Uvernet-Fours et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).
La commune d’Uvernet-Fours se trouve dans la vallée du Bachelard, à quelques kilomètres de Barcelonnette. Elle est sur la route du col de la Cayolle, à 1180 m d’altitude[3].
L'habitat est dispersé entre plusieurs villages et hameaux disséminés dans les gorges du Bachelard : Uvernet, Fours, Saint-Laurent, Saint-Louis, Bayasse, les Agneliers, Molanès, les Chapeliers. Le village d'Uvernet est construit sur le cône de déjection du Riou Chanal[4].
Lors des deux dernières grandes glaciations, la glaciation de Riss et la glaciation de Würm, les vallées de la commune sont envahies par les glaciers de l’Ubaye et ses glaciers affluents. On trouve un glacier dans la vallée des Agneliers, affluent du glacier du Bachelard. Le glacier du Bachelard remontait non loin du col de la Cayolle. Les sommets des crêtes n’ont jamais été recouverts[5].
Le vallon du Riou Chanal est constitué de marnescallovo-oxfordiennes[6] caractérisées par un paysage de badlands qui se créent sur des Terres Noires instables[7], pouvant glisser de plusieurs mètres en un an[8].
Relief
Vallon de la Moutière.
Environnement
La commune compte 3 167 ha de bois et forêts, soit 23 % de sa superficie[2].
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Barcelonnette auquel appartient Uvernet-Fours est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[10], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[11]. La commune d’Uvernet-Fours est également exposée à quatre autres risques naturels[11] :
avalanche ;
feu de forêt ;
inondation ;
mouvement de terrain.
La commune d’Uvernet-Fours est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de rupture de barrage. Une retenue d’eau relativement importante se situe au-dessus de Pra-Loup et pourrait être destructrice en cas de rupture de la digue[12].
Le risque d'inondation et de mouvement de terrain est en partie causé par le riou Chanal, un torrent au bassin versant de 280 hectares qui se jette dans le Bâchelard près du village d'Uvernet[4].
Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 2000 pour les risques d’inondation, de mouvement de terrain et d’avalanche[12] et le Dicrim n’existe pas[13].
Mouvements de terrain dans le bassin du Riou Chanal
Les fortes pentes dénudées par le pastoralisme permettent la formation d’importantes crues torrentielles, qui forment des laves torrentielles destructrices. Pour les contrer, l’État met en place différentes mesures volontaristes dans le dernier tiers du XIXe siècle[4], dont des barrages de correction sur le riou Chanal, la commune étant la première du département à recevoir un dispositif complet d'ouvrages de correction, construits de 1863 à 1914[14],[15]. Après des reboisements et réengazonnements sur les deux tiers du bassin versant, commencés en 1863[16], le dispositif est complété par l'implantation de barrages, dont 1100 en fagots de saules (qui sont vivants et donc se renforcent de leurs racines) et 174 en pierres sèches[9]. Constatant l'efficacité du barrage Sardi, construit en 1874, dans la limitation des apports d'une coulée boueuse aux laves torrentielles, Prosper Demontzey décide de la généralisation de ce dispositif : 37 barrages maçonnés et une quarantaine de barrages en pierre sèche sont construits jusqu'à la fin des années 1890[9]. Sans entretien pendant la quasi-totalité du XXe siècle, ces ouvrages sont dans les années 1990 en piteux état et de nouveaux sont construits dans les années 2000 afin de garantir la sécurité du village d'Uvernet[4].
Grâce à ces travaux, la dernière crue torrentielle responsable de dommages importants remonte à 1860. Le torrent avait emporté la digue protégeant Uvernet, et avaiet ensuite envahi le cimetière et le village[15]. Depuis, les crues, même accompagnées de laves torrentielles (au nombre de sept de 1860 à 1987), n'ont causé des dégâts matériels que sur les ouvrages de défense[15]. Bien qu'alimenté par des alluvions et des blocs de tailles variées, le Riou Chanal coule dans un lit suffisamment encaissé (cinq mètres) pour contenir ses crues[8].
Séismes
Relais au col d’Allos (2230 m d’altitude pour le refuge).
Plusieurs tremblements de terre ont été fortement ressentis dans la commune. Ils dépassent une intensité macro-sismique ressentie de V sur l’échelle MSK (dormeurs réveillés, chutes d’objets). Les intensités indiquées sont celles ressenties dans la commune, l’intensité pouvant être plus forte à l’épicentre[17] :
le séisme du , d’une intensité ressentie à Uvernet-Fours de V et dont l’épicentre était situé à Saint-Clément-sur-Durance[18] ;
le séisme du , avec une intensité ressentie de V et dont l’épicentre était situé à Barcelonnette[19] ;
le séisme du , avec une intensité ressentie de VI et dont l’épicentre était situé à Saint-Paul-sur-Ubaye[20].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 801 mm, avec 6,3 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[21]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Barcelonnette », sur la commune de Faucon-de-Barcelonnette à 4 km à vol d'oiseau[23], est de 8,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,3 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 36,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −25 °C, atteinte le [Note 1],[24],[25].
Uvernet-Fours est une commune rurale[Note 2],[28]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[29],[30].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Barcelonnette, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[31],[32].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (37,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,7 %), forêts (29 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), prairies (1,3 %), zones urbanisées (0,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[33].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Toponymie
Le nom de Fours, tel qu’il apparaît la première fois en 1376 (de Furnis), est tiré de l’occitanforn, pour fours[34]. l'Uvarnét en valéian. Le nom de ses habitants est, en valéian, lous Uvernouges.
Avant la Révolution, les villages d'Uvernet et de Fours étaient administrativement sous la dépendance de Barcelonnette. La paroisse Saint-Jean-Baptiste des Agneliers est créée par détachement de celle de Saint-Pons en 1652, ainsi que celle d’Uvernet en 1698[36].
Au XVIIIe siècle, une petite industrie de filature de la soie se développe[36]. Dans les années 1780, le gisement de plomb de la Malune (sur la route du col d'Allos) étant assez pauvre, son exploitation n’est pas prolongée, bien qu’il ait fourni un alquifoux de bonne qualité[37]: minerai de type galène servant à l'émaillage en poterie; il n'est plus utilisé aujourd'hui par sa toxicité; il était pratique par sa température de fusion basse.
En 1790, deux communes sont créées : Uvernet et Fours, lesquelles sont réunies en 1973 pour former la commune actuelle d'Uvernet-Fours. La commune de Fours rassemble alors quatre paroisses : Fours, Saint-Louis, Saint-Laurent, Villard-d'Abbas.
Monument aux morts, avec pleureuse (Debacker).
Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression s’abat sur ceux qui se sont levés pour défendre la République, dont un habitant d’Uvernet qui est traduit devant la commission mixte[38].
Comme de nombreuses communes du département, Uvernet et Fours se dotent d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, chacune d’elles compte déjà quatre écoles dispensant une instruction primaire aux garçons. À Uvernet, elles se trouvent au chef-lieu et aux hameaux des Chapeliers, des Molanes et aux Agneliers (à plus de 1 700 m d’altitude). À Fours, elles sont situées au Vilard d’Abas, à Fours, aux Longs et à Bayasse[39]. Point commun entre les deux communes : aucune ne possède d’école de filles. Si la loi Falloux (1851) qui impose l’ouverture d’une école de filles dans les communes de plus de huit cents habitants ne les concerne pas, la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à cinq cents habitants[40], aurait dû être appliquée à Uvernet : ce ne fut pas le cas[41]. Les filles de ces deux communes ne furent régulièrement scolarisées qu’à partir des lois Ferry.
En 2021 , la commune d’Uvernet-Fours comptait 532 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2006, 2011, 2016 pour Uvernet-Fours). Les autres chiffres sont des estimations.
L’histoire démographique d’Uvernet est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure peu, de 1806 à 1846. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique rapide et de longue durée. En 1896, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841[53]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt que dans les années 1960. Depuis, la population a repris sa croissance, quintuplée depuis un demi-siècle. L’apport de la fusion de Fours en 1973 est minime, avec une trentaine d’habitants pour plusieurs centaines à Uvernet[54].
Fours connait un schéma différent : la période d’« étale » dure plus longtemps, de 1811 à 1861. Le recul démographique est ensuite beaucoup plus rapide à Fours, puisque la commune atteint les 50 % de sa population maximale dès 1886[53]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt ensuite plus, poussant à la fusion avec Uvernet.
La station de sports d’hiver de Pra Loup est située dans la commune, au nord-ouest du village. Station de ski depuis les années 1960, l'idée est née une dizaine d'années auparavant, à l'initiative du médecin Pierre Grouès. Le lieu était, pourtant, déjà connu et habité depuis la Préhistoire, avec un hameau dès le Moyen Âge[57]. Le domaine skiable compte, de nos jours, 180 km de piste de ski alpin[58].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Églises et chapelles
Uvernet-Fours regroupe deux anciennes communes, qui comportaient au total sept paroisses (Fours, Bayasse, Villard-d’Abas, Uvernet, Les Agneliers, Molanès, La Maure). Chaque paroisse avait en outre des chapelles desservant les hameaux isolés, et la période de construction d’église dure jusqu’à la fin du XXe siècle avec celle de la station de sports d’hiver de Pra-Loup. On compte donc un nombre très important d’édifices religieux, en état plus ou moins bon[59] tant et si bien qu'aucun auteur ne les signale toutes:
L’église paroissiale Saint-Jean-Baptiste à Molanès, tire son origine d’un prieuré du Moyen Âge, même si la seule date marquée indique XVe et XVIe siècles. Ce prieuré fut lié à l'abbaye très ancienne des Chalaisiens du Vallon du Laverq (du XIIe siècle); mais la toponymie locale rend très probable un lien initiale plus ancien avec Saint-Dalmas-le-Selvage, prieuré-fille de l'abbaye San Dalmazzo da Pedona soumis aux règles bénédictines. En effet le toponyme "Moutière" (vallon, col, torrent) a un lien étymologique avec "monastère", à la manière de l'abbaye du Monestier près de Briançon, ou encore de Moustiers-Sainte-Marie, indiquant un lien de cheminement entre deux pôles monacaux. L'église plus récente est elle marquée du début du XVIIIe siècle. Ses deux travées sont couvertes de fausses voûtes d’arêtes ; côté nord, se trouve une chapelle. Du côté sud, le clocher-tour carré est construit contre la façade sud[61]. C’est une ancienne paroisse de Fours[62].
L’église Saint-Laurent à Fours date de 1689. Les quatre travées de la nef sont voûtées en berceau. Le clocher-tour est construit sur le côté de l’église. Le chœur est en cul-de-four se restreignant à l’entrée[63]. La chapelle latérale sud est peinte de motifs végétaux et architecturaux (XVIIIe siècle). Dans le mobilier de l’église, se trouvent :
la chaire est polygonale, ornée de feuillage et d’un homme[68],[69].
plusieurs autres objets de le l'église sont protégés[70].
La chapelle Saint-Marc, au Villard-d'Abbas, est une ancienne église construite lors de l’érection en paroisse en 1820[71],[59]. La travée principale est couverte d’une coupole aplatie, et placée entre deux travées étroites, voûtées en berceau[71].
Le hameau de Bayasse (Uvernet-Fours).
La paroisse de Bayasse avait son siège à l’église Saint-Louis, hameau des Bellons. Plusieurs chapelles en dépendaient[59] :
Notre-Dame-de-Lumière aux Longs, qualifiée d’église par Raymond Collier, date de 1677. Sa nef compte deux travées simplement voûtées d’arêtes, avec une seule chapelle latérale, au nord[72] ;
et la plus basse, la chapelle Saint-Blaise au Verger.
L’église des Agneliers fut paroissiale ; elle est aussi sous le titre de Saint-Jean-Baptiste (XVIe et XVIIe siècles). En dépendaient la chapelle Notre-Dame-de-Pitié, à Morjuan (ancienne paroisse), et la chapelle de Chancelaye, hameau isolé dans le vallon qui mène au col d’Allos[59]. Trois tableaux classés proviennent de la chapelle Morjuan : ils représentent l’ensevelissement du Christ, une Vierge à l’Enfant et Dieu le Père[73].
Le refuge de la Bayasse, à 1 780 m d'altitude, est entièrement reconstruit selon les normes éco-responsables[75].
Ponts
Pont sur arches du Fau.
Trois ponts sont signalés :
à Uvernet, pont du Fau ;
à Fours, pont sur le Bachelard (médiéval) ;
le grand pont de la Cayolle, sur la route du col de la Cayolle : il a été construit en 1901 pour rompre l'isolement de la vallée du Bachelard, sur une route construite à la demande de l’armée française et du Touring-club de France. Il est supporté par un arc surbaissé de 31 m de portée et d'épaisseur variable, avec quatre voûtelettes d'élégissement, au-dessus du Bachelard. La route RD 902 l’emprunte[76].
Personnalités liées à la commune
Firmin Isidor Léautaud (1834-1903), qui fut dans un premier temps comédien et plus tard souffleur de la Comédie Française, est né à Fours. Il doit sa célébrité surtout au fait que son fils Paul Léautaud (né et mort à Paris, 1872-1956) fut l'un des écrivains les plus originaux du XXe siècle, dont les œuvres les plus importantes sont Le Petit Ami et Journal Littéraire. En cette dernière, composée de 19 tomes et quelque 6 000 pages, il exprima - avec sa dent dure impitoyable - ses opinions personnelles et littéraires d'auteurs comme Valéry et André Gide.
Menant une vie modeste et solitaire parmi ses nombreux animaux, Paul Léautaud n'était connu du grand public que comme critique de théâtre sui generis au Mercure de France (sous le pseudonyme Maurice Boissard), jusqu'en 1950 lorsque, vieillard, il fut l'objet d'une bouleversante suite d'interviews à la radio sous la direction du poète et recteur de l'Université de Paris Robert Mallet. Pendant une vingtaine d'heures, Paul Léautaud se mit moralement à nu devant une France médusée, faisant preuve dans ses éruptions d'une spontanéité et d'un courage qui choqueraient même aujourd'hui. Son nom est désormais devenu un symbole de farouche individualisme et de finesse d'esprit, se méfiant des prétentions intellectuelles et humaines.
Dans son émouvante nouvelle In Memoriam, Paul Léautaud rendit un hommage à la fois aigre et mélancolique à son père Firmin, bel homme connu pour ses multiples conquêtes féminines mais empêché, par cause de son fort accent provençal, de réaliser la grande carrière théâtrale dont il rêvait en quittant, jeune homme, son village natal.
↑ a et bMichel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN2-7399-5004-7)
↑Maurice Jorda, Cécile Miramont, « Les Hautes Terres : une lecture géomorphologique du paysage et de ses évolutions », in Nicole Michel d’Annoville, Marc de Leeuw (directeurs) (photogr. Gérald Lucas, dessin. Michel Crespin), Les Hautes Terres de Provence : itinérances médiévales, Le Caire : Association Les hautes terres de Provence ; Saint-Michel-l'Observatoire : C'est-à-dire, 2008, 223 p. (ISBN978-2-952756-43-3). p. 33.
↑ a et bMinistère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 8 juillet 2011, consultée le 1er septembre 2012
↑ a et bPréfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 98
↑BRGM, « fiche 50043 », Sisfrance, consultée le 1er septembre 2012
↑BRGM, « fiche 40091 », Sisfrance, consultée le 1er septembre 2012
↑BRGM, « fiche 40109 », Sisfrance, consultée le 1er septembre 2012
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 25 079.
↑Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 72.
↑Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN978-2-86-004-015-0), p. 9.
↑ abcde et fDaniel Thiery, « Uvernet-Fours », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 23 décembre 2011, mis à jour le 24 décembre 2011, consulté le 1er septembre 2012
↑« Un refuge exemplaire », Conseil général Alpes-de-Haute-Provence, septembre 2014, no 127, p. 4.
↑Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p. 123-124.
↑Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).