Compolibat
Compolibat
Les igues de Rouffiès et du Py.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau de Montbazens
Maire
Mandat
Francis Deleris
2020-2026
Code postal 12350
Code commune 12071
Démographie
Gentilé Compolibatois
Population
municipale
333 hab. (2021 en diminution de 6,2 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 22′ 43″ nord, 2° 11′ 45″ est
Altitude Min. 350 m
Max. 664 m
Superficie 17,04 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Villefranche-de-Rouergue
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villeneuvois et Villefranchois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Compolibat

Compolibat (Complibat en occitan) est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Géographie

Localisation

Compolibat, village situé au cœur d'une zone vallonnée et entourée de hautes collines boisées, se situe à mi-chemin entre Brandonnet et Prévinquières, environ à 15 km de Villefranche-de-Rouergue et 40 km de Rodez. L'Aveyron (grande rivière) passe à Compolibat et apporte une activité de loisirs, la pêche est très pratiquée dans la région.

Les collines boisées renferment aussi de bonnes surprises pour les fins gourmets : les champignons (cèpes, girolles, etc.).

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Brandonnet, Lanuéjouls, Maleville, Prévinquières, Privezac, Rieupeyroux, Le Bas Ségala et La Bastide-l'Évêque.

Rose des vents Maleville Lanuéjouls Privezac Rose des vents
Brandonnet N Prévinquières
O    Compolibat    E
S
Le Bas Ségala La Capelle-Bleys Rieupeyroux

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Compolibat.

La commune est drainée par l'Aveyron, l'Alzou, Bras de l'Alzou et par divers petits cours d'eau[1].

L'Aveyron, d'une longueur totale de 290,6 km, prend sa source dans la commune de Sévérac d'Aveyron et se jette dans le Tarn à Barry-d'Islemade, après avoir arrosé 60 communes[2].

L'Alzou, d'une longueur totale de 43,9 km, prend sa source dans la commune de Goutrens et se jette dans l'Aveyron à Villefranche-de-Rouergue, après avoir arrosé 11 communes[3].

Gestion des cours d'eau

La gestion des cours d’eau situés dans le bassin de l’Aveyron est assurée par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) Aveyron amont, créé le , en remplacement du syndicat mixte du bassin versant Aveyron amont[4],[5],[6].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 003 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Bas Ségala à 6 km à vol d'oiseau[9], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 062,4 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité

Sites Natura 2000

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[14] : Les « Vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de 17 144 ha, s'étendent sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[15].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Compolibat comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1],[16], la « Rivière Aveyron » (3 500 ha), couvrant 63 communes dont 38 dans l'Aveyron, 5 dans le Tarn et 20 dans le Tarn-et-Garonne[17] , et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[16], la « Vallée de l'Aveyron » (14 644 ha), qui s'étend sur 68 communes dont 41 dans l'Aveyron, 5 dans le Tarn et 22 dans le Tarn-et-Garonne[18].

Urbanisme

Typologie

Compolibat est une commune rurale[Note 3],[19]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

Infrastructures et occupation des sols de la commune de Compolibat.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (76,6 %), forêts (18 %), prairies (3,8 %), terres arables (1,6 %)[21].

Planification

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment la communauté de communes du Plateau de Montbazens, dont la commune est membre[22].

La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[23].

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Compolibat est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier[24],[25].

Risques naturels

Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[26].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[24]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[27]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Géorisques[28]. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune[29].

Risques particuliers

La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[30].

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. La commune de Compolibat est classée à risque moyen à élevé[31].

Toponymie

Le nom de Compolibat[32] se lit en premier dans le testament du comte de Rouergue, Raymond II, en 961, où il est écrit Campolivado. Puis, on trouve la mention Campo Libato ou Campus Libatus[33]. En occitan on écrit « Complibat » prononcé Coumplibat.

Histoire

Antiquité

Le hameau de Cranton, à 2,5 km au nord-ouest du bourg[34], est vraisemblablement le Carantomago mentionné sur la table de Peutinger[35] comme première étape sur la route de Segodunum Rutenorum (Rodez) à Cahors (tronçon en trois étapes, où Carantomago est suivi de Varadetum, Varaire).

Moyen Âge

Époque moderne

Époque contemporaine

Elle est la patrie d'Enric Mouly, fondateur de lo Grelh roergàs[36]; la vallée de l'Aveyron est le décor de ses nombreux romans.

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Compolibat est membre de la communauté de communes du Plateau de Montbazens[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Montbazens. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[37].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Villeneuvois et Villefranchois pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la deuxième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[38].

Élections municipales et communautaires

Élections de 2020

Le conseil municipal de Compolibat, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[39] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[40]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. La totalité des dix candidats en lice lors du premier tour[41] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 57,62 %. Le dernier conseiller restant à élire est élu au second tour, qui se tient le du fait de la pandémie de Covid-19, avec un taux de participation de 35,74 %[41]. Francis Deleris, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [42].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[43]. Deux sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes du Plateau de Montbazens[44].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995 mars 2014 Jean Moly    
mars 2014 en cours Francis Deleris[45],[46]   Ancien cadre
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[48].

En 2021, la commune comptait 333 habitants[Note 5], en diminution de 6,2 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861
478500740740806813955900847
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
9421 0278921 0211 0141 017881778779
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
712636655660637605566568556
1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
508472469405414417395356334
2021 - - - - - - - -
333--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 145 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 343 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 850 [I 5] (20 640  dans le département[I 6]).

Emploi

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 7] 5,4 % 4,3 % 5,6 %
Département[I 8] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 182 personnes, parmi lesquelles on compte 76,5 % d'actifs (70,9 % ayant un emploi et 5,6 % de chômeurs) et 23,5 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 10]. Elle compte 52 emplois en 2018, contre 69 en 2013 et 66 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 133, soit un indicateur de concentration d'emploi de 38,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,7 %[I 11].

Sur ces 133 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 39 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 84 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 2,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

24 établissements[Note 8] sont implantés à Compolibat au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 14]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 24 entreprises implantées à Compolibat), contre 17,7 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture

La commune est dans le Segala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[51]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 70 48 42 32
SAU[Note 11] (ha) 1 344 1 419 1 419 1 448

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 70 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 48 en 2000 puis à 42 en 2010[53] et enfin à 32 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[54],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 344 ha en 1988 à 1 448 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 19 à 45 ha[53].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Bibliographie

Articles connexes

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Notes et références

Notes et cartes

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[52].
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

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  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Compolibat » (consulté le ).
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  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Compolibat » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).

Autres sources

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  3. Sandre, « l'Alzou »
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  30. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque minier », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le ).
  31. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le ).
  32. Cambon = courbe, terre alluviale. Cambo = courbe. Racine d'origine celtique
  33. Campus Libatus = champ arrosé (d'après le livre de la paroisse, Compolibat était réputé pour la qualité de ses terres, prairies, bonnes pour l'élevage)
  34. « Compolibat, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
  35. « Un peu d'histoire », sur compolibat.fr (consulté en ).
  36. (BNF 12127601) et (BNF 34236327)
  37. « communauté de communes du Plateau de Montbazens - fiche descriptive au 10 octobre 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
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  39. Article L. 252 du Code électoral
  40. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
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  49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  54. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aveyron » (consulté le ).
  55. Roquenoubal : rocher, fortification, racine d'origine préceltique
  56. Igue (iga) : ravin, racine d'origine celtique
  57. Rouffiès : vient du mot latin rufus qui veut dire rouge (sa terre est très rouge d'ailleurs)
  58. Py : désigne une crête qui domine les alentours