Cet article est une ébauche concernant un film américain.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les conventions filmographiques.

Le Grand Caruso

Titre original The Great Caruso
Réalisation Richard Thorpe
Scénario Sonya Levien
William Ludwig
Acteurs principaux
Sociétés de production Metro-Goldwyn-Mayer
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Biopic, drame, romance, film musical
Durée 109 minutes
Sortie 1951

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Le Grand Caruso (The Great Caruso) est un film américain en Technicolor réalisé par Richard Thorpe, sorti en 1951.

Synopsis

La vie et la carrière du ténor Enrico Caruso (1873-1921), depuis son enfance jusqu'à sa mort.

Fiche technique

Distribution

Acteurs non crédités

Et (dans les extraits d'opéras) : Blanche Thebom, Teresa Celli, Nicola Moscona, Giuseppe Valdengo, Lucine Amara, Marina Koshetz.

Distinctions

Récompenses

Nominations

Critique

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (août 2017). Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle ((Référence nécessaire)) sur les passages nécessitant une source.

Cette histoire très romancée de Caruso se confond avec celle de son interprète, lui aussi ténor, qui a fait une partie de sa carrière au cinéma : Mario Lanza. Ce dernier, né l'année même de la disparition de son illustre modèle, s'est largement investi dans ce film qui remporta un grand succès à sa sortie. Succès inattendu pour un sujet aussi peu cinégénique que l'opéra mais succès logique tout de même si l'on veut se souvenir que Caruso fut adopté par l'Amérique qui le chérit bien fort et donna à sa carrière cette dimension définitive qui aboutit à sa légende. Les décors et reconstitutions d'extraits d'opéras sont très soignés. Notons qu'une des partenaires de Lanza, la soprano Jarmila Novotná, a elle aussi tourné plusieurs films. Et observons que ce film fut un détonateur de vocations lyriques, les ténors les plus glorieux s'en réclament, tel José Carreras qui était enfant lorsque le film sortit ou, plus curieusement, le Maltais Joseph Caleja qui le vit, lui aussi, enfant mais trente ans plus tard. Le film aura sans doute vieilli mais son message, lui, reste intact.

Notes et références

  1. Selon IMDB (Cf. lien externe)
  2. Selon l'AFI (Cf. lien externe)