Dans le droit du Vatican, l'avortement est totalement interdit[1],[2],[3],[4].
Le législation relative à l'avortement est affirmée depuis la fondation du Vatican en 1929 à travers les articles 381 à 385 du code pénal italien de 1889, dit « Zanardelli »[5],[6], toujours en vigueur dans l'État du Vatican[7]. La loi prévoit ainsi une peine allant d'un à quatre ans de prison[5].
Le Vatican fait partie avec la principauté d'Andorre, Saint-Marin, Malte[2], mais aussi le Salvador, le Chili, la République dominicaine et le Nicaragua, des rares pays du monde refusant l'avortement quelles que soient les circonstances[8].