Sahurs
Sahurs
Le manoir de Marbeuf.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Thierry Jouenne
2020-2026
Code postal 76113
Code commune 76550
Démographie
Population
municipale
1 219 hab. (2021 en diminution de 2,64 % par rapport à 2015)
Densité 109 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 21′ 34″ nord, 0° 56′ 39″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 101 m
Superficie 11,23 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Sahurs
(ville-centre)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Canteleu
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web sahurs.fr

Sahurs [sayʁ] est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Elle fait partie du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

Géographie

Communes limitrophes de Sahurs
Saint-Pierre-de-Manneville Quévillon
Caumont, Seine
Eure
Sahurs Val-de-la-Haye
Hautot-sur-Seine
La Bouille, Seine Seine
Moulineaux
Seine
Grand-Couronne

La commune se trouve sur la rive droite de la Seine, à l'extrémité d'un méandre, et en bordure de la forêt de Roumare.

Voies de communication et transports

Les ponts les plus proches permettant de traverser la Seine sont le pont de Brotonne à Caudebec-en-Caux et le pont Gustave-Flaubert à Rouen. Un bac permet de traverser la Seine et de rejoindre la Bouille.

Article détaillé : Bacs de Seine.

Le village est desservi par le réseau Astuce par le biais de la ligne 44 qui permet de rejoindre Rouen, ainsi que par deux lignes à vocation scolaires la ligne 76 et la ligne 97 qui permettent de rejoindre le collège Gounod à Canteleu. Il est également desservi par le système de transport à la demande FILOR développé par la Métropole Rouen Normandie et mis en place depuis le [1].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 809 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jumièges à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 843,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

Typologie

Sahurs est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sahurs, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[12] et 2 147 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[13],[14].

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (26,6 %), zones agricoles hétérogènes (25,6 %), terres arables (24,5 %), zones urbanisées (6,8 %), prairies (6,8 %), eaux continentales[Note 3] (6,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Attestations anciennes

Le nom de la localité est mentionné sous les formes :

Étymologie

Salhus est devenu Sahus vers la fin du XIIe siècle avant d'être noté Sahurs un peu postérieurement.

Le nom actuel Sahurs s'explique très bien par les formes anciennes du type Salhus régulièrement attestées au XIe siècle. En effet, la forme actuelle Sahurs peut résulter d'une métathèse de [l] et d'une mutation de [l] à [r]. Ces deux phénomènes s'observent régulièrement en phonétique historique. Cette explication n'est cependant pas nécessaire, étant donné l'usage au moins jusqu'au XIIIe siècle d'une forme intermédiaire Sahus dont Sahurs représente peut-être une simple altération. Elle peut pourtant être liée elle aussi à une métathèse. En effet, le h normand d'origine germanique se prononçait traditionnellement avec une forte expiration [x] (comparable au Ach-Laut allemand ou à la jota espagnole), avant de se réaliser en [r] dans certains cas (cf. ramé pour hameau dans certaines parties du pays de Caux) ou bien de s'effacer. C'est ainsi qu'auparavant le [l] de Salhus a pu s'assimiler à [x] suivant, d'où Sahus, c'est-à-dire *[saxus], puis *[sa.urs] > [sa.ur].

Selon toute vraisemblance, Salhus > Sahurs ne s'analyse pas sur la base d'un radical Salh- suivi d'une désinence -us, les formes postérieures en -ors, -urs montrent qu'il s'agit d'un autre élément accentué. Par conséquent -us n'a rien à voir avec la désinence latine -us inaccentuée, en supposant qu'un *Salh ait pu être latinisé en Salhus. En effet, la finale latine -us a disparu ou s'est réduite à -(e)s en ancien français lorsque le mot est au cas sujet masculin (cf. les prénoms Charles ou Gilles). Il s'agit donc d'un composé de deux appellatifs toponymiques Sal-hus.

Selon certains toponymistes, ces deux appellatifs sont à la fois vieil anglais et norrois, à savoir : le vieil anglais salh (variante sealh) « saule » (cf. anglais sallow « genre de saule ») associé à l'élément hūs « maison » (vieil anglais hūs, moderne house, norrois hús « maison »), à savoir : « la maison du saule »[18],[23].

Ils le considèrent comme un équivalent du nom de lieu anglais Salhouse (Norfolk, Salhus 1291)[18]. Or, le Salhouse anglais représente plus vraisemblablement un pluriel de salh marqué par la désinence vieil anglais -as, la forme actuelle en -house résultant d'une étymologie populaire[24],[25],[26]. Cependant, hús ou hūs comme second élément de Sal-hus reste pertinent d'autant plus que le [u:] « ou long » du norrois a donné [y] en français, tout comme dans les mots d'origine latine (cf. luna « lune »), alors qu'un [u] « ou bref » se serait conservé (cf. lupus « loup »).

Une comparaison avec le nom de lieu norvégien Salhus (Nordland) s'impose davantage, ainsi qu'avec le composé islandais sæluhús « refuge » (sur sæla « bonheur, béatitude », génitif sælu). En effet, ils remontent au vieux norrois Sál(a)hús ou Saluhús qui désigne à l'époque chrétienne une « auberge pour les voyageurs »[27] et qui est un composé des éléments sál « âme » (génitif pluriel indéfini sála cf. islandais sál) ou sala « bonheur, béatitude » (génitif salu) et hús « maison ». Il s'agit, entre autres, d'une auberge se trouvant sur le parcours des bateaux vikings, où l'on pouvait passer la nuit, se restaurer et boire. Cette explication s'accorde bien avec la localisation de Sahurs en bord de Seine. Phonétiquement, la disparition du premier u de Sáluhús est explicable par un phénomène de semi-haplologie.

☞ Les étymologies que l'on rencontre parfois sur certains sites internets ou certaines monographies sur l'histoire des communes comme une explication par le latin salix « saule » ou le latin saltus « bois »[28] sont infondées sur le plan linguistique. En effet, d'une part, les mots latins salix ou saltus ne correspondent pas aux formes anciennes du type Salhus et ne peuvent phonétiquement aboutir, ni à Salhus, ni à Sahurs, d'autre part, ces deux termes latins n'ont aucune raison d'avoir été relatinisés par la suite en *salhus qui ne fait pas sens dans cette langue. Le latin salix a donné régulièrement l'ancien français salx, sals, saus et dialectal saus, sauce « saule » (cf. saule marsault, anciennement marsaux[29] et le dérivé Saussay, la Saussaye « la saulaie », latinisé en Salicetum dans les textes), quant au latin saltus (en réalité le gallo-roman SALTU), il a abouti à l'ancien français salt, sault « bois » (cf. Beaussault « beau bois », Seine-Maritime, Belsalt XIIe siècle), l'orthographe marsault au lieu de marsaux reflète d'ailleurs l'attraction de ce dernier terme.

Microtoponymie

D'autres noms de lieux à base norroise se rencontrent sur le territoire de la commune :

Histoire

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Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1793 Bernard Bataille    
1793 1796 Pierre Cabot    
1796 1799 Lefèbvre    
1799 1808 Pierre Hue    
1808 1831 Émile de Trémauville    
1831 1848 Jean Bernard Bataille    
1848 1853 Émile Estienne de Trémauville    
1853 1866 Ernest Hippolyte Cabot    
1866 1871 Frédéric Abraham Carré    
1871 1876 Jacques Florentin Lecoffre    
1881 1908 Eugène Leroux    
1908 1912 Édouard Cagnion    
1912 1919 Charles Cagnion    
1919 1928 Charles Bernard    
1928 1935 Paul Malenfant    
1935 1967 Maurice Alexandre    
1967 1988 Roger Pasquis    
1988 2001 Roger Gasly    
2001 2014 Guy Da Lage[32]    
mars 2014 En cours
(au 10 août 2020)
Thierry Jouenne PS Réélu pour le mandat 2020-2026[33],[34]

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2021, la commune comptait 1 219 habitants[Note 4], en diminution de 2,64 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
736750766753740741772766755
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
696693633581589599570550550
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
541558568539521526558624612
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6317557888701 0081 1201 3101 2701 234
2021 - - - - - - - -
1 219--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

Manoir de Marbeuf.
Église Saint-Sauveur.

Lieux et monuments

Antiquité

Moyen Âge et Renaissance

Renaissance et période moderne

Monuments historiques

La commune compte quatre monuments historiques :

Autres lieux et monuments

Le Sentier du bord de l'eau à Sahurs, le soir
Alfred Sisley, 1894
Musée des beaux-arts de Rouen

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. Mise en place du système FILOR
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Sahurs et Jumièges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Jumieges » (commune de Jumièges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Jumieges » (commune de Jumièges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Sahurs », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c François de Beaurepaire, Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-maritime, éditions Picard, 1979, p. 132.
  19. Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 » in Annales de Normandie, vol. 9, 1959, p. 155.(lire en ligne)
  20. Gallia christiana, t. XI, Paris, Imprimerie royale, 1759, Instrumenta, p. 26E, § XXIV.
  21. Pouillé du Diocèse de Rouen, 1337, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 11c.
  22. Charles de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, Paris, 1982-1984, p. 883 (lire en ligne sur dico-topo) [1]
  23. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 214.
  24. (en) Eilert Ekwall, The Concise Oxford Dictionary of English Place-names (4th edition), Oxford University Press, Oxford, 1960, p. 402a.
  25. (en) A. D. Mills, A Dictionary of English Place-Names, Oxford University Press, Oxford, 1993, p. 283b.
  26. Peter Trudgill, Dialect Matters : Respecting Vernacular Language, Cambridge University Press, 2016, p. 199 (lire en anglais) [2]
  27. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie, éditions OREP, 2009. p. 90.
  28. Site en ligne Sahurs.fr / Ma métropole [3] « la commune est mentionnée dans des documents datant du XIe siècle sous le nom de Salhus, du vieux français sals ou du latin salix, saule, arbre très commun en bord de Seine. Toutefois, l'étymologie reste incertaine, et le nom pourrait tout aussi bien dériver de saltus, qui désigne une région boisée, ou bien encore de salus, santé »
  29. Site du CNRTL : étymologie de marsault
  30. a et b Charles de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, Paris, 1982-1984 (réédition), p. 598 (lire en ligne sur DicoTopo) [4]
  31. François de Beaurepaire, op. cit., p. 157.
  32. « L’ancien maire Guy Da Lage dans les esprits lors de la cérémonie des vœux à Sahurs », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À l’issue, en présence de leurs proches, la mémoire de Guy Da Lage, ancien maire puis conseiller municipal et de Pierre Pasquis, premier adjoint, a été évoquée. Tous deux disparus cette année, ils laissent un grand vide, notamment lors des réunions qu’ils avaient l’habitude d’animer en binôme ».
  33. « Le maire de Sahurs prêt pour un nouveau mandat : Lors de ses vœux, Thierry Jouenne a annoncé qu’il se représenterait pour un nouveau mandat aux prochaines municipales », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Thierry Jouenne élu en 2014, a annoncé officiellement qu’il « solliciterait, de la part des Saluciennes et des Saluciens, un nouveau mandat en 2020 ».
  34. « Conseil municipal du 26 mai 2020 », Actualités, sur sahurs.fr (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Jean Benoît Désiré Cochet, Répertoire archéologique de la Seine-Inférieure, Imprimerie nationale, Paris, 1871
  40. Élisabeth Ridel, « Deux marteaux de Thor découverts en Normandie » in Patrice Lajoye, Mythes et légendes scandinaves en Normandie, Cully, OREP éditions, 2011, p. 17.
  41. Élisabeth Ridel, Ibidem.
  42. Notice no IA00021535, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, t. II, Flohic éditions, 1997, p. 753-754.
  44. Notice no IA00021537, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. a et b Philippe Seydoux (photogr. Serge Chirol), La Normandie des châteaux et des manoirs, Strasbourg, Éditions du Chêne, coll. « Châteaux & Manoirs », , 232 p. (ISBN 978-2851087737), p. 230.
  46. Abbé Cochet, op. cit..
  47. Vœu d'Anne d'Autriche
  48. a et b Notice no PA00101015, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. Notice no PA00101016, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. Notice no PA00101017, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. Notice no PA76000100, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  52. Notice no IA00021534, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.