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Rachid Amirou, né le à Mirabeau (actuellement Draâ Ben Khedda, en Algérie) et mort le à Auxerre (en France), est un sociologue français d'origine kabyle.
Maître de conférence à Montpellier puis professeur des universités à Nanterre, Paris 5, puis Perpignan[1],[2],[3]. Président du réseau interrégional inter-universitaire de recherche sur le tourisme (R2IT) dont il a été un des créateurs à la fin des années 1990[1]. Il s'est fait connaître par ses travaux sur le tourisme et sur les politiques du patrimoine culturel et l'imaginaire de la culture[2]. Ces écrits, s'inspirant de Winnicott, de Victor Turner, de Max Weber et de Gilbert Durand défendent la thèse que le tourisme et les pratiques récréatives, sont à rapprocher de l'espace potentiel tel que défini par Donald Winnicott[1].
Michel Houellebecq, ami de Rachid Amirou, le cite dans son livre Plateforme[4].