Cet article présente les différentes utilisations des lettres de l'alphabet grec dans les sciences.

Les lettres grecques minuscules représentant une variable ou un paramètre sont notés en italique alors que celles représentant une constante universelle sont notées en caractères droits. Ainsi, la constante mathématique « pi » est notée π (caractère droit) alors que la parallaxe est notée π (italique). Les lettres grecques minuscules qui participent du nom d'un phénomène sont notées en caractères droits : radioactivité α.

Les lettres grecques majuscules sont toujours notées en caractères droits : ω mais Ω, par exemple.

La prononciation des caractères grecs qui ne serait pas indiqués dans cet article se trouve ici : Table des symboles littéraux en mathématiques#Alphabet grec.

Note : l'ensemble de l'article se base sur les ouvrages référencés dans la section bibliographie, en particulier les deux ouvrages Formulaire technique[1] et Tables numériques et formulaires[2].

En mathématiques

En mathématiques, les lettres grecques sont parfois utilisées pour nommer des nombres et pour désigner certaines fonctions ou constantes, ou encore certaines propriétés.

Constantes, nombres

Comparaison asymptotique

Fonctions

Géométrie, coordonnées

Opérateurs, symboles

Probabilités et statistique

Système duodécimal

Symboles généraux aussi utilisés en physique

En physique

Constantes

En astronomie et en cosmologie

En chimie

Électrochimie

En électromagnétisme

En électricité et électronique

En mécanique

En mécanique quantique

En optique et ondes

En physique nucléaire

En thermodynamique

Symboles plus généraux

En géographie

En géologie

En géologie, les lettres grecques sont utilisées pour symboliser les roches, en particulier sur les cartes géologiques. Par exemple :

Système international d'unités

Notes et références

  1. Kurt Gieck 2013, p. Symboles utilisés.
  2. A. Olza, F. Taillard, E. Vautravers et J.-C. Diethelm 1974, p. 217-237.
  3. (en) Weisstein, Eric W., « Golomb-Dickman Constant Digits », sur mathworld.wolfram.com (consulté le )
  4. (en) Weisstein, Eric W., « Glaisher-Kinkelin Constant », sur mathworld.wolfram.com (consulté le )
  5. (en) Weisstein, Eric W., « Hafner-Sarnak-McCurley Constant », sur mathworld.wolfram.com (consulté le )
  6. (en) Donald Knuth, « Big Omicron and big Omega and big Theta », SIGACT News, avril-juin 1976, p. 18-24 [lire en ligne] [PDF].

Pour approfondir

Bibliographie

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Articles connexes

Liens externes