneaux d'information, à Peille, les armoiries sont : D'azur à la croix pattée de gueules. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |