Maison de Choiseul
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Armes de la maison de Choiseul.

Blasonnement D' azur à la croix d'or, cantonnée de dix-huit billettes du même, cinq dans chaque canton du chef, ordonnées 2, 1 et 2, et quatre dans chaque canton de la pointe, ordonnées 2 et 2.
Devise « Choiseul à la rescousse, à moi Bassigny ! »[1]
Branches Choiseul-Lanques (de),
Choiseul-Clefmont (de),
Choiseul-Aigremont (de),
Choiseul-Beaupré (de),
Choiseul-Daillecourt (de),
Choiseul-Francières (de),
Choiseul-Meuse (de),
Choiseul-Praslin (de),
Choiseul-Stainville (de),
Choiseul du Plessis (de)
Période XIe – XXIe siècle
Famille subsistante
Pays ou province d’origine Drapeau de la province de Champagne Province de Champagne
Drapeau de la Lorraine Duché de Lorraine
Drapeau du royaume de France Royaume de France
Allégeance Drapeau de la Lorraine Duché de Lorraine
Drapeau du Saint-Empire Saint-Empire romain germanique
Drapeau du royaume de France Royaume de France
Drapeau de l'Empire français Empire français
Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Vassaux Seigneurs de Varennes-sur-Amance
Charges Deux ministres
Fonctions militaires Quatre maréchaux de France
Fonctions ecclésiastiques Cinq prélats dont un cardinal
Récompenses civiles Ordre du Saint-Esprit
Ordre de Saint-Michel
Ordre de la Légion d'honneur
Récompenses militaires Ordre de Saint-Louis
Preuves de noblesse
Autres ANF-1937

La maison de Choiseul est une famille de la noblesse, d'extraction chevaleresque citée en 1060. Originaire de Champagne et de Lorraine, son berceau est le village de Choiseul en Bassigny (Haute-Marne).

Origines et principales branches

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Sur l'origine de la Maison de Choiseul, Gustave Chaix d'Est-Ange écrit que deux hypothèses ont été soulevées : soit une branche cadette des comtes de Bassigny soit des comtes de Langres, mais qu'il n'y a pas, selon ses termes, de preuves rigoureuses[réf. nécessaire].

Charlemagne.

Le premier seigneur de Choiseul connu est Renier de Choiseul, mort vers 1100. Ses proches successeurs sont donnés par l'ascendance de Renaud/Renard III de Choiseul : sous toute réserve (le tableau généalogique présenté plus bas ne fait d'ailleurs de Renard III et Renard II qu'un seul personnage, ce qui fait de Renard II, né vers 1175, le père de Jean Ier, † 1309 !) : fils de Renaud/Renard II, † 1239 ; lui-même fils de Fou(l)ques II, † avant 1200 ; fils de Renaud/Renard/Raynard/Rainard Ier (dont un frère cadet, Renier, semble la souche des seigneurs de Bourbonne[2]) ; fils de Foulques d'Aigremont seigneur de Choiseul († vers 1140/1150 ; son frère Renier continue la 1re branche des sires ou princes d'Aigremont) ; neveu maternel de Roger de Choiseul († vers 1105) par sa mère Adeline, femme d'Olry d'Aigremont ; Roger et Adeline étant les enfants dudit Renier de Choiseul. La descendance de Renier a formé les branches de Lanques, de Clefmont, d'Aigremont, de Beaupré, de Daillecourt, de Francières, de Praslin, de Stainville, du Plessisetc.

Le noyau premier des possessions des sires de Choiseul se trouve en Bassigny, à l'est de Chaumont : Choiseul, Aigremont et Bourbonne, Lanques, Meuse, Parnoy, Isches... Puis viendront par des mariages Daillecourt et Clefmont (au XVe siècle, par l'union de Raouline/Roline de Clefmont avec Gérard/Girard de Choiseul fils puîné de Guy Ier seigneur de Choiseul et Jeanne de Noyers de Joigny, évoqués ci-dessus et ci-dessous), ou Laferté-sur-Amance et Pressigny, encore Fouvent, vers le sud et le sud-est, ainsi qu'Ambonville au nord-ouest...

Membres notables de la famille

Les ecclésiastiques

Cinq évêques dont un cardinal :

Les militaires

Les maréchaux

La Maison de Choiseul compte parmi ses membres quatre maréchaux de France :

Les lieutenants-généraux et les maréchaux de camp

La Maison de Choiseul compte parmi ses membres plus de trente lieutenants-généraux ou maréchaux de camp :

Les militaires et résistants

Les hommes politiques et diplomates

Les ministres

Les parlementaires

Les hauts fonctionnaires

Galerie de portraits

Arbres généalogiques

Origines des différentes branches

Première maison de Choiseul

Seconde maison de Choiseul

Avec Jeanne de Choiseul s’éteint la ligne directe des Choiseul et elle est également la dernière de sa maison à posséder les terres de Choiseul.

Première branche d'Aigremont

Article détaillé : Liste des seigneurs d'Aigremont.

À sa mort, la seigneurie d'Aigremont passe alors à la maison de Neuviller.

Branche de Nully

Article détaillé : Liste des seigneurs de Nully.

Première branche de Bourbonne

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Branche de Traves

Deuxième branche d'Aigremont

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Deuxième branche de Bourbonne

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Branche de Clefmont

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Branches de Praslin

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Alliances notables

Les Choiseul se sont alliés aux :

Châteaux et hôtels

Titres

Autres fiefs

Armoiries

Image Ancien Régime

Maison de Choiseul

D'azur, à la croix d'or, cantonnée de dix-huit billettes, cinq dans chaque canton du chef posées 2, 1 et 2, et quatre dans chaque canton de la pointe posées 2 et 2).[20],[21]

On trouve aussi
D'azur, à la croix d'or, cantonnée de vingt billettes du même, cinq dans chaque canton, 2, 1 et 2. (Alias: Au lieu de: vingt billettes, lisez: dix-huit billettes, cinq dans chaque canton du chef posées 2, 1 et 2, et quatre dans chaque canton de la pointe posées 2 et 2).[20]
  • Tenants : deux hommes sauvages ceints et couronnés de feuillage, armés de leur massue[20].

Jean de Baudricourt (-1499), maréchal de France en 1486

D’or au lion de sable, couronné, lampassé et armé de gueules.[20]

Rénier Ier, seigneur d'Aigremont, (Deuxième branche)

Écartelé, au I et IV d'azur à la croix d'or, cantonnée de dix-huit billettes du même, cinq dans chaque canton du chef, ordonnées 2, 1 et 2, et quatre dans chaque canton de la pointe, ordonnées 2 et 2 (de Choiseul) ; au II et III, de gueules au lion couronné d'or.[22]

Charles de Choiseul-Praslin (1563-1626), marquis de Praslin, seigneur du Plessis-Saint-Jean, vicomte de Chavignon, baron de Chitry, vicomte d'Hostel, marquis de Chaource[18], qui servit sous Henri IV et Louis XIII, maréchal de France, chevalier du Saint-Esprit (reçu le en la cathédrale de Chartres[23])

Écartelé, au I et IV d'azur à la croix d'or, cantonnée de dix-huit billettes du même, cinq dans chaque canton du chef, ordonnées 2, 1 et 2, et quatre dans chaque canton de la pointe, ordonnées 2 et 2 (de Choiseul) ; au II et III, de gueules au lion d'or (Aigremont), sur le tout parti d'argent à la fasce de gueules (de Béthune) et d'argent au lion de sable[23].

César Ier de Choiseul du Plessis-Praslin (1598-1675), comte de Hostel[24], puis du Plessis-Praslin, puis duc de Choiseul (1665 - création) et pair de France, comte du Plessis-Praslin[18], maréchal de France, chevalier du Saint-Esprit (reçu le )

Écartelé, au I de gueules au lion d'or armé et lampassé d'azur (Aigremont), au II fascé d'or et de sable de six pièces (du Plessis), au III d'argent à la fasce de gueules (Béthune), au IVe d'or au lion de sable, un écusson d’azur à la croix d’or accompagné de dix-huit billettes du même, cinq et cinq en chef posées en sautoir, quatre et quatre en pointe posées deux et deux brochant sur le tout (Choiseul).[25]

César III Auguste de Choiseul (v.1637-1705), chevalier, puis comte du Plessis-Praslin, puis duc de Choiseul et pair de France, chevalier du Saint-Esprit (reçu le )

Écartelé, au I de gueules au lion d'or armé et lampassé d'azur (Aigremont), au II fascé d'or et de sable de six pièces (du Plessis), au III d'argent à la fasce de gueules (Béthune), au IVe d'or au lion de sable, un écusson d’azur à la croix d’or accompagné de dix-huit billettes du même, cinq et cinq en chef posées en sautoir, quatre et quatre en pointe posées deux et deux brochant sur le tout (Choiseul).[26]

Claude de Choiseul (1633-1711), marquis de Francières dit « le comte de Choiseul », maréchal de France, doyen des maréchaux, chevalier du Saint-Esprit (reçu le )

D'azur, à la « croix billetée » d'or.[27]

Henri Louis de Choiseul-Meuse (22 juillet 1689-9 avril 1754), marquis de Meuse (1703-1754), colonel du régiment d'Agénois, mestre de camp du régiment de Meuse, comte de Sorcy[18], lieutenant général des armées du Roi (1738), gouverneur de Saint-Malo (1743), chevalier du Saint-Esprit (reçu le dans la chapelle royale du château de Versailles)

D'azur, à la « croix billetée » d'or.[28],[29]

César Gabriel de Choiseul-Praslin (1712-1785), marquis de Choiseul, puis Duc de Praslin et pair de France, comte de Chevigny et de La Rivière, baron de Giry et seigneur de Chassy, seigneur de Montgauger, vicomte de Melun et de Vaux-le-Vicomte, chevalier du Saint-Esprit (reçu le )

Écartelé, aux 1 et 4, d’azur à la « croix billettée » d'or ; aux 2 et 3 de gueules au lion couronné d'or qui est Aigremont.[30]

Choiseul-Stainville

D'azur, à la croix d'or, cantonnée de vingt billettes du même, cinq dans chaque canton, 2, 1 et 2, et ch. en cœur d'une croix ancrée de gueules qui est de Stainville[20].

Alias
Écartelé: aux 1 et 4, de Choiseul; aux 2 et 3, de Stainville[20].
Jacques Philippe de Choiseul (1717-1789), comte puis duc de Stainville (duc à brevet, 1786[31]), maréchal de France, chevalier du Saint-Esprit (reçu le )

D'azur, à la croix « billetée » d'or.[31]

Étienne François de Choiseul, comte de Stainville (1719-1785), marquis d'Estainville[18] et de La Bourdaisière[32], marquis de Removille et seigneur de Chanteloup[33] puis duc de Stainville (dit de Choiseul) et pair de France, puis duc d'Amboise (dit de Choiseul) et pair de France, colonel général des Suisses et des Grisons, chevalier du Saint-Esprit (reçu le )

D'azur, à la croix « billetée » d'or.[32],[33]

Premier Empire
Charles-Félix de Choiseul-Praslin (Paris, - Paris, ), chambellan de l'Empereur, membre du conseil général et du collège électoral de Seine-et-Marne, 1er comte de Choiseul-Praslin et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Paris le [34]), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (),

D'azur à la croix d'or, cantonnée en chef à dextre et à sénestre de cinq billettes en sautoir et en pointe à dextre et à sénestre de quatre billettes deux et deux le tout d'or, ombré de gueules : franc quartier des comtes officiers de Notre Maison[34],[35].

Louis Marie Joseph Gabriel César de Choiseul-Beaupré (Rueil, - ), colonel aide de camp du général Nansouty, baron de Choiseul-Beaupré et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Fontainebleau le [36]), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur ()[37],

D'azur à la croix d'or cantonnée de vingt belettes du même, cinq dans chaque canton en sautoir : franc-quartier des barons tirés de l'armée brochant sur le tout[36].

Restauration française et Monarchie de Juillet
Claude-Antoine-Gabriel de Choiseul (1760-1838), duc de Choiseul et pair de France (Ancien Régime) : 1787, pair de France (Chambre des pairs) : , duc et pair héréditaire, lettres patentes du , sans majorat[12],[n 2], grand officier de la Légion d'honneur,

D’azur à la croix d’or accompagné de dix-huit billettes du même, cinq et cinq en chef posées en sautoir, quatre et quatre en pointe posées deux et deux[12].

Charles-Félix de Choiseul-Praslin (Paris, - Paris, ), 4e Duc de Praslin (1808-1841), Pair de France (Chambre des pairs)[12] ( - - , - , duc et pair (, sans majorat), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur ()[38],

D’azur à la croix d’or accompagné de dix-huit billettes du même, cinq et cinq en chef posées en sautoir, quatre et quatre en pointe posées deux et deux[12].

Marie-Gabriel-Florent-Auguste de Choiseul-Gouffier (1752-1817), comte de Choiseul-Beaupré et de Choiseul-Gouffier, seigneur de Flainville, Pair de France (Chambre des pairs)[12] (; (comte et pair héréditaire le , lettres patentes du sans majorat)

D’azur à la croix d’or accompagné de dix-huit billettes du même, cinq et cinq en chef posées en sautoir, quatre et quatre en pointe posées deux et deux ; sur le tout d’or à trois jumelles de sable (famille Gouffier)[12],[20].

  • Cri : « A MOI BASSIGNY ! »[20].
  • Devise : « Virtutis fortuna comes »[20].
  • Supports : deux lions d'or[20]. Les deux lions servant de supports sont parfois remplacés par des tenants :
  • Tenants : deux hommes sauvages ceints et couronnés de feuillage, armés de leur massue[20].
Albéric-César-Guy de Choiseul-Praslin (1787-1868), comte de Praslin, Pair de France (Chambre des pairs)[12] (baron et pair héréditaire le , lettres patentes du )[12]

D’azur à la croix d’or accompagné de dix-huit billettes du même, cinq et cinq en chef posées en sautoir, quatre et quatre en pointe posées deux et deux[12].

Ecclésiastiques
Gilbert de Choiseul du Plessis Praslin (1613- à Tournai), frère du maréchal César de Choiseul du Plessis-Praslin, évêque de Comminges de 1644 à 1670.
Gabriel-Florent de Choiseul-Beaupré ( - ), évêque de Saint-Papoul, évêque de Mende
Antoine-Clériade de Choiseul-Beaupré (1707-1774), archevêque de Besançon de 1754 à 1774 et cardinal en 1761.
Familles alliées
Armes des Marmier (branche « de Choiseul »)

Écartelé: aux 1 et 4, De gueules, à une marmotte d'argent (de Marmier) ; aux 2 et 3, de Choiseul[20].

Philippe-Gabriel de Marmier (1783-1845), chambellan de l'Empereur, maire de Ray (Haute-Saône), Comte de Marmier et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Fontainebleau le ), Chevalier (), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (), chevalier de l'ordre de la Couronne de fer, pair des Cent-Jours,

Écartelé au premier des comtes officiers de notre maison ; au deuxième de gueules à la marmotte debout d'argent (de Marmier) ; au 3e de gueules à la roue d'argent ; au quatrième d'azur à la croix d'or cantonnée de vingt b[e]llettes (billettes) du même (de Choiseul) et chargée d'un écusson d'argent à la croix ancrée de gueules (Stainville)[39].


Grandes armes des Marmier (branche « de Choiseul »)

Écartelé: au 1, de gueules, à une escarboucle de huit rais d'or, pommetés et fleuronnés du même (Ray); au 2, d'or, à la bande de gueules, chargée de trois fleurs-de-lis d'argent (du Châtelet); au 3, d'or, à la bande vivrée d'azur, (de La Baume Montrevel); au 4, d'azur, à la croix d'or cantonnée de vingt billettes du même (de Choiseul), la croix chargée en cœur d'un écusson d'or à la croix ancrée de gueules (Stainville). Sur le tout gueules, à une marmotte d'argent (de Marmier)[20].

Aujourd'hui
la commune de :

porte les « armes pleines » de la maison de Choiseul[40].

Laferté-sur-Amance (Haute-Marne) porte :

D’azur à la croix cantonnée au 1) et au 2) de cinq billettes ordonnées en sautoir, au 3) et 4) de quatre billettes ordonnées 2.2, le tout d’or, à l’écusson de gueules au créquier arraché d’argent brochant en cœur sur le tout[41].

Polisy (Aube) porte :

Coupé : au 1) de sable aux deux léopards d’or passant l’un sur l’autre, au 2) d’azur à la croix d’or cantonnée de dix-huit billettes du même, cinq ordonnées en sautoir dans chaque canton du chef, quatre ordonnées 2 et 2 dans chaque canton de la pointe[42].

Les Thons (Vosges) portent :

Écartelé aux 1 et 4 d’or à trois bandes de gueules et aux 2 et 3 d’azur à la croix d’or cantonnée de dix-huit billettes du même cinq dans chaque canton du chef et quatre dans chaque canton de la pointe[43].

Ce sont les armes de Guillaume de Saint Loup et Jeanne de Choiseul qui fondèrent le prieuré et firent construire le château. Ce blason et gravé dans une pierre de l'église couventuelle des Thons.

Notes et références

Notes

  1. Les autres fondateurs sont :
    André Boissière qui fut fusillé au Mont Valérien le
    Georgette Claude-Gérard qui était la responsable de la coordination des parachutages et qui fut internée.
    Raymond Faro qui fut fusillé le .
    H. Hortala qui fut déporté.
    Edmond Michelet qui fut déporté.
    Jean Sigala qui fut déporté.
    J. Villot qui est mort en déportation

Références

  1. S’étant battu en duel en 1626 contre le marquis de Vardes, Roger de Choiseul est privé des charges de lieutenant général en Champagne et de bailli de Troyes. Ayant obtenu son pardon de Louis XIII, il acheta la charge du marquis de Sourdis et devint maitre de camp de la cavalerie légère. En juin 1639, il est au siège de Thionville, où il est fait prisonnier et mis à la Bastille (« responsable de la lâcheté de ses troupes » selon Bussy-Rabutin). Il obtint sa liberté le 28 janvier 1640. Il meurt au service du roi à la bataille de Marsée près de Sedan, sans avoir été marié.
  2. La transmission du titre ducal à son gendre, Philippe-Gabriel de Marmier, fut autorisée par ordonnance royale du 15 mai 1818. Elle prit effet par lettres patentes du 30 mars 1839, mais sans la pairie, l'hérédité de la pairie ayant été abolie.
  1. Cri de guerre de la famille
  2. (en) « Seigneurs de Bourbonne », sur MedLands
  3. Esclances-en-Vallage ou Éclance semble d'abord un fief des d'Arcis-sur-Aube-Chacenay (cf. Pisy) alliés aux Jaucourt, avec transmission par mariage aux Grancey puis aux Choiseul dans la deuxième moitié du XIVe siècle (car Jeanne de Grancey dame d'Eclance épouse Renaud de Choiseul d'Aigremont, fils de Rénier III et d'Isabelle de Salm de Chéry). Vers le milieu du XVe siècle, Anne de Choiseul d'Aigremont dame d'Éclance transmet ce fief à son mari Jacquet d'Apremont sire de Marcheville et Génicourt. Leur petite-fille Mahaut d'Apremont (vers 1480-1552) transmet à son époux Jean d'Anneville, bailli de Bar. Leur fille Antoinette épouse Laurent de Francières, d'où Mahaut de Francières qui transmet à son mari René de Choiseul de Meuse et Beaupré.[réf. nécessaire]
  4. Molonne ou Maulonne est situé en Thiérache par d'aucuns ; il semble qu'il y ait eu une permutation typographique et qu'il faille lire Manlouuez, autrement dit Montloué. Isabelle de Salm dame de Chéry est dite aussi de Montloué...[réf. nécessaire]
  5. « Hôtel du Commerce à St-Amour (construit sur l'emplacement des dépendances du château ruiné des Comtes de St-Amour). », sur Hôtel du Commerce, à St-Amour
  6. « Cote LH/530/20 », base Léonore, ministère français de la Culture
  7. Un paradoxe français de Simon Epstein page 510
  8. CES "MARQUES DU SOUVENIR". Consulté le 29 mai 2015.
  9. Historique de l'Institution Saint-Joseph. Consulté le 29 mai 2015.
  10. Périgueux dans la Seconde Guerre Mondiale - 1939-1945 Chemin de la mémoire. Consulté le 29 mai 2015.
  11. Charles Marie Nicolas Antoine de Choiseul-Praslin sur francaislibres.net
  12. a b c d e f g h i et j Velde 2005, p. Lay peers.
  13. a et b Ernest Petit, Histoire des ducs de Bourgogne de la race capétienne, .
  14. Gilles Poissonnier, Histoire des Choiseul, 1996.
  15. L'abbé Arthur Prévost, Les champenois aux Croisades, 1922.
  16. Émile Jolibois, La Haute-Marne ancienne et moderne, 1858.
  17. L'abbé Grassot, Les seigneurs de Choiseul, 1887.
  18. a b c d et e Roglo 2012.
  19. Louis-François Le Fèvre de Caumartin, Recherche de la noblesse de Champagne...., Chaalons, Jacques Seneuze,
  20. a b c d e f g h i j k l m et n Rietstap 1884.
  21. Geneawiki 2012, p. Blason.
  22. Source : « web.genealogie.free.fr »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le )
  23. a et b Popoff 1996, p. 20.
  24. Bunel Choiseul.
  25. Popoff 1996, p. 45.
  26. Popoff 1996, p. 56.
  27. Popoff 1996, p. 60.
  28. Popoff 1996, p. 90.
  29. Charles-René d' (1640-1732) Auteur du texte Hozier, VOLUMES RELIES du Cabinet des titres : recherches de noblesse, armoriaux, preuves, histoires généalogiques. Armorial général de France, dressé, en vertu de l'édit de 1696, parCharles D'HOZIER. (1697-1709). XVIII Lorraine., 1701-1800 (lire en ligne)
  30. Popoff 1996, p. 102.
  31. a et b Popoff 1996, p. 116.
  32. a et b Popoff 1996, p. 98.
  33. a et b Bunel Amboise.
  34. a b et c Archives nationales BB/29/966, p. 493.
  35. Roret 1854, p. 208.
  36. a b et c Archives nationales BB/29/968, p. 62.
  37. « Cote LH/530/21 », base Léonore, ministère français de la Culture
  38. « Cote LH/530/22 », base Léonore, ministère français de la Culture
  39. Archives nationales BB/29/968, p. 66.
  40. GASO - Banque du blason - 52127
  41. GASO - Banque du blason - 52257
  42. GASO - Banque du blason - 10296
  43. GASO - Banque du blason - 88471

Bibliographie

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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