Sonate K. 418 fa majeur — , Allegro, 107 mes.
⋅ K.417 ← K.418 → K.419 ⋅ L.25 ← L.26 → L.27 ⋅ P.509 ← P.510 → P.511 ⋅ F.363 ← F.364 → F.365 —
⋅ IX 30 ← Venise X 1 → X 2
⋅ XI 26 ← Parme XI 27 → XI 28
⋅ III 54 ← Münster III 55 → III 56
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La sonate K. 418 (F.364/L.26) en fa majeur est une œuvre pour clavier du compositeur italien Domenico Scarlatti.
La sonate K. 418, en fa majeur, notée Allegro, forme une paire avec la sonate suivante. Elle a des allures de toccata au dessin continu de croches[1]. Dans le manuscrit de Parme qui reprend la même paire, elle est précédée par la sonate K. 413 qui démontre une continuité musicale, notamment les sauts à la main gauche, alors que ces mêmes sauts obsessionnels se présentent à la main droite, dans la présente. À Venise les sonates sont séparées (IX 30/X 1) ; Kirkpatrick (K. 413/418) et Fadini (F. 359/364), suivant cette source pour leur catalogue, éludent le rapprochement[2].
Le manuscrit principal est le premier numéro du volume X (Ms. 9781) de Venise (1755), copié pour Maria Barbara ; les autres sont Parme XI 27, Münster III 55 (Sant Hs 3966) et Vienne F 3 (VII 28011 F)[3].
La sonate K. 418 est défendue au piano, notamment par Carlo Grante (2013, Music & Arts, vol. 4) et Sean Kennard (2015, Naxos, vol. 17) ; au clavecin par Huguette Dreyfus (1978, Denon), Scott Ross (1985, Erato)[4], Colin Tilney (1987, Dorian), Richard Lester, clavecin et piano-forte (2003, Nimbus, vol. 3) et Pieter-Jan Belder (Brilliant Classics, vol. 8).
Aladár Rácz l'interprète au cymbalum, accompagné d'Yvonne Rácz-Barblan au piano (Hungaroton). Joseph Petric (2008, Astrila) la joue à l'accordéon.
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