Gottwald fait aussi de la musique de danse et des musiques de danse pour le hip-hop dans son studio d'enregistrement maison. Il remixe des chansons pour Mos Def, Black Star, Bon Jovi, et KRS-One & Zack de la Rocha. Il publie le single 12" Wet Lapse, sous le nom KaSZ pour le label Rawkus Records et remixe le thème du film Mortal Kombat.
Il a reçu 4 Pop Music Awards de l'American Society of Composers, Authors, et Publishers en 2009, 3 prix en 2008, un en 2007 et deux en 2006 (dix ASCAP Pop Music Awards au total depuis 2006). En 2009, il travaille sur le premier album de la chanteuse américaine Kesha ainsi qu'avec Miley Cyrus sur la chanson à succès Party in the USA.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
La traduction de cet article ou de cette section doit être revue (27 décembre 2023).
Le contenu est difficilement compréhensible vu les erreurs de traduction, qui sont peut-être dues à l'utilisation d'un logiciel de traduction automatique.
Discutez des points à améliorer en page de discussion ou modifiez l'article.
En septembre 2013, Rebecca Pimmel, une fan de Kesha, lance une pétition pour « sauver » Kesha de l’emprise de Gottwald et accuse Luke de « bloquer » le développement artistique de Kesha[1]. Les signataires, après avoir pris connaissance du reportage TV « My Crazy Beautiful Life » (dans lequel Luke est un producteur exécutif) en ont conclu qu’elle avait très peu de contrôle sur son 2e album Warrior.
En janvier 2014, peu après que Kesha a été admise dans un centre de réhabilitation à cause de sa boulimie, la mère de Kesha, Pebe Sebert (en), accusera Gottwald d’être responsable de la pression psychologique qu’a subie sa fille en révélant que Gottwald a dit à cette dernière qu’« elle ressemblait à un réfrigérateur », ce qui aurait provoqué et/ou aggravé les troubles du comportement alimentaire de Kesha. Gottwald niera ces faits[2].
En octobre 2014, Kesha porte plainte contre Gottwald pour viol et agression sexuelle, harcèlement sexuel, violence genrée, harcèlement civil, crime de haine, violation des lois de Californie contre les mauvaises pratiques commerciales, infliction de détresse émotionnelle (intentionnelle ou par négligence), et négligence de la gestion de sa carrière[3],[4].Gottwald refusera la plainte en clamant que le procès de Kesha n’avait lieu d’être que dans un but, pour Kesha, sa mère et sa nouvelle firme de management, celui de couper court au contrat qui le reliait à Kesha[5].
Une déclaration préliminaire dans laquelle Kesha demandait à être libérée de son contrat a été refusée le 19 février 2016[6]. Avant d’attaquer Gottwald au tribunal, en 2011, Kesha, dans une déposition lors d’un procès contre ses anciens managers à DAS Communications, avait déjà déclaré sous serment que le producteur ne l’avait jamais agressée ou droguée, ce qui a joué un rôle déterminant en faveur de la défense lors du procès suivant[7]. En 2016, Kesha déclare qu’on lui a proposé de rompre le contrat si elle retirait officiellement ses accusations contre Gottwald[8].
La plainte de Kesha ayant été déposée à Los Angeles, Californie, celle de Gottwald à New York, la cour a daigné avoir manqué d’éléments juridiques pour se prononcer sur les incidents survenus en Californie. D’autre part, un juge de la Cour supérieure de Los Angeles choisira de geler la plainte de Kesha jusqu’à ce que celle de Gottwald pour violation de contrat et diffamation soit étudiée[9].
Le 6 avril 2016, le juge de New York Shirley Kornreich refusera les accusations de Kesha pour agression sexuelle, agression sexuelle et violence genrée, déclarant ainsi « Bien que Kesha déclare que Gottwald a abusé sexuellement, physiquement et verbalement d’elle pendant une décennie, elle ne déclare que deux seules agressions sexuelles et/ou physiques spécifiques », mais également que « Le plus récent décrit dans l’affaire est daté de 2008, dépassant le délai de prescription. » Le juge a également refusé les accusations de Kesha quant à la violence genrée ainsi qu’au crime de haine, car « rien ne prouve chez Gottwald qu’il éprouvait de l’animosité pour un genre spécifique, lorsqu’il se serait violemment comporté envers Kesha […], tous les viols ne sont pas des crimes motivés par la haine envers un genre ».
Kesha verra également sa plainte pour infliction de détresse émotionnelle être refusée par le juge, car « les insultes sur sa valeur en tant qu’artiste, son apparence et son poids sont insuffisantes pour être associées un comportement outrageant, extrême et intolérable, dans une société civilisée »[10].
My Life Would Suck Without You (Billboard Hot 100 #1, Billboard Pop 100 #4, Canadian Hot 100 #1, UK #1)- coécrite avec Max Martin et Claude Kelly et produite par Dr Luke
Circus (Billboard Hot 100 #3, Canadian Hot 100 #2, Billboard Pop 100 #1, Billboard Digital Songs #1, Billboard Hot 100 Airplay #7, UK #13) - écrite et coproduite avec Benny Blanco
Shattered Glass - écrite et coproduite avec Benny Blanco
Lace et Leather - écrite et coproduite avec Benny Blanco
Keep Holding On - produite par Dr Luke et coécrite avec Avril Lavigne
Girlfriend - (Billboard Hot 100 #1, Billboard Pop 100 #1, Canadian Hot 100 #1,UK #2, #1 Worldwide Digital Sales 2007) produite par Dr Luke et coécrite avec Avril Lavigne
Girlfriend Dr Luke Remix Feat. Lil' Mama - Remixed, produite et coécrite par Dr Luke
I Can Do Better - produite par Dr Luke et coécrite avec Avril Lavigne
I Don't Have to Try - produite par Dr Luke et coécrite avec Avril Lavigne
Hot (UK #30)- produite par Dr Luke
I Will Be - produite par Dr Luke et coécrite avec Avril Lavigne, Max Martin
Runaway - produite par Dr Luke et coécrite avec Avril Lavigne, Kara DioGuardi
Alone - produite par Dr Luke et coécrite avec Avril Lavigne, Max Martin
Love Me or Hate Me (Fuck You!!!!) (en) - écrite et produite (première chanson écrite par un artiste anglais à atteindre la première place au MTV's Total Request Live)
Love Me or Hate Me (Fuck You!!!!) (Remix featuring Missy Elliott) - écrite et produite
↑(en-GB) Mahita Gajanan, « Kesha denied legal request to escape contract with man she alleges raped her », The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le )
↑(en-GB) Molly Redden, « The end of #FreeKesha: judge's ruling brings pop star back to square one », The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le )