Jouy-en-Josas
Jouy-en-Josas
L'hôtel de ville.
Blason de Jouy-en-Josas
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Versailles
Intercommunalité CA Versailles Grand Parc
Maire
Mandat
Marie-Hélène Aubert
2020-2026
Code postal 78350
Code commune 78322
Démographie
Gentilé Jovaciens, Jovaciennes
Population
municipale
7 928 hab. (2021 en diminution de 4,62 % par rapport à 2015)
Densité 782 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 08″ nord, 2° 10′ 04″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 179 m
Superficie 10,14 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Versailles-2
Législatives 2e circonscription des Yvelines
Localisation
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Jouy-en-Josas
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Jouy-en-Josas
Liens
Site web http://www.jouy-en-josas.fr

Jouy-en-Josas [ʒwi ɑ̃ ʒozas] Écouter est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les « Jovaciens » et les « Jovaciennes ».

Géographie

Jouy-en-Josas est située à quatre kilomètres au sud-est de Versailles et à 19 km au sud-ouest de Paris.

Près de la moitié du territoire, soit environ 500 hectares, est couvert de bois.

Les communes limitrophes sont Vélizy-Villacoublay au nord-est, Bièvres (Essonne) à l'est, Saclay (Essonne) au sud, Toussus-le-Noble à l'extrême sud-ouest, Les Loges-en-Josas à l'ouest, Buc au nord-ouest et Versailles au nord-nord-ouest.


Transports

L'A86 borde le nord du territoire communal et par Paris avec la RN 118.

La ville est reliée à Versailles par le Transilien V (ex-branche C8 du RER C) grâce aux gares de Jouy-en-Josas, Vauboyen et Petit Jouy - Les Loges. Ces deux dernières ont la particularité d'être à cheval sur les communes de Jouy-en-Josas et de Bièvres ou des Loges-en-Josas. Ainsi pour la gare de Petit Jouy - Les loges, la maisonnette abritant le guichet est située sur la commune des Loges, les quais se situant sur la commune de Jouy.

Hydrographie

Jouy est situé dans la vallée de la Bièvre.

À l’ouest, à son entrée sur le territoire communal, la rivière est divisée en deux bras.

Les deux bras se rejoignent près de la Mairie. Le bras unique longe le côté nord de la rue Jean-Jaurès et pénètre dans le domaine de l’INRA où il se divise encore. La partie sud du territoire communal est parcourue par un affluent de la Bièvre, le ru Saint-Marc, qui prend sa source à Toussus-le-Noble au lieu-dit le Trou salé, traverse le golf de Saint-Marc, le campus HEC et jette dans la Bièvre par une petite chute à la limite du domaine du château (HEC)[1].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 696 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Toussus-le-Noble à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records TOUSSUS LE NOBLE (78) - alt : 154m, lat : 48°45'02"N, lon : 2°06'48"E
Records établis sur la période du 01-01-1965 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,4 3,5 5,5 8,9 12,1 13,9 13,6 10,6 8 4,5 2,1 7,1
Température moyenne (°C) 4,2 4,7 7,8 10,6 14,1 17,4 19,6 19,4 15,8 11,9 7,4 4,6 11,5
Température maximale moyenne (°C) 6,7 8 12,1 15,8 19,3 22,8 25,2 25,2 21 15,9 10,4 7,1 15,8
Record de froid (°C)
date du record
−17,4
17.01.1985
−12,8
07.02.1991
−10,2
13.03.13
−5,1
12.04.1986
−2
03.05.1967
1,6
04.06.1991
4,9
09.07.1965
4,7
21.08.14
1,1
30.09.1995
−4,2
30.10.1985
−11,3
30.11.1969
−14
31.12.1970
−17,4
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,1
28.01.02
21,1
27.02.19
25,1
31.03.21
28,3
20.04.18
31,7
27.05.05
37,5
21.06.17
40,8
25.07.19
39,3
12.08.03
35,1
09.09.23
29,8
01.10.1985
20,7
01.11.14
16,7
07.12.00
40,8
2019
Précipitations (mm) 55,3 46,9 49,5 49,6 68,2 55,4 53,3 58,2 52,1 61,3 60,8 66,4 677
Source : « Fiche 78620001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

Typologie

Jouy-en-Josas est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols

Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 24,6 % 252
Aéroports 0,8 % 8
Équipements sportifs et de loisirs 16,3 % 167
Terres arables hors périmètres d'irrigation 12,3 % 126
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 3,3 % 34
Forêts de feuillus 42,7 % 437
Source : Corine Land Cover[16]

Toponymie

Jouy est attesté sous la forme latinisée de Gaugiaco au début du IXe siècle[17], Gaugiacum au XIe siècle, puis Joi au XIIIe siècle, Joe, Jouy en 1466 et Joiacum in vall Galliæ en 1498[18].

Il procède, comme la plupart des Jouy, Joué, Gouy, Gaugeac, etc., du type toponymique gallo-roman gaudiacu, basé sur le nom de personne chrétien Gaudius (latin gaudium, gaudia, joie), suivi du suffixe -acum[19], d'où le sens global de « propriété de Gaudius ».

Jouy était le nom d'un des deux vici portant ce déterminant de localisation Josas, dans l'ancien pays de Hurepoix[20].

Josas était le nom de l'archidiaconé de l'ancien diocèse de Paris, celui qui s'étendait au sud de la Seine, il s'est appelé, depuis le XIVe siècle, « archidiaconé de Josas »[21].

Histoire

Josas était le nom d'un des deux vici composant l'ancien pays de Hurepoix, l'autre étant au nord-est le pays de Châtres (pagus Castrensis), nommé actuellement Arpajon. C'était une circonscription ecclésiastique, l'un des trois (archidiaconats) de l'évêché de Paris, attestée sous les formes latinisée Archidiaconus Josiacensis en 1352 et française Josays en 1525[20]. Les deux autres archidiacres étaient ceux de Paris et de Brie, ils occupaient les premiers rang du chapitre de la cathédrale, après le doyen et le grand chantre. L'archidiaconat de Josas comprenait lui-même deux doyennés, celui de Châteaufort et celui de Montlhéry.

Diverses découvertes attestent une présence gallo-romaine en divers lieux de la commune dont le nom est celui du possesseur romain d'un domaine à l'époque de Dioclétien : Gaudiacum*, domaine de Gaudius[17]. Le vocable de l'église qui est Saint-Martin pourrait être la trace d'une fondation ancienne. La première mention écrite de Gaugiaco remontent au début du IXe siècle[22], époque où cette terre dépendait de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés dont les moines ont procédé au défrichement des terres. Cette église avait un chapitre en 1784, date où il décide d'abattre une statue de saint Christophe.

Avec les guerres successives, la guerre de Cent Ans, puis la peste noire, la population fut progressivement anéantie et en 1466, la paroisse ne comptait plus que trois feux. À partir de cette date, Jouy devient une terre laïque dont la seigneurie sera donnée à diverses familles s'étant illustrées par leurs services rendus au roi.

Vue depuis le premier étage du château de Jouy sur le parterre de l'Orangerie, XVIIIe siècle.
Buste d'Oberkampf dans le jardin de la mairie.

En 1759, Christophe-Philippe Oberkampf, entrepreneur d'origine allemande, s'installe à Jouy-en-Josas pour y implanter sa manufacture de toile de Jouy qui employa jusqu'à 1200 ouvriers[24]. Il en deviendra le premier maire en 1790. Le déclin de l'entreprise s'amorce en 1799 et surtout en 1815 avec la chute de Napoléon Ier puis la mort d'Oberkampf. La faillite sera consommée en 1843.

La devise d'Oberkampf était Recte et Vigilanter qui signifie « Avec droiture et vigilance ». Elle a été reprise par la commune qui la fait figurer sous son blason.

La fondation Cartier pour l'art contemporain s'est installée pendant un temps sur le territoire communal puis l'a quitté au profit de Paris.

La commune est aussi le siège de HEC Paris qui a implanté son campus en 1964 dans le château et dans son domaine, rachetés en 1955 à la famille Mallet par la chambre de commerce et d'industrie de Paris pour y installer son école et son campus.

Politique et administration

À l'entrée de la ville.

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[25], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Versailles après un transfert administratif effectif au .

Après avoir été fugacement le chef-lieu d'un canton de Jouy de 1793 à 1801, la commune est intégrée cette année-là au canton de Versailles-Sud[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Versailles-2

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription des Yvelines.

Intercommunalité

Jouy-en-Josas est membre de la communauté d'agglomération Versailles Grand Parc, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002.

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 1793 Christophe-Philippe Oberkampf   Industriel
1793 1820 Jacques Pétineau    
1820 1823 Baron Émile Oberkampf    
1823 1848 Jacques-Juste Barbet de Jouy    
1848 1855 Simon Loiseau    
1855 1868 Alphonse Mallet    
1868 1879 Baron Cabrol de Monté    
1879 1881 François Gillette    
1881 1896 Jules Plet    
1896 1897 François Gillette    
1897 1900 Jean Edmond    
1900 1901 Jules Moore    
1901 1911 Henri Bertsch    
1911 1919 Guy Raphaël Giberton Dubreuil    
1919 1925 Julien Pannetier    
1925 1929 Émile Vautier    
1929 1929 Gaston Lancelin    
1929 1944 Émile Mousseau    
1944 1945 Robert Allavoine    
Les données manquantes sont à compléter.
octobre 1947 mars 1959 Émile Mousseau    
mars 1959 1962 Mathieu Berger    
1962 1970 Pierre Jeanrenaud DVD-UDR  
1970 septembre 1985 Jacques Toutain DVD puis
UDF-Rad.
Inspecteur général des Finances
Sénateur des Yvelines (1985)
Conseiller général de Versailles-Sud (1973 → 1979)
Décédé en fonctions
septembre 1985 mars 2008 Monique Le Saint RPR puis UMP Secrétaire retraitée
Conseillère générale de Versailles-Sud (1998 → 2011)
mars 2008 mai 2020[27] Jacques Bellier DVD Cadre supérieur retraité
Vice-président de la CA Versailles Grand Parc (2016 → )
mai 2020[28],[29] En cours
(au 2 juin 2020)
Marie-Hélène Aubert DVD Diplômée d'une école de commerce et ancienne attachée de presse
Conseillère générale de Versailles-Sud (2011 → 2015)
Conseillère départementale de Versailles-2 (2015 →)
Vice-présidente du conseil départemental des Yvelines (2015 →)

Distinctions et labels

En 2005, la commune a reçu le label « Ville Internet @ »[30] puis en 2008 et 2010 « Ville Internet @@@@ »[31],[32].

Le 6 décembre 2016, Ségolène Royal, alors ministre de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer, a signé, parmi d'autres, la convention de Territoire à énergie positive pour la croissance verte (TEPCV) de Jouy-en-Josas[33],[34] .

En 2022, la commune a reçu sa première fleur dans le cadre du label Villes et villages fleuris[35],[36].

Jumelages et coopération internationale

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

En 2021, la commune comptait 7 928 habitants[Note 3], en diminution de 4,62 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7161 6731 8331 3501 2441 3381 4151 1271 136
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2261 3841 3871 3221 4631 3161 3601 3581 485
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5131 4101 3871 5411 6692 0292 2462 5383 321
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
4 1435 4777 2217 6647 6877 9468 0558 1078 291
2018 2021 - - - - - - -
8 1247 928-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 44,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 4 047 hommes pour 4 077 femmes, soit un taux de 50,18 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,5 
7,2 
75-89 ans
8,7 
11,2 
60-74 ans
13,0 
18,1 
45-59 ans
19,8 
14,9 
30-44 ans
15,8 
32,7 
15-29 ans
26,1 
15,2 
0-14 ans
15,0 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Église Saint-Martin.
Statue de la Vierge « la Diège » de Notre-Dame de Viltain, à l'église Saint-Martin.
La vallée de Jouy-en-Josas d'Adolphe Viollet-le-Duc, 1874, musée d'Art et d'histoire de Dreux, Eure-et-Loir.
La vallée de Jouy-en-Josas d'Adolphe Viollet-le-Duc, 1874, musée d'Art et d'Histoire de Dreux, Eure-et-Loir.

Institutions culturelles

Jouy-en-Josas dans les arts et la littérature

Personnalités liées à la commune

Personnalités historiques

Personnalités contemporaines

Héraldique

Armes de Jouy-en-Josas

Les armes de Jouy-en-Josas se blasonnent ainsi : d’azur à la colonne d’argent sommée d’un coq du même, crêté et barbé de gueules, au chef du même chargé de trois quintefeuilles d’or.

Notes et références

Notes

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. Patrick Fournier et Claire Gauge, La Bièvre La Haute vallée, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 2-84253-858-7), p. 45 et 112.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Jouy-en-Josas et Toussus-le-Noble », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Toussus Le Noble » (commune de Toussus-le-Noble) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Toussus Le Noble » (commune de Toussus-le-Noble) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  17. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 313a.
  18. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  20. a et b Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), p. 240.
  21. Lucien Gallois, Paul Vidal de La Blache, Régions naturelles et noms de pays : étude sur la région parisienne, Comité des travaux historiques et scientifiques - CTHS, , p. 119.
  22. Albert Dauzat, Dictionnaire étymologique des noms de lieux de France, Larousse, 1963.
  23. AD Yvelines, E378.
  24. Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, préface de Paul-Louis Tenaillon, président du conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 75
  25. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Laurent Mauron, « Jouy-en-Josas : Marie-Hélène Aubert candidate à la succession de Jacques Bellier : Adjointe depuis 2008 et vice-présidente du conseil départemental, elle mènera une liste dans la continuité de l’actuel maire SE de la commune », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La nouvelle est désormais officielle. Marie-Hélène Aubert est officiellement candidate à la succession de Jacques Bellier (78 ans), l'actuel maire SE de Jouy-en-Josas, qui ne se représente pas, mais la soutient ».
  28. Florie Cedolin, « Marie-Hélène Aubert loin devant à Jouy-en-Josas : Marie-Hélène Aubert l'emporte avec 65,85% des suffrages à Jouy-en-Josas (Yvelines) face à Grégoire Ekmekdje (34,14%) », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Florie Cedolin, « A Jouy-en-Josas, Marie-Hélène Aubert entre dans ses fonctions de maire : L'installation du conseil municipal élu le 15 mars à Jouy-en-Josas (Yvelines) a eu lieu hier mercredi 27 mai », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C’est une transition en douceur qui s’est faite à Jouy-en-Josas (Yvelines) entre Jacques Bellier (maire sortant) et Marie-Hélène Aubert, élue le 15 mars dernier ».
  30. Palmarès 2005 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 01/10/2009.
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Voir aussi

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Bibliographie

Articles connexes

Liens externes