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Département français |
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Commune française (jusqu'en ) |
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Boueilh est une ancienne commune française du département des Pyrénées-Atlantiques. En 1843[1], la commune fusionne avec Boueilho et Lasque pour former la nouvelle commune de Boueilh-Boueilho-Lasque.
Le ruisseau, La Brioulette, limite à l’est le village, qui, à l’ouest, plonge brusquement vers les vallées du Gabas et de l’Arriutort. La position élevée de Boueilh, permet d’admirer du haut du clocher terrasse de son église, un panorama de trente kilomètres à la ronde, vers les Landes et les Pyrénées-Atlantiques.
Le toponyme Boueilh apparaît sous les formes Boeil (1681[1], réformation de Béarn[2]), Boeilh (1793[3] ou an II) et Boeilhe (1801[3], Bulletin des Lois).
Du latin bovillum qui signifie domaine à bœufs[4].
Paul Raymond[1] note que Boueilh dépendait du Tursan et de la subdélégation de Saint-Sever.
La commune a été formée en 1843[1] par la réunion des villages de Boueilho et Lasque à Boueilh. Cependant cette union est pour le moins particulière : chaque village ayant gardé longtemps une sorte d’indépendance et des fonctionnements distincts. Chacun possède son église où la messe dominicale est célébrée à tour de rôle.
Le village ne fut rattaché véritablement au Béarn que de 1240 à 1452, date à partir de laquelle il fut annexé au royaume de France. Pointe avancée vers la Chalosse, les échanges se font indifféremment vers les Landes ou le Béarn.
Le presbytère[5] date de 1843.
L'église Saint-Aignan[6], à Boueilh, date de 1850. Son cimetière[7] est également inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel, tout comme les objets[8], tableaux[9], statues[10] et divers mobiliers[11] qu'elle renferme.