L'armée malienne visée par deux attaques de Touareg armés: un mort 2008 + (Le 3 mai, un convoi de ravitaillement de l'armée avait déjà été la cible d'une attaque de contrebandiers touareg entre les localités de Aguel'hoc et Tessalit, dans l'extrême-nord malien. Lundi soir, l'armée malienne a publié un communiqué affirmant que cette "attaque avait fait un mort du côté des forces armées et 9 morts et 18 blessés dans les rangs des assaillants", alors qu'un précédent bilan établi de source militaire faisait état de cinq morts.)
Bana Blachera 1 (ancien contrebandier devenu un cacique de Boko Haram, qui régnerait sur les routes et les pistes qu’il connaît par cœur. Un temps pressenti pour succéder à Shekau, il disposerait d’une certaine autonomie}
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, à la date du , au moins 22 596 civils, dont 3 116 femmes et 4 850 enfants, ont été tués par les avions et les hélicoptères du régime syrien[13]. De janvier 2014 à juillet 2015, ces bombardements tuent au moins 9 469 civils, dont 2 779 enfants[14],[15]. Du au , 37 568 raids aériens et 44 338 barils explosifs sont recensés, causant la mort d'au moins 6 338 rebelles et djihadistes et d'au moins 10 485 civils, dont 2 296 enfants ou adolescents, 1 509 femmes et 6 680 hommes, ainsi que plus de 61 000 blessés[16].
Au sud de la Syrie, dans les gouvernorats de Deraa et Kuneitra, les rebelles capturent le 29 mars le village stratégique de Da'el après des combats acharnés avec les forces gouvernementales[18],[19]. Puis, le 3 avril 2013, ils capturent une base de l'armée syrienne près de la ville de Deraa[20]. Le 6 juin, les rebelles prennent pendant quelques heures le contrôle de la ville de Kuneitra, unique point de passage reliant le plateau du Golan occupé par Israël au reste du territoire syrien. Cependant l'armée syrienne contre-attaque rapidement et reprend le contrôle du passage le jour même[21],[22].
Depuis la mi-août 2013, une opération multi-partite anti-Assad aurait commencé pour renverser la situation difficile des rebelles. Des éléments de l'opposition syrienne, encadrés par des commandos américains, israéliens, et jordaniens se seraient mis en route en direction de Damas. Ils auraient franchi la frontière le 17 août, et passé par la région de Deraa[23].
Par ses nombreuses interventions extérieures et par son caractère religieux, la guerre civile syrienne est parfois comparée à la guerre de Trente Ans[24],[25].
Les importantes ressources énergétiques de la région ont placé la Syrie devant des choix géopolitiques complexes, notamment en termes de la construction de gazoduc pour export vers l'Europe[26],[27],[28],[29]. Selon Jokar, analyste spécialiste de l'Iran et du Moyen-Orient : « L'Europe a des besoins énergétiques en gaz importants. Par conséquent, l'acheminement du gaz qatari vers l'Europe représente l'un des multiples enjeux géostratégiques de la crise syrienne »[30]. Le Qatar cherche à s'affranchir du détroit d'Ormuz pour ses exportations de gaz et a élaboré en 2009 un projet de gazoduc terrestre allant du golfe Persique jusqu’à la Turquie et passant par l'Arabie saoudite, la Jordanie et la Syrie. Celui-ci serait relié à Nabucco, projet de pipeline européen dont l’objectif est d’alléger la dépendance des pays européens au gaz russe. Alors que le Qatar se rapproche dans un premier temps du régime de Bachar al-Assad dans cette perspective, ce dernier oppose finalement un refus au projet qatari qui aurait menacé son allié russe, au profit d'un projet de pipeline avec l’Iran et l’Irak, l’Islamic Gas Pipeline, qui serait relié au South Stream, le gazoduc russe[31],[32],[33]. Le chercheur David Rigoulet-Roze souligne ainsi « l’intérêt du Qatar à un changement de régime à Damas. Il est évident que si le régime de Bachar el-Assad tombe et qu’il est remplacé par un gouvernement de Frères musulmans, ce dernier sera sensible aux demandes de ceux qui les ont aidés à accéder au pouvoir »[31]. Cependant Robin Mills, directeur-général de Qamar Energy, qualifie la thèse d'une insurrection syrienne soutenue par le Qatar dans le but de faire construire un gazoduc en Syrie, de « théorie du complot »[34]. Il indique que le Qatar n'est même pas en mesure de faire exporter son gaz vers le Koweït et Bahreïn en raison de l'opposition de l'Arabie saoudite, mais qu'il exporte en revanche son gaz sous forme liquéfiée vers l'Europe en passant par les voies maritimes[34],[35]. Le projet d'un pipeline Iran-Irak-Syrie, sensé être en concurrence avec le gazoduc qatari, ne prend de l'importance qu'à partir de juillet 2011, alors que la crise syrienne est déjà bien engagée[34]. Pour Téhéran, ce projet vise surtout à ravitailler ses alliés syriens et irakiens, et non à avoir un accès vers l'Europe, la Syrie n'occupe aucune position stratégique étant donné qu'un gazoduc relie déjà l'Iran à l'Europe via la Turquie[34].
En octobre 2015, 7 000 à 10 000 soldats iraniens seraient présents en Syrie[36].
La nuit du 7 au 8 septembre 2016, des tirs d'artillerie de l'armée turque font 6 morts et 10 blessés parmi des Assayech dans la région d'Afrine[37].
Zahreddine et Souleil el-Hassan sont les deux généraux syriens qui se distinguent lors du conflit[38].
2000 tonnes d'armes livrés par la Turquie et les pays du Golfe au rebelles le 7 avril 2016, selon le Jane's « Les rebelles ont profité du cessez-le-feu fin février pour faire entrer de Turquie des missiles antichar et des explosifs achetés grâce à l'Arabie saoudite, ajoute l'expert. Ils ont également fait entrer de nouveaux combattants, persuadés que la trêve ne tiendrait pas »1
Soutien extreme droite et gauche au régime syrien « Assad a réussi le tour de force de fondre en un seul propos les clichés du discours antisémite et ceux du discours islamophobe [...]. Assad a réussi à séduire à la fois la gauche anti-impérialiste, grâce à sa rhétorique du complot étranger destiné à détruire la Syrie pour le bénéfice d’Israël et des puissances de l’argent, et la droite islamophobe, en insistant dès le début sur caractère islamiste du soulèvement. Ce qui n’était pas du tout le cas en 2011. » (Marie Peltier) 1
Le 4 février 2014, l'EIIL signe une trêve avec Suqour al-Cham, une brigade du Front islamique[39].
Le 7 avril 2018, Erdogan déclare : « La France encourage les terroristes lorsqu'elle les accueille au palais de l'Élysée... Tant que les pays occidentaux continueront à soutenir des terroristes, ils continueront d'être la cible d'attaques terroristes en réaction »[40].
Le 5 avril 2018, le ministre turc des Affaires européennes, Ömer Çelik, déclare dans un entretien à l'agence Reuters : « J’ai souligné que nous attendions de la France qu’elle ne fasse rien qui puisse redonner courage aux YPG ni les appuyer. Il faudra que nos alliés fassent leur choix en faveur de la Turquie dans le cadre de la lutte contre Daech, pas en faveur du PYD-YPG »[41].
« A ces ressentiments, ancrés dans l’histoire des huit dernières années, s’ajoute une forme persistante de déni de la légitimité kurde, nourri par le baasisme, l’idéologie officielle du régime Assad, dont les cadres de l’opposition restent malgré eux imprégnés »[42].
Selon le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme, des mines et des restes d'explosifs de guerre (REG), posées aussi bien par l'armée que par les groupes armés, ont causés 28 incidents graves de mars à fin août 2012 et fait 43 morts, dont 24 enfants[44].
Début 2013, dans l’Adrar des Ifoghas, dans le nord du Mali, les soldats lancés à l’assaut des sanctuaires d’Al-Qaida ont renoué avec le corps-à-corps. « A une époque, on offrait la baïonnette en coffret aux visiteurs car on pensait qu’elle ne servirait plus », note Pierre-André Moreau. Le Monde 1
D'après le MNLA, 9 civils sont exécutés par des soldats maliens près de Sokolo le 22 octobre 2012[45],[44] et 52 autres sont exécutés le 25 octobre à Tolletene près de Djoura, dans la Région de Mopti[46].
En janvier 2013, le MUJAO accuse l'armée malienne d'avoir massacré 40 Peuls soupçonnés de liens avec les Islamistes[47].
Selon l'agence d'informations en ligne mauritanienne ANI qui cite des témoins oculaires, les corps de plusieurs personnes, dont trois commerçants arabes arrêtés par l'armée malienne, sont découverts dans le désert près de Tombouctou 8 février, information non confirmé selon Jeune Afrique[48].
Début 2013, un officier français à Kidal affirme que « la fiabilité du MNLA est très moyenne, et c'est exact qu'il y a parmi eux de vrais bandits »[49].
Les groupes islamistes sur le terrain au Mali sont estimés, selon les sources, de 2 000 à 5 000 hommes environ[57]. Les services algériens estiment, eux, le nombre de combattants islamistes aguerris entre 1 500 et 2 000, entourés de divers groupes criminels et de mercenaires attirés par l'appât du gain[57].
Par ailleurs, selon le New York Times, trois des quatre unités d'élite maliennes à commandement touareg formées par les États-Unis dans les années 2000 sont passées dans le camp des rebelles lors du conflit de 2012[58],[59].
Les djihadistes disposent, pour l'essentiel, d’armes d'infanterie provenant des arsenaux libyens ou achetées à des trafiquants d'armes grâce aux revenus tirés de trafics divers (drogue, êtres humains, etc.) et des rançons d'otages : fusils d'assautAK-47, fusils de précisionDragunov, mitrailleuses légères de 7,62 mm, mitrailleuses lourdes de 12,7 mm et 14,5 mm ou encore lance-roquettesRPG-7[57]. Les djihadistes possèdent des pick-up équipés de canons jumelés de calibre 23 mm, d'une portée de plus d'un kilomètre[60]. Ils détiendraient également des « grandes roquettes russes » transportables en pick-up et des canons de 107 mm[61].
En mars 2011, Idriss Déby affirme qu'AQMI possède des missiles sol-air et RFI fait état de sources d'informations indiquant la possession par AQMI de SA-7[62]. Cette possession de SA-7 reste évoquée par la presse française dans le contexte de l'opération Serval[60], mais avec des doutes sur les compétences des djihadistes pour en assurer la maintenance et l'utilisation[61]. Ils possèderaient également quelques missiles antichar français Milan, qu'ils se seraient procurés dans les arsenaux libyens[57]. Quelques djihadistes français ont combattu au Mali, par exemple Gilles Le Guen (alias Abdel Jelil[63]), capturé par les forces françaises dans la région de Tombouctou au Nord-Mali dans la nuit du 28 au 29 avril 2013[64].
Syrie : des représentants alaouites et sunnites signent un « code de conduite pour la coexistence » Mi-janvier 2018, 18 représentants syriens ont cosigné un « code de conduite pour la coexistence syrienne » en onze points. Inspirés par les pères fondateurs de la Syrie qui ont mené le mouvement d’indépendance contre le mandat français (1920-1946), ils ambitionnent de bâtir un nouveau contrat social dans une Syrie unie et plurielle, où l’égalité et les droits de chacun seront respectés, avec un système politique et social fondé sur la citoyenneté, et non sur le sectarisme et la domination d’une communauté sur une autre. Leur réunion autour d’un texte commun est en soi un événement. La prise de risque pour les représentants des plus grands clans alaouites venus de Syrie est considérable. Leur anonymat a été requis : construire leur propre réseau et questionner le monopole du régime dans les négociations est un acte de trahison.
Selon Marc-Antoine Pérouse de Montclos : « Des entretiens menés récemment auprès de 168 détenus de Boko Haram au Niger ont également révélé que la majorité d’entre eux avaient rejoint le groupe soit parce qu’ils avaient été enlevés par les insurgés, soit pour fuir la répression de l’armée, soit encore pour protester contre les injustices du gouvernement. Seulement un sur cinq (22 %, essentiellement parmi les combattants, plutôt que parmi les « complices ») citait des arguments religieux pour expliquer son engagement dans la lutte. De même au Nigeria, des sondages ont montré qu’entre 0 % et 25 % des enfants embrigadés dans Boko Haram disaient avoir été motivés par des raisons religieuses ; la plupart avaient plutôt rejoint les insurgés pour suivre un ami, gagner de l’argent et s’élever dans la hiérarchie sociale. Tout ceci a aussi été confirmé par une étude plus large des Nations unies auprès de 573 combattants issus, pour l’essentiel, des Chabab dans la Corne de l’Afrique, de Boko Haram au Nigeria et, dans une moindre mesure, d’AQMI au Mali »[65].
Les importantes ressources énergétiques de la région ont placé la Syrie devant des choix géopolitiques complexes, notamment en termes de la construction de gazoduc pour export vers l'Europe[1],[2],[3],[4]. Selon Milad Jokar, analyste spécialiste de l'Iran et du Moyen-Orient : « L'Europe a des besoins énergétiques en gaz importants. Par conséquent, l'acheminement du gaz qatari vers l'Europe représente l'un des multiples enjeux géostratégiques de la crise syrienne »[5]. Le Qatar cherche à s'affranchir du détroit d'Ormuz pour ses exportations de gaz et a élaboré en 2009 un projet de gazoduc terrestre allant du golfe Persique jusqu’à la Turquie et passant par l'Arabie saoudite, la Jordanie et la Syrie. Celui-ci serait relié à Nabucco, projet de pipeline européen dont l’objectif est d’alléger la dépendance des pays européens au gaz russe. Alors que le Qatar se rapproche dans un premier temps du régime de Bachar al-Assad dans cette perspective, ce dernier oppose finalement un refus au projet qatari qui aurait menacé son allié russe, au profit d'un projet de pipeline avec l’Iran et l’Irak, l’Islamic Gas Pipeline, qui serait relié au South Stream, le gazoduc russe[6],[7],[8]. Le chercheur David Rigoulet-Roze souligne ainsi « l’intérêt du Qatar à un changement de régime à Damas. Il est évident que si le régime de Bachar el-Assad tombe et qu’il est remplacé par un gouvernement de Frères musulmans, ce dernier sera sensible aux demandes de ceux qui les ont aidés à accéder au pouvoir »[6]. Cependant Robin Mills, directeur-général de Qamar Energy, qualifie la thèse d'une insurrection syrienne soutenue par le Qatar dans le but de faire construire un gazoduc en Syrie, de « théorie du complot »[9]. Il indique que le Qatar n'est même pas en mesure de faire exporter son gaz vers le Koweït et Bahreïn en raison de l'opposition de l'Arabie saoudite, mais qu'il exporte en revanche son gaz sous forme liquéfiée vers l'Europe en passant par les voies maritimes[9],[10]. Le projet d'un pipeline Iran-Irak-Syrie, censé être en concurrence avec le gazoduc qatari, ne prend de l'importance qu'à partir de juillet 2011, alors que la crise syrienne est déjà bien engagée[9]. Pour Téhéran, ce projet vise surtout à ravitailler ses alliés syriens et irakiens, et non à avoir un accès vers l'Europe, la Syrie n'occupe aucune position stratégique étant donné qu'un gazoduc relie déjà l'Iran à l'Europe via la Turquie[9].
Abdoullah Mouhab Radjab Abdoulrahman, dit Abou Kheir Al-Masri (en), numéro 2 d'al-Qaïda, tué par un tir de drone américain dans la région d'Idleb en Syrie, le 26 février 2017[1],[2],[3],[4].
tué dimanche, alors qu'il circulait dans un véhicule dans la province d'Idlib. alors qu'il circulait dans une voiture avec son garde du corps, près du village d'al-Mastoumeh dans la province d'Idlib, au nord-ouest de la Syrie. Selon certaines sources de l'opposition syrienne, un de ses gardes du corps a également été éliminé dans cette frappe . Confirmée, jeudi, par al-Qaida. Égyptien de 59 ans - de son vrai nom Abdullah Mohammed Abd al-Rahman. Al-Khayr était considéré comme le second dans la chaîne de commandement d'al-Qaida, après Ayman al-Zawahiri, le successeur de Ben Laden. Marié à une fille de ce dernier. Dès les années 1990, il participa au djihad en Bosnie, avant de rallier Ben Laden et al-Zawahiri dans leur nouvelle base afghane. «C'est dans la maison d'hôtes d'al-Khayr à Kaboul que le cerveau des attentats du 11 septembre 2001, Khaled Sheikh Mohammed (KSM), présenta son plan à la direction d'al-Qaida», affirme Soufan Group, un think-tank américain dirigé par Ali Soufan, un ancien du FBI qui interrogea KSM en prison. accusé d'être impliqué dans les premiers attentats revendiqués par al-Qaida contre les ambassades américaines en 1998 en Tanzanie et au Kenya (224 morts). L'ancien activiste du Djihad islamique égyptien appartenait au cercle fermé des membres du Majlis al-Choura d'al-Qaida, un des organes de direction de l'organisation terroriste. Après les attentats du 11 Septembre, il fuit en compagnie d'autres cadres d'al-Qaida et de certains enfants de Ben Laden en Iran, où les ténors djihadistes furent placés en résidence surveillée, avant d'être échangés en 2015 contre un diplomate iranien relâché par la branche yéménite d'al-Qaida. En juillet 2016, on retrouve la trace d'al-Khayr en Syrie dans un message audio diffusé par le Front al-Nosra, la branche locale d'al-Qaida. Al-Khayr a pour mission de faire prospérer al-Nosra, quitte à se dissocier de la maison mère al-Qaida - ce qu'al-Nosra fit avec l'assentiment d'al-Khayr et d'al-Zawahiri
La nuit du 19 au 20, l'armée française attaque un groupe de combattants près de Ménaka. Selon l'armée française une dizaine de djihadistes du groupe Al-Mourabitoune sont tués[1],[2]. Cependant le 22 décembre, le MAA loyaliste, de la Plateforme pro-Bamako, affirme que l'attaque française a été menée en réalité contre ses forces à In Araben et que douze de ses hommes ont été tués. L'armée française dément[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9].
Les 7 et 8 août, deux embuscades sont menées par Ansar Dine contre l'armée malienne à Diafarabé et Dia, où cinq soldats et un djihadiste sont tués[1],[2],[3]. 1
Le 28 janvier, cinq autres soldats sont tués dans une attaque contre le camp militaire de Ménaka[1],[2]. Sidaham Ag Tahama, un chef djihadiste du Jamaat Nosrat al-Islam wal-Mouslimin, aurait été mortellement blessé lors du combat[3].
Le , les forces du GATIA attaquent une base de l'État islamique dans le Grand Sahara entre Tamkoutate Djebock[1]. Le GATIA revendique la prise de la base et affirme avoir saisi des armes, des munitions, et libéré trois civils qui avaient été enlevés la veille[1].
Après les combats, le secrétaire-général du GATIA, Fahad Ag Almahmoud, affirme que les djihadistes étaient liés à un groupe dissident du MSA, le MSA2, ce que ce dernier dément[1].
L'armée burkinabée affirme ainsi avoir mené deux opérations les 15 et 16 novembre, au cours desquelles 24 djihadistes auraient été tués dans la forêt de Yorsala et huit autres près de Bourzanga[1],[2].
Attention : Convention des titres non respectée.Le modèle doit être nommé [[Modèle:Palette
]], en respectant la nomenclature débutant par le terme « Palette », suivi du thème débutant par une majuscule, sans tronquer des mots.
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Syntaxe
L’utilisation de cette palette se fait par l’ajout, en fin de page, avant les portails, du code ((Palette|Tan Khaerr/Brouillon)), ou en l’ajoutant à une ou des palettes existantes sous la forme ((Palette|nom-palette-1|Tan Khaerr/Brouillon)).
Il est déconseillé d’utiliser la forme ((Tan Khaerr/Brouillon)), qui ne permet pas, contrairement au modèle ((Palette)), de séparer correctement la ou les palettes du texte qui précède par de l’espace vide.
23 juin, offensive près de Jisr al-Chogour, prise du village de Khirbet al-Joz, 700 rebelles fuient en Turquie avec leurs familles selon l'armée[2]
24 juin : début offensive de l'armée à Kseir, près du Liban, 200 arrestations, deux morts le 25 juin[2]
26 juin : 400 étudiants arrêtés à Alep déférés devant la justice, accusés d'avoir commis des "actes de sabotage" et d'avoir proféré des "insultes contre le président"[2]
Le 27 juin, une centaine d'intellectuels opposants au régime se réunissent au grand jour dans un hôtel de Damas[2].
Le 4 mai, 160 véhicules se rassemblent aux environs d'Al-Rastan et Talbisse[3]
Au 9 mai 2011 : Total 621 civils et 120 soldats tués selon l'OSDH 1 Soldats = loyalistes + rebelles ?) 1
Au 27 juin 2011 : Total 1.342 civils et 343 policiers et soldats tués, selon l'OSDH ; 1.300 membres des forces de sécurité ont péri selon le porte-parole de l'armée Riad Haddad[2]
Le 13 juillet, la police réprime à Damas une marche de 250 intellectuels et artistes réclamant le départ de Bachar el-Assad[4].
22 juillet, manifs à Hama, Deir ez-Zor (400000), Homs, Idleb (12000), Jablé, Deraa, Soueida (plusieurs centaines), Damas (Midane et Hajar al-Assouad, 5000) [6]. Manifs kurdes à Amouda, Derbassiyé et Ras al-Ain ; des centaines de policiers et miliciens chargent à coups de matraques à Kamichli. C'est la première fois qu'est signalée une action aussi violente des forces de l'ordre contre des manifestants kurdes[5].
4 octobre : veto de la Russie et de la Chine à un projet de résolution des pays occidentaux menaçant le régime syrien de "mesures ciblées" [7]
12 octobre 2011 : manifestation pro-Assad à Damas. En réponse manifs anti-Assad à Idleb, Homs, Deraa, Deir Ezzor, Lattaquié et près de Damas[7]
Octobre, libération de l'opposant Walid al-Bounni[7]
13 novembre, manifestations pro-Assad à Damas en protestation de la suspension de la Syrie par la Ligue arabe[8]. Même jour, trois civils tués Homs et un autre dans la région d'Idleb, tandis que des déserteurs présumés ont tué deux agents de sécurité.
Le 16 novembre, l'Armée syrienne libre attaque au lance-roquettes un centre des services secrets et des renseignements de l'armée de l'air à Harasta. L'attaque est la première organisée par des déserteurs contre un bâtiment gouvernemental depuis le début du soulèvement en mars, elle fait 20 morts. L'opération est critiquée par une partie de l'opposition et de la communauté internationale, qui redoutent que le conflit ne dégénère en guerre civile[9].
24 novembre : 7 pilotes tués près de Palmyre, revendiqué par l'ASL 1
Le 2 décembre : Manifs de l'opposition, principalement à Homs et Hama (les plus importantes depuis l'entrée de l'armée dans la ville en août) et de moindre ampleur à Alep, et dans la province de Damas et dans la région de Deraa. Marches pro-Assad à Damas, Jablé et Tartous[10]
Le 7 avril, des dizaines de milliers de Kurdes privés de la nationalité syrienne sont naturalisés, mais la mesure n'empêche pas l'éclosion de manifestations dans les régions kurdes au nord[11].
Le 24 mars 2011, vers 1h30 du matin, à Deraa, une unité de l'armée prend d'assaut la mosquée Omari où s'étaient retranchés certains manifestants, en tuant au moins six. Plus tard dans la journée, la police ouvre le feu lors des funérailles de manifestants qui rassemblaient 20 000 personnes, selon les protestataires. D'autres incidents ont lieu entre opposants et forces de l'ordre dans les villages avoisinants. Au total, 15 personnes sont tuées tout au long de la journée[12].
Amnesty International condamne la répression et affirme que 30 personnes ont été arrêtées, dont les activistes des droits de l'homme Mazen Darwish et Suhair Al-Attassi et le philosophe Tayyeb Tizini[13].
Dans le courant du mois, des sunnites manifestent par ailleurs à Banias contre la mixité confessionnelle dans les écoles et réclament des emplois dans les deux grandes entreprises publiques de la ville qu'ils dénoncent comme des fiefs alaouites[14].
À ces manifestants pacifistes se sont joints très rapidement des groupes armés. Ainsi, le 11 avril 2011, 10 militaires, dont des officiers, sont tués sur la route de Banias[15]. L'histoire est confirmée par Joshua Landis[16] dont le cousin de sa femme, le colonel Yassir Qash'ur est tué dans cette attaque attribuée par ses proches aux partisans de l'ancien vice-président Abdullah Halim Khaddam. Parallèlement, les islamistes proches des Frères musulmans et des mouvements djihadistes s'activent dès les débuts des manifestations. Cela s'explique par la place importante que tient le pays de Sham (la grande Syrie) dans l'eschatologie[17] islamique, qui prévoit une bataille épique entre le Mahdi et les vrais musulmans contre le faux Mahdi et les faux musulmans venus de Khrassan, une région de l'actuel Iran[18].
les poches d’Abou Ali Khibbiyeh, un ex-peintre en bâtiment, mi-rebelle mi-gangster, dont le groupe armé, affilié à la Liwa Chouhada Douma, prélève une taxe sur chaque convoi
Dans les mois qui suivent, le chef de guerre continue d’écarter les gêneurs. Ses combattants s’attaquent aux commandants de l’ASL, comme Abou Soubhi Taha et Abou Ali Khibbiyeh, qui rechignent à lui faire allégeance. Les deux hommes, alliés au sein d’une nouvelle formation, Jaïch Al-Oumma (« l’armée de l’Oumma »), sont neutralisés à la fin de l’année 2014. Le premier est expédié dans l’une des nombreuses geôles où Zahran Allouche fait croupir ses opposants. Le second semble avoir été exécuté après que son rival l’eut évincé du point de passage de Wafidine, faisant main basse sur le lucratif business qu’il génère[1].
Les forces spéciales (quwat khas) de l'EI[2]. Jaych al-Khilafa est la seule force spéciale à ne pas être rattachée à un secteur géographique[3]. Certains de des membres sont choisis après une rude sélection dans les camps d'entraînement, d'autres sont désignés par les chefs[2]. Les quwat khas disposent d'une base avec de nombreux souterrains situé sur une île du Lac el-Assad, à proximité d'un barrage — celui de Tabqa — afin de dissuader les bombardements[2]. Certains de des membres sont choisis après une rude sélection dans les camps d'entraînement, d'autres sont désignés par les chefs[2]. À l'issu de leur stage d'entraînement, ils jurent fidélité directement face à Abou Mohammed al-Adnani[4]. C'est parmi les vétérans des quwat khas que sont choisis les gardes du corps d'Abou Bakr al-Baghdadi et des principaux[4]. D'autres membres des quwat khas rejoignent l'Amniyat[4].
Certains Français sont désignés pour rejoindre les forces spéciales sans passer par les camps d'entraînement, comme Mehdi Nemmouche, Abdelmalek Tanem ou Tyler Vilus[5].
Juillet-septembre 2017 : 6 morts et 25 blessés + 1 membre du personnel civil et 8 contractants tués et 2 membres du personnel civil et 7 contractants blessés[12] ou 3 morts et 22 blessés[13]
Octobre-décembre 2017 : 11 morts et 44 blessés et 4 morts et 4 blessés pour les sous-traitants[13],[14]
Janvier-mars 2018 : 4 morts et 12 blessés, ainsi qu'un vacataire sous-traitant tué et aucun blessé[14],[15]
Avril-juin 2018 : 4 morts et 24 blessés, ainsi que six vacataire tués[15].
Juillet-septembre 2018 : aucun mort et onze blessés[16],[17].
Octobre-décembre 2018 : 2 morts et 42 blessés[17], ainsi que trois fournisseurs et neuf blessés[18].
Janvier-mars 2019 : 17 morts et 46 blessés et aucun fournisseur tué ou blessé[18].
Selon la Croix-rouge, en août une bombardement particulièrement meurtrier du Hezb-e-Islami Gulbuddin fait 1 000 morts et 8 000 blessés[1].
Le 23 août, le quartier diplomatique de Kaboul est touché par les bombardements[2]. Le même jour, Sotirios Mousouris, le représentant personnel du secrétaire général de l'ONU en Afghanistan et au Pakistan, déclare que 1 800 civils ont été tués depuis le 10 août[2]. Seulement huit des 17 hôpitaux de Kaboul sont également en état de fonctionner[2].
Le 23 août, le gouvernement afghan demande également aux Nations unies de lui livrer l'ancien président Mohammad Najibullah, réfugié dans les locaux de l'ONU à Kaboul, afin de le juger[2].
Le , Burhanuddin Rabbani, chef du Jamiat-e Islami et chef de l'État par intérim depuis juin 1992, devient président de l'État islamique d'Afghanistan après avoir été élu par la choura le [1]. Le 4 janvier, la choura désigne un cinquième de ses membres pour constituer un Parlement. L'élection de Rabbani est cependant contestée par la plupart des autres partis issus des moudjahidines[1].
Le 6 janvier, les hommes du Hezb-e-Islami Gulbuddin, présents au sud de Kaboul, commencent à bombarder la capitale[1]. Le 19 janvier, les forces gouvernementales dirigées par Ahmed Chah Massoud lancent une contre-offensive contre le Hezb-e-Islami Gulbuddin[1]. Cependant Dostom n'engage pas sa milice dans les combats, bien qu'il ait apporté son soutien à Rabbani. Les combats font des milliers de victimes et des dizaines de milliers de déplacés mais les troupes de Massoud ne parviennent pas à prendre l'avantage[1].
Le 7 mars, un accord de paix est conclu : Gulbuddin Hekmatyar obtient le poste de Premier ministre sous la présidence de Rabbani[2].
Le , la conclusion d'un accord de paix a mis fin à une précédente bataille[1]. Gulbuddin Hekmatyar obtient le poste de Premier ministre, mais les négociations échouent sur la question de la désignation du successeur d'Ahmed Chah Massoud au poste de ministre de la Défense.
Le 6 mai, les combats reprennent[1]. Cette fois, la milice de Dostom appuie les troupes de Massoud[1]. Les combats redoublent d'intensité à partir du 12 mai[1].
Pendant ce temps, de nouvelles négociations sont menées à Jalalabad à partir du 1er mai entre les représentants de neuf factions moudjahidines, dont Burhanuddin Rabbani et Gulbuddin Hekmatyar[1]. Elles aboutissent à un accord le 19 mai, lequel prévoit que le ministère de la Défense soit confié pendant une période intérimaire de deux mois à une commission dirigée par le président, en attendant l'élection de son titulaire par les commandants des vingt-neuf provinces[1].
Massoud accepte de démissionner le 20 mai et les combats cessent le 23 après avoir un millier de morts, principalement parmi les civils[1].
Les forces de Massoud tiennent alors le nord de la capitale, celles d'Hekmatyar et de Dostom le sud, tandis qu'au sud-ouest le Hezb-i Wahdat reste neutre[2]. Gulbuddin Hekmatyar est basé à Charyasab, à 25 kilomètres au sud de Kaboul[2].
À la mi-avril, le bilan des combats est de formatnum:2500 morts et formatnum:17000 blessés[2]. En près de quatre mois, formatnum:100000 civils affluent vers des camps de réfugiés dans les environs de Jalalabad[2].
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But since court records are the usual source of the lists of victims for the départements or regions given in these monographs there is rarely any reason to doubt their authenticity. Taken together they make possible the obituary census of the Terror, which we have been able to fix at 16,594 victims, exclusive of persons condemned in absentia (contumace) and a few who were reprieved or who escaped after sentence had been passed (Tables I and III). Further research in local archives might add two or three hundred names; but if every death sentence of the period were known it is extremely doubtful that the total would reach 17,000. Why so many death penalties were inflicted is one of the objectives of our study; but, whatever conclusions we may reach, it is more than likely that the climax of the Revolution will always appear in a somewhat sinister light. Yet as far as numbers alone are concerned, the Terror was no more sanguinary than other repressions. For examples, one need not revert to Alva's Council of Blood in the Netherlands, the punishment of the German peasants after the revolt of
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Between fifteen and seventeen thousand Communards, all of them accused of the same crime and many of them tried in much the same manner as thousands of Vendéen, Lyonnais, or Toulonnais. * William Henry Chamberlin in his recent ...
Most of the important towns of the war region — Fontenay, Bressuire, Châtillon, Thouars, Angers, Saumur, Doué – were taken; and the attack late in June on Nantes, the capital of the West, failed only because of the inveterate incapacity of the Vendéen leaders to co-ordinate their movements. ... The Vendéen armies, so often invincible, “melted But Americans at least should remember that our annual automobile accident death toll has passed the 35,000 mark
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One can only guess at a total of at least ten or twelve thousand persons executed without trial during the Terror. Enough has been said to reveal the impossibility of determining with any degree of exactitude the total death roll of the Terror. However, if the figures we have cited may be taken as a rough index, it is probable that between thirty-five and forty thousand persons, including those who succumbed in the prisons and those killed without any form of trial, lost their lives as a consequence of terrorism
executions were intended vehemently enough . And in every other respect their victims are indistinguishable from the masses executed in the West or at Toulon or Lyon . The difference between being executed after a gesture of identification by a military commission and being shot or drowned without other formality than the order of a representative on mission
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extremes of zero and 3,548 . But perhaps we shall do well for the moment to neglect figures for individual départements and fix our attention on the regional totals . Then it is at once apparent that certain regions bore I the brunt of the Terror while others escaped almost unscathed . The Southeast where thirteen départements supplied a total of 3,158 victims and the West where the same number of Victims and the West where the same number of départements paid a toll over twice as heavy ( 8,674 ) , suffered most. The region around Paris , comprising six départements with a total of 27 executions , and the Center where the death penalties in thirteen départements total only 124 , suffered least . Apparently the Terror was not very harsh in the East ( thirteen départements , 243 death sentences ) , struck hard in the North where three départements supplied 551 victims , and was moderately severe in the South ( nine départements ) and the Southwest ( ten départements ) with totals of 434 and 476 death penalties respectively . Perhaps the Norman départements should be separated into two groups , the Orne and the Manche , invaded by the Vendéens , being assimilated to the West ; the remaining three saw little of the Terror , 20 executions . Condensed in these regional blocks , the inequalities of the geographic incidence of the Terror are even more accentuated than when viewed in eighty- seven fragments ; but they suggest quite obvious correlations which may lead us to a tentative explanation . First of all , it is an inescapable fact that the Terror struck hardest in the regions of civil war . Fifty - two per cent of the executions took place in the thirteen départements of the West , 19 % in those of the Rhône valley — a total ous . of 71 % for the two regions
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of 71 % for the two regions of civil war entailing major military operations . If the départements of the Orne and the Manche are to be considered as part of the cockpit of the West , this percentage would be increased to three fourths of the victims of the Terror . In other regions significant coincidences are less obviThe South and the Southwest suffered almost equally with approximately 3 % each of the total number of executions , a low incidence in comparison to the towering percentages of the West and Southeast , but higher than that of any other region except the North. Here there was no violent glare of civil war to illuminate the motivation of the repression ; but there were manifestations of counter - revolution second only in importance to the conflagrations of the Vendée and the Rhône valley . Federalism took a strong hold from Bordeaux to Nîmes and the Cévennes were the theatre of the royalist insurrections which threatened to involve all of southern France . Often southern federalism was strongly tinctured with royalism , and sometimes the two quite merged into open revolt ; but independent or fused , the two forms of counter - revolution kept the region from the Bay of Biscay to the Rhône in a
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Even after the colonnes infernales of Turreau had reduced the Vendée to a “ heap of ashes soaked with blood ” the war went on . The Vendée outlived the Terror and the Revolution itself . It would be idle to call attention to the horrors inci| dent to such a conflict were they not related to the murderous force of the Terror in the West . No war in French history , not even the Albigensian crusade , was fought with more sheer cruelty on both sides.
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examples , matched in almost every instance by republican atrocities. The Vendéen war was a chapter of horrors.
Now a final glance at our table of the numerical gradations of death sentences will show that it was precisely in the départements of the most atrocious civil war in French history that revolutionary justice took the heaviest toll . The Loire The Loire - Inférieure , the Maine - etLoire , and the Vendée , which taken together with a part of the Deux - Sèvres , formed the Vendée militaire , the home of the rebellion , supplied 42 % of the total of victims . The Loire - Inférieure with 3,548 executions , over one fifth of the total for France , comes first - a fact not difficult to explain. The portion of the département south of the Loire was as deeply involved in the rebellion as any region of the war . The most virulent of the March outbreaks occurred at Machecoul ; the Marais breton was from first to last the stronghold of Charette and his maraîchins , the best general and the best troops of the Vendée . Military commissions judged rebels at Military commissions judged rebels at Machecoul , Lége , and Paimbouf , and hundreds of prisoners were sent to Nantes for trial . The part of the département north of the Loire was the threshold of the revolt , a border territory held in submission by force. Charette in particular liked to lead his troops within sight of Nantes , the goal of his military ambitions , which with a little more daring he could have taken in the spring of 1793 , or with a little more co - operation in the combined attack of the
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Savenay. Two thousand eight hundred and ninetyfour of the 3,548 death sentences were passed in December and January . The Commission Bignon alone rendered 661 death penalties at Savenay in three days , 1,946 at Nantes in two weeks.62 The he name of Saint - Florent is linked with that of Machecoul in the March risings , and the Angevin Mauges was as fanatically rebel as the Vendéen Bocage . The district of Cholet was the northern base of Vendéen operations in 1793 , and in 1794 , when the embers of the war burst into new flames , Cholet was again involved . Furthermore , in the early part of the war the Maine - et - Loire was the scene of the greatest triumphs of the insurgents , the capture of Angers and Saumur . Later , in December , it was against Angers that the Vendéens hurled themselves in break through to the protection of their wooded hills and hedged meadows , and after the failure of the siege many of them remained near Angers to be taken prisoners. Here , then , as at Nantes , the debacle of the Vendéen army at the end of 1793 furnished the
Le groupe est fondé en 2014 par Akmal Djourabaev, dit « Salakhouddine », un Ouzbek installé en Syrie depuis 2011[1]. Il est assassiné en août 2017 dans la région d'Idleb par des hommes suspectés d'être affiliés à l'État islamique[2].
général Nugent, ayant été informé de leurs intentions, envoya des ordres au camp de Blaris, pour le deuxième bataillon léger, composé du 64e régiment, et les compagnies légères de la milice Kerry, Dublin, Tipperary, Armagh et Monaghan, et cent et cinquante des 22 dragons légers, avec deux pilons fixes et deux obusiers de cinq pouces et demi, pour marcher vers Antrim avec toute la diligence possible; et deux cent 4. Un 2 et cinquante de la milice Monaghan, une troupe du 22e dragons légers et la cavalerie de Belfast, sous le commandement du colonel Durham, marcher vers Antrim, par Carmoney et Templepatrick, et le bataillon léger de Blaris , commandé par le colonel Clavering, et les dragons par l'honneu
+ 200 yéomary commandés par major Seddonv
L'avant-garde colonel Lumley, et une centaine de dragons légers 22d, et de deux canon
Macartney a appelé à quelques dragons qui avaient fait abattre leurs chevaux, pour le porter dans le marché, promettant de les protéger avec leur feu; cela a été fait. Il estime les rebelles d'Antrim à huit mille, les troupes du roi à trois cents; les victimes de ces derniers, tués et blessés, une cinquantaine; celle des rebelles à plus de trois cents; dont cent dix-neuf morts dans la ville seulement
M . Laurain donne lecture , au nom de M . Je chanoine Gasnier , d ' une note sur le clergé et les visites domiciliaires par les agents des gabelles dans notre région , au XVII ° siècle . Cette note sera insérée au Bulletin . M. Laurain donne communication du compte rendu sommaire écrit par M . Roger Lambelin dans la Revue des Questions historiques sur son livre Chouans et Contre - Chouans et , en relevant dans ce compte rendu une phrase où M Lambelin se demande « si les légendes , les témoignages des contemporains recueillis consciencieusement par Duchemin - Descepeaux ne donnent pas sur la Chouannerie du Bas Maine des notions plus exactes que celles résultant du dépouillement des archives locales » , M . Laurain , qui a pris plus d ' une fois des Lettres sur la Chouannerie en flagrant délit d ' erreur ou d ' exagération manifeste , montre que , si la bonne foi de Duchemin - Descepeaux est hors cause , il ne faut pas accepter pour argent comptant , loin de là , tout ce qu ' il raconte , non plus qu ' on ne saurait admettre pour vrai tout ce que le colonel de Pontbriand , par exemple a couché dans ses Mémoires. Il en donne une preuve , pour ce dernier , à propos des combats de ' Juvigné et de la Pellerine , placés en avril 1796 par l ' éditeur des Mémoires , mais en réalité arrivés en mai suivant D ' après Pontbriand , le Grand - Pierrot ( Ehlert ) , qui commandait à Juvigné 1 . 200 hommes , aurait perdu ce jour - là plus « de 400 hommes » Or , d'après une lettre de l'administration municipale d'Ernée , le 16 floréal an IV ( 5 mai 1796 ) , le détachement de la garnison d ' Ernée , qui était commandé par l ' adjudant - général Ployer et non par ( Ehlert , et qui , en se rendant à Juvigné , fut attaqué par deux colonnes de chouans , s ' il fut mis en déroute , n ' eut que cinq tuéss . M . Laurain affirme que , pour avoir une impression exacte de la Chouannerie , il faut , ce qui
Dans les « Chouans » nous assistons , au mois de septembre 1799 , à un engagement dans la côte de la Pellerine , à la limite du Maine et de la Bretagne , entre des conscrits républicains et les chouans - ; nous cheminons d ' Alençon à nous cheminons d ' Alençon à Fougères par Mayenne et Ernée ,. 1 . Sur Anthelme Collet , lire Ambroise Ledru , « Le prototype du Vautrin de Balzac : Anthelme Collet » , dans La Province du Maine , 1922 , p . 41 et suiv . , p . 70 et suiv . , p . 113 et suiv , p . 129 et suiv . , ainsi que Paul Ginisty , Vie , aventures et incarnations d ' Anthelme Collet ( 1785 - 1840 ) , Paris , Perrin , 1925 . 2 . Je trouve trace de trois combats livrés à la Pellerine entre les Bleus et les chouans . L ' ouvrage de E . et R Delaunay , Le Pays d ' Ernée ( 1908 ) , p .
173 , note 1 , mentionne une affaire survenue au même lieu , le 9 mai 1796 ( 20 floréal an IV ) . Enfin l ' abbé Angot signale ( t . IV , p . 616 ) , qu ' un détachement d ' Ernée vint disperser à « Mégaudais » , commune de Saint - Pierre - des- Landes , un rassemblement de quinze cents hommes dans la nuit du 15 avril 1797 ( 26 germinal an IV ) . Les chouans eurent sans doute le dessous , car s ' ils avaient eu le dessus , l ' abbé n ' aurait pas manqué de le signaler .
Depuis la fin du Modèle:XVIIe siècle, le parlement britannique, divisé entre chambre des lords et chambre des communes, est partagé par deux tendances politiques : les tories et les whigs[7]. Cependant depuis les années 1760, ces deux mouvements ne forment plus de partis organisés. Au Parlement, la majorité est incarnée par un parti Modèle:Citation, qui rassemble des whigs et des tories[7]. Pendant les trois premières années de la Révolution, le Premier ministre William Pitt le Jeune, qui se revendique comme un Modèle:Citation[8], adopte une politique de non-ingérence et de neutralité vis-à-vis de la France[9]. Le roi George III, d'un âge avancé et d'une sante déclinante, lui laisse la gestion des affaires publiques, même si toutes ses décisions sont soumises à son approbation[8]. L'opposition whig, dirigée théoriquement par le duc de Portland William Cavendish-Bentinck, est conduite en réalité par Charles James Fox[10]. En juillet 1789, Fox apporte publiquement son soutien à la Révolution française, qu'il compare à la Glorieuse Révolution de 1688-1689[10]. En revanche en 1790, Edmund Burke, député irlandais de l'opposition whig, publie ses Réflexions sur la Révolution de France, dans lesquelles il s'oppose vigoureusement aux changements survenus en France, qu'il oppose à la Glorieuse révolution[10]. L'opposition entre Fox et Burke éclate aux grand jour en mai 1791 et brise la vieille amitié entre les deux hommes[10]. D'abord isolé, Burke finit par rallier à ses idées de plus en plus de députés, effrayés par les violences révolutionnaires[10]. Les whigs se fracturent alors avec une tendance prorévolutionnaire, menée par Fox, qui s'oppose a toute ingérence dans les affaires françaises, une tendance libérale et modérée menée par Charles Grey, qui forme la Société des amis du peuple, et une tendance conservatrice, menée par William Windham, qui fait scission en février 1793 après l'entrée en guerre contre la France et forme avec une trentaine de députés un « tiers parti », qui se rapproche du gouvernement de Pitt[10]. En 1794, le duc de Portland rallie quant à lui Pitt au sein d'une coalition gouvernementale[11].
La Révolution française rencontre cependant un écho très favorable parmi les partisans du radicalisme, un mouvement apparu dans les années 1760 et dénonçant l'hégémonie de l'aristocratie[12].
En 1792, Pitt commence à s'inquiéter de la progression des idées révolutionnaires en Grande-Bretagne et fait voter plusieurs lois répressives contre les radicaux[11]. L'Habeas corpus est suspendu entre mai 1794 et juillet 1795 et entre avril 1798 et mars 1801[13]. La presse radicale est muselée[13], des réunions sont interdites et des clubs sont dissous[11]. Une grande campagne de propagande loyaliste et conservatrice est organisée par le biais de journaux et d'associations pour contrer les idées radicales et défendre la Constitution et l'ordre social dominé par l'aristocratie[11]Modèle:,[14]. La Révolution française est présentée comme une entreprise de démolition de l'ordre, de la propriété, de la religion, de la morale et de la justice[14].
Pendant les années 1790, environ 600 personnes sont arrêtées pour production ou diffusion d'écrits séditieux et près de 200 d'entre-elles passent en jugement[13]. En octobre 1794, trois responsables radicaux britanniques, Thomas Hardy, John Horne Tooke et John Thelwall sont jugés pour haute trahison, mais le procès se termine par leur acquittement[13]. Après la publication de la seconde partie des Rights of Man, Thomas Paine s'enfuit quant à lui en France en septembre 1792 pour éviter un jugement[13].
Pendant tout le Modèle:XVIIIe siècle, la Grande-Bretagne considère la France comme son ennemi le plus sérieux et le plus dangereux, le seul capable de menacer son commerce extérieur et ses colonies et le seul susceptible d'effectuer une tentative d'invasion sur son sol[16]. La France est alors le pays le plus vaste, le plus peuplé et le plus riche d'Europe[16]. À la veille de la Révolution française, l'armée de terre française est considérée comme la meilleure d'Europe avec l'armée prussienne[17]. La marine française, surclassée pendant la guerre de Sept Ans, a quant à elle rattrapé son retard sous le règne de Louis XVI, pour prendre l'avantage sur la Royal Navy pendant la guerre d'indépendance des États-Unis[18].
Malgré sa victoire, la France sort ruinée du conflit, ce qui entraîne le début de la Révolution française en 1789[19]. La Grande-Bretagne connait également de lourdes difficultés économiques et financières à cause de la perte de ses colonies américaines[19]. Son commerce international est sérieusement affecté et le pays est sans allié[19]. Dans les années 1780, le gouvernement du Premier ministre William Pitt le Jeune parvient cependant à rétablir les finances et à sortir le pays de son isolement diplomatique[20]. La Grande-Bretagne se rapproche même de la France, avec qui elle signe un traité commercial en septembre 1786[21]. En 1788, dans le contexte de la Révolution batave, elle forme une alliance avec les République des Provinces-Unies des Pays-Bas et le Royaume de Prusse[20].
Au début du conflit, l'armée de terre britannique, négligée depuis la guerre d'indépendance américaine, ne compte que Modèle:Nombre hommes[25]. Ses effectifs augmentent ensuite progressivement jusqu'à atteindre Modèle:Nombre hommes en 1800, sans compter Modèle:Nombre mercenaires allemands[25]. Les militaires de rang sont tous volontaires, mais mal payés, mal équipés, peu entraînés et peu disciplinés[25]. Les généraux sont peu nombreux et les officiers subalternes doivent leur charge au patronage, quand elle n'est pas achetée, et n'ont pour la plupart reçu aucune formation dans une académie militaire[25]. Sur terre, toutes les campagnes britanniques se soldent par des échecs[25]. Envoyé dans les Flandres à l'été 1793, le corps expéditionnaire commandé par le duc d'York, est rudement battu à la bataille de Hondschoote, puis à la bataille de Tourcoing[26]. En janvier 1795, les Provinces-Unies sont envahies par les troupes françaises et la République batave est proclamée. Les troupes britanniques réembarquent à Brême et ne mènent plus aucune intervention sur le continent pendant les quatre années qui suivent[26].
La Grande-Bretagne apporte également une aide militaire et financière aux royalistes français[27]. Des régiments émigrés sont formés sur son sol et des débarquements d'armes sont effectués entre 1795 et 1800 pour soutenir les Vendéens et les chouans de Bretagne[27]. Mais malgré le soutien britannique, les royalistes subissent deux lourdes déroutes lors du siège de Toulon en décembre 1793 et lors de l'expédition de Quiberon en juillet 1795[27].
Sur les mers, en revanche, la Royal Navy restaure la suprématie qu'elle avait perdu lors de la guerre d'indépendance des États-Unis[28]. Entre 1784 et 1792, le gouvernement britannique consacre plus de 12 millions de livres à l'entretien de sa marine, qu'il n'entend ne plus négliger et qu'il considère comme sa meilleure arme dans son opposition militaire avec la France[28]. Lorsque la guerre éclate, au début de l'année 1793, la Royal Navy compte plus de 400 navires et plus de Modèle:Nombre hommes[28]. La marine française est quant à elle sérieusement mise à mal lors des premières années de la Révolution : les équipements portuaires sont négligés, la plupart des meilleurs officiers émigrent et l'indiscipline règne parmi les marins[28]. Les forces navales britanniques mènent quelques expéditions dans les Antilles[29], mais elles s'attèlent surtout au blocus des ports stratégiques de Brest et de Toulon, ainsi que des ports utilisés par les alliés de la France aux Provinces-Unies, en Espagne et au Danemark[28]. Ces blocus demandent cependant la déploiement de beaucoup d'hommes et de bâtiments et ne peuvent être en permanence impénétrables à cause des vents et des marées[28].
Pitt finit par perdre le soutien du roi. En 1800, Pitt est favorable à l'émancipation des catholiques. Le roi ne s'imagine qu'en roi protestant garant d'un Constitution protestante. En janvier 1801, Pitt donne sa démission[30]. Le nouveau gouvernement, dirigé par Henry Addington, entreprend des négociations avec la France qui aboutissent à la paix d'Amiens en 1802[30].
La garnison d'Angers , aux ordres du général de division Bonnaud , sortie le 22 de ce mois , pour favoriser la rentrée des grains destinés à l'approvisionnement de l'armée , fut attaquée dans l'après - midi par un parti de Chouans trois fois plus fort en nombre qu'elle . Ce fut un moment de fête pour nos braves frères d'armes . Le signal du combat fut pour eux le signal de la victoire . Les Chouans , partout battus ou mis en fuite jetaient des cris de désespoir . C'était bien la peine de nous rassembler depuis trois jours pour nous faire battre de la sorte , disaient - ils à leurs chefs . Vous nous avez trahis . Il paraît en effet qu'ils ont été vigoureusement battus , car ils n'ont pas osé se remontrer pendant trois jours que nos républicains ont encore employés à parcourir le district de Segré pour remplir l'objet de leur sortie . D'après tous les rapports , les ennemis de la République ont perdu ( 1 ) Cette pièce est jointe , même carton , n ° 80 . plus de deux cents hommes tant tués que blessés dans cette affaire . Au nombre des morts se trouvent deux des principaux chefs , savoir , un nommé Damoiseau , sur lequel on a trouvé une croix de saint Louis et une commission de capitaine d'artillerie dans la légion dite de Mira- beau , et un soi disant comte de Castillan . Le premier a été tué dans un combat corps à corps par un des braves grenadiers du 3 bataillon de la Charente Inférieure . Cet excellent soldat ayant été manqué à bout touchant par Damoiseau , et se voyant menacé de deux coups de pistolet que ...celui - ci se disposait à tirer , se précipita sur lui , et , après une lutte de plusieurs minutes , il parvint à le désarmer et en purgea le sol de la liberté au moment où ses camarades venaient à son secours . J'ai donné un témoignage public de satisfaction à ce brave grenadier , qui se nomme Pierre Faure . Nous n'avons à regretter que deux républicains , dont un bien brave capitaine de la 30 ° demi et huit blessés . La 61 demi - brigade , en cantonnement dans le district de Baugé a aussi remporté plusieurs petits avantages sur les Chouans dans les jour- nées des 23 et 24 de ce mois . Toutes les braves troupes , à qui nous n'avions pu présenter la Consti- tution parce qu'elles étaient en marche , se sont rassemblées aujour- d'hui pour en entendre la lecture . Elles l'ont acceptée à l'unanimité . Je vous prie d'en informer la Convention nationale , en attendant que le procès - verbal lui en soit envoyé officiellement par le général en chef de l'armée . Écrire une lettre de satisfaction au général Bonnaud sur la bravoure des troupes et particulièrement sur celle des grenadiers du 3o bataillon de la Charente - Inférieure . Quant au post - scriptum , annoncer que la loi qui vient d'être rendue sur la nouvelle formation des tribunaux militaires et la dernière proclamation rempliront naturellement leur objet . Salut et fraternité JARD - PANVILLIER . Après avoir donné des éloges à la bravoure des troupes , je ne puis me dispenser de vous parler aussi de leur indiscipline . Elle est à son comble . De là le vol , le pillage , le meurtre et toutes les atrocités qui augmentent chaque jour le nombre de nos ennemis . Le général Bonnaud , qui veut fortement rétablir le bon ordre , et qui se conduit à dans sa cet effet avec beaucoup de fermeté , ne [ 13 SEPTEMBRE 1795 ...
Fille de messire Danguy de Vue, épouse du comte Claude Louis Marie, comte de Bruc et seigneur du Cléray. Tué à la bataille de Beaupréau[34].
La jeune comtesse Marie Danguy de Bruc, qui selon Bertrand Poirier de Beauvais s'était distinguée par son Modèle:Citation lors de la bataille de Cholet[35], est tuée lors de cette bataille[36]. Le général Cordellier indique dans son rapport qu'Modèle:Citation[37]. Dans leurs mémoires, les officiers Louis Monnier et Bertrand Poirier de Beauvais rapportent qu'elle trouve la mort lors de la déroute, par la faute de son beau-frère, le chevalier de Bruc, qui, trouvant inconvenant qu'elle soit en croupe derrière un cavalier, l'oblige à descendre de cheval avant de l'abandonner à l'arrivée des hussards républicains. La comtesse de Bruc est ensuite Modèle:Citation par les hussards[38]Modèle:,[39].
Victoire-Aimée Libault de la Barossière, mariée en 1774 à Nicolas-Henri Gouin, seigneur du Fief; ils habitaient Saint-Colombin, près Nantes. Son mari se battait à l'armée de Charette; des soldats républicains vinrent chez elle, saisirent un de ses enfants au berceau et le coupèrent en quatre sous ses yeux. Exaspérée, elle prit les armes et montra un courage héroïque. Morte vers 1820[34].