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Spie Batignolles
logo de Spie Batignolles

Création 1846 (Ernest Goüin et Cie)
Dates clés 1968 : fusion de la SCB et de la SPIE ;
2003 : Spie Batignolles devient un groupe indépendant
Forme juridique Industrielle
Slogan « Le meilleur est à construire »
Siège social 8, rue Victor-Noir, 92521 Neuilly-sur-Seine Cedex
Drapeau de la France France
Direction François-Xavier Clédat (président du conseil de surveillance)
Jean-Charles Robin (président du directoire)
Actionnaires Cadres dirigeants (70,76 %), Ardian France (12,27 %), LPI- Management & Ardian France (9 %), Salvepar (7,97 %)
Activité Bâtiment et travaux publics
Effectif 8 000
SIREN 478711161[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web http://www.spiebatignolles.fr

Chiffre d'affaires 2 100 M€ (2020)
Société précédente Société parisienne pour l'industrie électrique (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Spie Batignolles est un groupe français de construction et de BTP issu de la fusion entre la Société de construction des Batignolles et la Société parisienne pour l'industrie électrique (SPIE) en 1968. En 2003, alors que Spie Batignolles est devenue la filiale Construction du groupe SPIE, les cadres rachètent leur entreprise et Spie Batignolles devient alors une entreprise indépendante.

Quatrième groupe français du secteur de la construction en 2003[2], il est spécialisé dans les travaux publics, le génie civil et les fondations, l'énergie et l'aménagement, ainsi que l'immobilier et les concessions.

Histoire

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En 1846, Ernest Goüin crée la société en commandite par actions Ernest Goüin et Cie, qu'il transforme en la société anonyme Société de construction des Batignolles (SCB) en 1871.

En 1900, le baron Empain créé la Société parisienne pour l'industrie électrique (SPIE).

La Société parisienne pour l'industrie électrique (SPIE) et la Société de construction des Batignolles (SCB) fusionnent pour former Spie Batignolles en 1968.

Spie Batignolles absorbe la Compagnie industrielle de travaux (CITRA) en 1972, puis acquiert la société CAPAG en 1977 et la société TRINDEL (spécialisé dans l'installation électrique) en 1982.

En 1998, l'entreprise subit un RES de 5 ans (rachat de l'entreprise par les salariés), ainsi Spie Batignolles prend le nom de Spie S.A..

Elle absorbe la société Pétavit en 1999.

En 2001, le groupe lance de la démarche "Zéro Accident" ; Spie Batignolles est le premier constructeur à se fixer cet objectif ; ainsi que Concertance, une méthode inédite de conduite de projets en partenariat, la première marque de Spie Batignolles.

L'année suivante, l'Académie Spie Batignolles est créée[réf. nécessaire].

En 2003, Spie Batignolles, filiale « construction » du groupe SPIE, est cédée à ses cadres dirigeants. En même temps Spie SA devient AMEC SPIE. La même année, lancement de Présance, le réseau de proximité de Spie Batignolles pour l'entretien, la maintenance et la valorisation des sites et bâtiments. En 2004, 60 % des salariés de Spie Batignolles souscrivent au Plan d'épargne groupe (PEG) à hauteur de 4,5 % du capital et le , Financière Spie Batignolles rachète les parts encore détenues par AMEC SPIE.

En 2005, acquisition d'Eurelec, devenue Spie Batignolles énergie en 2010 (électricité, maintenance multitechnique, génie climatique), puis, l'année suivante, de Valérian (terrassement).

En 2006, lancement de la Fondation Spie batignolles et première notation extra-financière A+.

En juin 2007, une nouvelle souscription dans le Plan d'épargne Groupe permet aux salariés d'être actionnaires du groupe à hauteur de 7,5 %, et au mois d'octobre, les 200 dirigeants et cadres actionnaires de Spie batignolles détiennent 80 % de Financière Spie Batignolles.

En 2007, acquisition du groupe SPR (peinture, aménagement, façade, verre et métal).

En 2008, lancement de Performance, la marque qui établit un nouveau standard sur le plan de la qualité de réalisation.

En 2009, acquisition de l'Entreprise Malet (travaux routiers).

En 2009, 2e notation extra-financière AAA+, une note record dans le secteur de la construction[réf. nécessaire].

Rachat des parts de Pétavit par 4 cadres en 2013. Une holding d'acquisition est créée sous le nom de Socavit, réunissant les entreprises Socafl et Pétavit.

En 2018, le consortium Vinci / Spie Batignolles remporte un contrat de 400 millions d'euros hors taxe pour la réalisation d'une partie du tunnel de la ligne 14 du métro parisien vers l'aéroport d'Orly[3].

Actionnariat

Filiales

Quelques réalisations

Organisation

Le , le groupe change son organisation de gouvernance[4]. Le conseil d'administration est remplacé par un conseil de surveillance, qui délègue la direction du groupe au directoire.

Le Conseil de surveillance, présidé par François-Xavier Clédat, a nommé, mercredi , Jean-Charles Robin président du Directoire du groupe[5].

Gouvernance

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Le conseil de surveillance est présidé par François-Xavier Clédat.

Le directoire est composé de[Quand ?] :

Le Comité exécutif de Spie Batignolles est remplacé par un comité de direction générale composé, en outre des membres du directoire[Quand ?] :

Le comité de management du groupe, se compose, en plus des membres du CDG de :

Liste des présidents

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Mécénat

Notes et références

  1. Sirene, (base de données)Voir et modifier les données sur Wikidata
  2. Biactu : Spie Batignolles repart sur de nouvelles fondations
  3. « Vinci et Spie Batignolles s'attaque à la liaison paris orly », sur Les Échos (consulté en )
  4. SPIE Batignolles change sa gouvernance - Les Échos, 19/09/2012 (article abonnés)
  5. « Jean-Charles Robin nommé président du directoire de Spie batignolles - Entreprises de BTP », sur www.lemoniteur.fr (consulté le )

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie