Montainville
Montainville (Yvelines)
La mairie.
Blason de Montainville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité Communauté de communes Gally Mauldre
Maire
Mandat
Éric Martin
2020-2026
Code postal 78124
Code commune 78415
Démographie
Gentilé Montainvillois
Population
municipale
531 hab. (2021 en augmentation de 2,71 % par rapport à 2015)
Densité 111 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 57″ nord, 1° 51′ 43″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 131 m
Superficie 4,79 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubergenville
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Montainville
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Montainville
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Montainville
Liens
Site web montainville78.com

Montainville est une commune française située dans le département des Yvelines (arrondissement de Mantes-la-Jolie), en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Montainvillois.

Géographie

Localisation de Montainville dans les Yvelines.

Situation

Montainville se trouve dans le centre du département des Yvelines, à 19 km au sud-est de Mantes-la-Jolie et à 26 km au nord-ouest de Versailles.

Communes limitrophes de Montainville
Maule Mareil-sur-Mauldre
Andelu Montainville
Marcq Beynes

Hydrographie

Rivière la Mauldre en limite est de la commune.

Relief et géologie

Montainville, vue de la route d'Andelu
Montainville, vue de la route d'Andelu.

Le territoire de la commune est relativement peu étendu (479 hectares contre 872 en moyenne pour les communes des Yvelines) et s'étend à la limite est du plateau du Mantois et sur le versant ouest de la vallée de la Mauldre. La dénivellation est relativement importante entre le plateau, qui se trouve entre 120 et 130 mètres d'altitude, et le fond de la vallée, à environ 40 mètres. Le village se trouve sur le rebord du plateau, autour de la cote 100 mètres, qui correspond à une ligne de sources. Le site du village forme un promontoire limité par deux vallons dénommés d'après le nom de sources, le vallon de la Serpe au nord, celui de l'Orme au sud, qui forme la limite sud de la commune.

Rue du Pressoir
Rue du Pressoir.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 691 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maule à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records MAULE (78) - alt : 54m, lat : 48°54'33"N, lon : 1°50'50"E
Records établis sur la période du 01-01-1967 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,7 1,3 3,1 4,9 8,5 11,6 13,4 13,1 10,1 7,7 4,4 2,1 6,8
Température moyenne (°C) 4,7 5,1 8 10,8 14,4 17,7 19,8 19,5 16,1 12,2 7,8 5,1 11,8
Température maximale moyenne (°C) 7,7 8,9 12,9 16,7 20,4 23,7 26,2 26 22 16,8 11,3 8 16,7
Record de froid (°C)
date du record
−17,2
17.01.1985
−14,5
07.02.12
−12
13.03.13
−5,4
06.04.21
−2
03.05.1967
0,5
05.06.1991
5
11.07.1990
3,5
28.08.1974
0
30.09.18
−5,2
30.10.1985
−10
24.11.1998
−15
31.12.1970
−17,2
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16
01.01.22
21
27.02.19
27
31.03.21
30
21.04.18
33
27.05.05
38
27.06.11
43
25.07.19
41
10.08.03
37,5
03.09.1973
30,5
01.10.11
22,5
01.11.14
17
07.12.00
43
2019
Précipitations (mm) 57,3 49,6 50,9 46,5 65,4 56 53 52,8 46 65,3 61,3 72,9 677
Source : « Fiche 78380001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

Typologie

Montainville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols simplifiée

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 89,67 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 4,41 % d'espaces ouverts artificialisés et 5,93 % d'espaces construits artificialisés[12].

Le territoire de la commune est essentiellement rural (90 %), l'espace urbain construit représentant seulement 6 % du total, soit 25 hectares.

L'espace habité est groupé dans le village, à l'exception de quelques habitations en bord de Mauldre. Le village de Montainville est construit principalement en pierre. De grandes demeures rustiques y ont été construites, notamment au XIXe siècle. S'y sont ajoutés au XXe siècle quelques lotissements résidentiels.

Le plateau à l'est est entièrement consacré à la grande culture céréalière, dans un paysage d'openfield. Les zones boisées, principalement dans la vallée, ne dépassent guère 3 % de la superficie totale.

Logement en 1999

En 1999, Montainville comptait 222 logements, en augmentation de 9,4 % par rapport à 1990, dont 174 résidences principales (78,4 %) et 33 résidences secondaires[13]. L’âge moyen du parc immobilier est relativement élevé, près de 70 % des logements ayant été construits avant 1975 et plus de 45 % avant 1949 (contre 33,7 % pour la moyenne régionale francilienne). On constate cependant un certain renouvellement du parc avec 13,8 % de logements construits après 1990 (contre 9,1 % en Île-de-France).

Il s'agit essentiellement de maisons individuelles (209 logements, soit 94,1 %), seuls 13 logements étaient en 1999 en immeuble collectif (ces proportions diffèrent totalement de la moyenne régionale qui est de 26,9 % en individuel et 73,1 % en collectif).

La grande majorité des habitants (81,6 %) étaient propriétaires de leur logement, contre 12,1 % de locataires (respectivement 44,3 % et 51,1 % dans la région)[14],[15].

Montainville ne comptait en 1999 aucun logement HLM. Les grands logements sont très majoritaires : la plupart des habitations possèdent quatre pièces et plus (72,4 %), puis trois (21,8 %) et deux pièces (5,7 %). Aucun logement d'une pièce n'était recensé en 1999.

Voies de communications et transports

Réseau routier

La commune est desservie par la route départementale no 191 qui relie Mantes-la-Jolie et Rambouillet et passe dans le fond de la vallée. La voirie communale relie cette route au village et celui-ci à la commune voisine d'Andelu sur le plateau.

Projet routier

Un projet de liaison routière express nord-sud entre l'autoroute A13 au nord et la route nationale 12 au sud, connu sous le nom de voie nouvelle de la vallée de la Mauldre (VNVM), devait traverser, à une échéance indéterminée, le territoire communal dans sa partie est (sur le plateau). La municipalité de Montainville - au sein du collectif « Sauvons les Yvelines », réunissant des élus, des agriculteurs et des associations de défense de l'environnement - a combattu ce projet, a rallié 25 autres communes situées sur le tracé, opposées à tout projet routier dans cette région des Yvelines, qui a fait par ailleurs l'objet d'un virulent débat entre le conseil général des Yvelines et le conseil régional d'Île-de-France. En 2007, la région Île-de-France a tranché : pas de liaison routière dans le nouveau schéma directeur IdF.

Desserte ferroviaire

La gare la plus proche est celle de Mareil-sur-Mauldre, à 2,5 km du village environ, sur la ligne de la vallée de la Mauldre, qui assure des liaisons directes avec la gare Montparnasse, indirectes avec la gare Saint Lazare à Paris d'une part, et avec Mantes-la-Jolie d'autre part.

Bus

La commune est desservie par les lignes 13 et 18 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Montenvilla vers 1130[16], Montenvilla 1220[17], Montainvilla vers 1248[18] en 1272[19], en 1351[19],[20], Montainville 1370, Montainvilla en 1494, Montainville en 1564, Matinville vers le XVIIe siècle[21].

L'hypothèse qu’Amonte villa ou Amons villa mentionné au IXe se rapporte à Montainville a été jadis formulée[22],[23], mais elle est désormais rejetée de manière explicite ou implicite, car elle se rapporterait en réalité à Amonville, devenu Monville / Mouville, au finage de Champseru[24].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural », dont le premier élément Montain- représente un anthroponyme[16],[25] selon le cas général.

Monten- peut résulter de l'évolution du nom de personne germanique Muntinc[16] (> Munding) cf. *païsenc > paysan, à moins que la forme initiale ne soit Montan- qui s'expliquerait alors aussi par l'anthroponyme féminin Monta[25], ce dernier étant au cas régime féminin Montan, cas le plus souvent utilisé pour les types toponymiques en -ville à l'exception de la Normandie. Le cas régime masculin aurait été Mondon / Monton ex. : Mondonville-Saint-Jean, Mondonville) et le patronyme français Mondon.

Homonymie avec Montainville (Eure-et-Loir)

Histoire

Les origines

Antiquité

Mérovingiens, Carolingiens

Féodalité, les barons de Maule

XVe siècle, famille des Morainvillier

Fin du XVIe siècle, famille de Vic

Début du XVIIe siècle, famille de Harlay, famille de Bullion

Fin du XVIIe siècle installation de la Fauconnerie du Cabinet du Roi

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1947 Marius Lamarre    
1947 1959 Roger Olivier    
1959 1971 André Hérard    
1971 1983 Paul Pouliquen    
1983 2003 Serge Raoux    
2003 2008 Pascale Oger    
2008 En cours Eric Martin    

Instances administratives et judiciaires

La commune de Montainville appartient au canton d'Aubergenville et est rattachée la communauté de communes Gally Mauldre.

La commune est adhérente[48] depuis 2006 à l’association patrimoniale de la plaine de Versailles et du plateau des Alluets (APPVPA). Cette association qui comprend trois collèges, élus, agriculteurs et associations, a pour objectif[49] d'établir un projet de développement durable dans le plaine de Versailles et en particulier maîtriser l'urbanisation en préservant les activités agricoles.

Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la neuvième circonscription des Yvelines, circonscription à dominante rurale du nord-ouest des Yvelines.

Sur le plan judiciaire, Montainville fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[50],[51].

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[53].

En 2021, la commune comptait 531 habitants[Note 3], en augmentation de 2,71 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
540585523484463456431445411
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
414389358335321274292277307
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
304313332272267263254205242
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
305317396382419507553559537
2017 2021 - - - - - - -
506531-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

À la fin du XVIIIe siècle, Montainville était surpeuplée avec une densité de 123 habitants/km2 en 1800 (contre 82 en moyenne sur l'Île-de-France). La population de Montainville a sensiblement décru tout au long du XIXe siècle, passant de 585 habitants en 1800 à 274 en 1881, soit une baisse de 53,2 %. Cette évolution, nette sous le Second Empire, s'explique par l'émigration, notamment vers Paris, concomitante de l'amélioration des voies de communication, et à partir de 1860 par un solde démographique négatif, les décès l'emportant sur les naissances[21].

Au cours du XXe siècle, on constate, après le minimum absolu de 205 habitants constaté en 1946, une nette reprise de la démographie depuis la Seconde Guerre mondiale et notamment dans la dernière période, la commune ayant gagné 88 habitants, soit + 21 %, entre les recensements de 1990 et 1999. Cette augmentation correspond à la construction de nouvelles habitations, qu'il s'agisse de résidence principales ou secondaires, conférant un caractère résidentiel à la commune.

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,5 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 237 hommes pour 264 femmes, soit un taux de 52,69 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[56]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
0,8 
3,4 
75-89 ans
7,0 
17,5 
60-74 ans
15,5 
29,7 
45-59 ans
30,2 
16,2 
30-44 ans
15,6 
16,8 
15-29 ans
17,1 
15,6 
0-14 ans
13,9 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[57]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Enseignement

Montainville dépend de l'inspection académique de Versailles (académie de Versailles) et de la circonscription d'Aubergenville.

La commune dispose d'une école élémentaire publique qui comprend trois classes et scolarise 60 enfants de la maternelle au cours moyen 2e année[58].

Événements

Économie

Une auberge, restaurant et café, est un lieu vivant de la commune.
Cet établissement a subi une profonde mise aux normes en 2007 et une réorganisation de la salle et a rouvert en . L'auberge ferme en 2020 et rouvre en juillet 2022 sous le nom "La cuisine des Lulus".

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Église en pierre et gros appareils dont on a la trace depuis la fin du XIIIe siècle.
Le clocher en pierre a été reconstruit par Simon de Morainvillier à la fin du XIVe siècle et porte son blason à neuf merlettes. La nef a été plusieurs fois remaniée à travers les siècles et détruit en partie pendant les guerres de religion.
Le chœur en pierre de taille a été reconstruit par les Vic-Morainvillier au début du XVIIe siècle, le blason des Vic avec une foi (deux mains jointes) et des Morainvillier avec les neuf merlettes. Sur une colonne du chœur est figuré un petit soleil, c'est un gnomon en lien avec le solstice d'été, le .

Patrimoine culturel

Films tournés dans la commune

Personnalités liées à la commune

Tombe de Bourvil
Tombe de Bourvil.

Héraldique

Blason de Montainville (Yvelines) Blason
Parti au premier de gueules à la foi de carnation, parti au second d'argent à neuf merlettes de sable 3, 3, 2, 1.
Détails
La « foi » (deux mains jointes) représente la famille de Vic. Les « merlettes » (petits oiseaux sans bec ni pattes) représentent la famille de Morainvillier. Il correspond au blason de Jeanne de Morainvillier, dans la nef de l'église. Le blason de Montainville appartient à l'Armorial des communes des Yvelines.

Légendes

L'historien E. Houth écrit en 1938 : "Des légendes fantastiques s'attachent quelquefois concernant des souterrains, des infractuosités diverses (...) et on peut citer notamment “la Carrière au Diable à Montainville” [62]. Ce lieu est à Falaise. Il s'agit d'une cavité datant du moustérien[63]. Elle servit de carrière au Moyen Âge.

Voir aussi

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Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Montainville et Maule », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  13. INSEE - le parc de logements à Montainville (Yvelines)
  14. INSEE - Logements à Montainville (Yvelines) : les occupants
  15. INSEE - Logements en Île-de-France : les occupants « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  16. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 476a.
  17. ANONYME La Chatellenie de Poissy (vers 1220) registre F de Philippe-Auguste (1165-1223). BN Ms. Lat. 9978, registre des fiefs f° 238. Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin (1922), t. 37, p. 66.
  18. A.N.série S 2249 No 16 (Abbaye de Saint Denis).
  19. a et b Auguste Longnon, Pouillé de la province de Sens, 1904, p. 120F ; note c.; p. 158f.
  20. Jacques Tréton, Histoire de Montainville: joli village du pays du Pincerais, 1998, p. 56.
  21. a b et c Histoire de Montainville en Pincerais (cf. Bibliographie).
  22. B. Guérard, Polyptyque de l'abbé Irminon, (1844), t. 2, De Amonte Villa, §116, p. 93 et note c.
  23. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  24. Auguste Longnon Polyptyque de l'Abbaye de st-Germain-des-Prés, 1895, t. 1 & 2, p. 121.
  25. a et b Marianne Mulon, Noms de lieux d'Ile-de-France, Bonneton, Paris, 1997, p. 83.
  26. Jacques Tréton, Hist. de Montainville, 1998, p. 33-35.
  27. a et b JAULNEAU (C.) INRAP Archéologie DIAG-Rapport de Diagnostic MONTAINVILLE SADY (2012), p. 51, 53-54, 55.
  28. Famille de Maule (fr) [1]
  29. Jacques Tréton, Hist. de Montainville (1998), p. 5.
  30. « Maule », sur Racines et Histoire.
  31. AUVRAY (Lucien) Les registres de Grégoire IX : recueil des bulles de ce pape (1896), t. 1, p. 1075, § n° 1978.
  32. DOUBLET (Nic.) Pouillé du diocèse de Chartres, ...(1738)
  33. Famille de Morainvillier (fr) [2]
  34. Jacques Tréton, Hist. de Montainville (1998), p. 137-139.
  35. Jacques Tréton, Livre d'Heures des Morainvillier. Rev. de l'ACIME (2018), t. 45, p.
  36. Recherches historiques de l'Ordre du Saint Esprit (1710), t. 1, p. 280.
  37. a et b CAIX DE SAINT-AYMOUR (Vte de), Mémoires et documents pour servir à l'histoire des pays qui forment aujourd'hui le département de l'Oise : (Picardie méridionale, nord de l'Ile-de-France) (1898), p. 6.
  38. MORERI Le Grand dictionnaire historique ou Le mélange curieux de l'histoire sacrée (1759), t. 4, p. 245.
  39. Jacques Tréton, Hist. de Montainville (1998), p. 184-190.
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